Jean Rochefort est un acteur français, né le 29 avril 1930 à Paris où il est mort le 9 octobre 20171.
À l'instar de ses amis de la « bande du Conservatoire » comme Jean-Pierre Marielle et Philippe Noiret, Jean Rochefort s'est peu à peu imposé comme une figure du cinéma françaisdès les années 1960. Reconnaissable à sa voix chaude et à sa moustache, il a joué dans cent-treize films2 et trente-sept téléfilms, jusqu'à son dernier rôle dans Floride, en 2015.
D'abord voué aux seconds rôles, notamment aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans Cartouche, Les Tribulations d'un Chinois en Chine ou L'Héritier, il devient un acteur de premier plan à partir de 1972 dans Les Feux de la Chandeleur, aux côtés d'Annie Girardot et Claude Jade. Il s'installe ensuite au sommet de l'affiche de nombreux films français notables, parmi lesquels Le Grand Blond avec une chaussure noire avec Pierre Richard, L'Horloger de Saint-Paul avec Philippe Noiret, Que la fête commence, Un éléphant ça trompe énormémentet sa suite, Nous irons tous au paradis, Le Crabe-tambour, Le Moustachu, Tandem, Le Mari de la coiffeuse, Ridicule, ou encore Le Placard. Alternant des rôles dans des films grand public et des films d'auteurs, il est devenu une figure emblématique du cinéma français.
Plusieurs fois récompensé, Jean Rochefort remporte notamment le César du meilleur acteur dans un second rôle pour Que la fête commence en 1976 et le César du meilleur acteur pour Le Crabe-tambour en 1978, puis reçoit en 1999 un César d'honneur, couronnant l'ensemble de sa carrière.
Né à Paris3,4, de parents bretons — Célestin Rochefort, cadre dans l'industrie pétrolière, originaire de Dinan, et Fernande Guillot, comptable5 —, Jean Rochefort grandit à Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale (à la Libération, il assiste au spectacle des femmes tondues, ce qui lui donnera une vision noire de la nature humaine6), puis à Vincennes.
Enfant rêveur, il fait des études médiocres au lycée Corneille de Rouen, au collège de Cusset et au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés5. Il désespère son père, à l'opposé de son frère aîné Pierre qui intègre Polytechnique7,8 et devient ultérieurement ingénieur général de l'armement9.
Après la guerre, à seize ans, il est embauché comme garçon de bureau à la Banque de France. Durant la même période, la famille Rochefort achète une résidence secondaire à Saint-Lunaire. Mais en 1948, à la suite d'une mésentente passagère entre ses parents, Jean et sa mère sont contraints de rester en Bretagne après les vacances estivales. C'est durant l'hiver de cette année-là que l'ennui le lie au fils de la marchande du bazar qui le persuade de prendre des cours de théâtre à Nantes, puis l'année suivante, de venir à Paris suivre à dix-neuf ans les cours à l'école de la rue Blanche10.
Il entre ensuite au Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris où il a pour condisciples Jean-Paul Belmondo, Claude Rich et Jean-Pierre Marielle, au sein de la « bande du Conservatoire », mais il apprend, le 30 juin 1953, qu'il n'est pas admis à concourir5.
Après son service militaire en 1953, il travaille avec la Compagnie Grenier-Hussenot comme comédien durant sept ans. Il y est remarqué pour son aisance à jouer tant le drame que la comédie.
Jean Rochefort commence sa carrière au théâtre à l'âge de vingt-trois ans. Il se dit comblé par cette expérience car il a interprété des auteurs anglais, comme Harold Pinter, et a eu des partenaires comme Delphine Seyrig2.
Au cinéma, il connaît le succès dès 1961 avec Cartouche, puis avec Les Tribulations d'un Chinois en Chine en 1965. Porté par le succès, il enchaîne avec le tournage de trois épisodes de la série Angélique, marquise des anges, entre 1964 et 1966.
Il réalise deux courts-métrages documentaires : Rosine en 1973, qui témoigne de sa passion des chevaux et suit les épreuves d'équitation d'une jeune cavalière à Coëtquidan ; et T'es fou, Marcel? - Hommage irrespectueux comme tous les hommages en 1974, un portrait du comédien Marcel Dalio. Il se lie d'une forte amitié avec Philippe Noiret et Jean-Pierre Marielle.
En 1972, il joue son premier grand rôle dans Les Feux de la Chandeleur de Serge Korber. Il est dans ce drame l'ex-mari d'Annie Girardot et le père de la jeune Claude Jade, qui veut réconcilier ses parents, et du jeune Bernard Le Coq. Puis il a joué dans Le diable dans la boîte en 1977 et Il faut tuer Birgitt Haas en 1981. Dans Les Feux de la Chandeleur, il a joue à l'âge de 41 ans un père de famille d'enfants adultes (la jeune Claude Jade avait déjà 23 ans). Pour paraître plus âgé, il porte une moustache, sa marque distinctive, qu'il n'enlèvera qu'à une seule reprise, en 1996, pour le film Ridicule.
L'année 1973 marque un tournant dans sa carrière. Il obtient un rôle dans L'Horloger de Saint-Paul. Il considère que ce film a fait de lui l'acteur qu'il allait être par la suite. Il explique que le réalisateur, Bertrand Tavernier, lui a appris à se détendre face à la caméra qui, auparavant, l'impressionnait2. Ensuite, il tourne avec Tavernier pour Que la fête commence (1975), un rôle qui lui permet de remporter, à 46 ans, le premier César de l'histoire11.
Sa personnalité le conduit à jouer dans de nombreuses comédies célèbres, dont les deux diptyques du Grand Blond (1972-1974) et d'Un éléphant ça trompe énormément (1976-1977), ainsi que La Grande Cuisine (1978). Mais il excelle également dans les rôles dramatiques, grâce auxquels il obtient deux Césars. Il reconnaît aussi avoir tourné dans nombre de « navets » pour assouvir sa passion des chevaux. Il appelle ces films les « films avoines »2,11.
Il prête sa voix au doublage en français de nombreux films, notamment d'animation. Entre 1985 et 1988, il présente également Les Aventures de Winnie l'ourson, pour l'émission Le Disney Channel, diffusée sur FR3.
En 2000, il est Don Quichotte dans le projet de film inachevé L'Homme qui a tué Don Quichotte de Terry Gilliam avec Johnny Depp et Vanessa Paradis. Lors de ce tournage, qui tourne à la catastrophe, Jean Rochefort souffre d'une double hernie discale, l'empêchant à tout jamais de remonter à cheval. La production est arrêtée. En 2006, il participe au clip de Vincent Delerm, Sous les avalanches.
En 2006, au Grand Parc du Puy du Fou, il participe à la création du spectacle "Les Mousquetaires de Richelieu", en assurant la voix off de présentation.
En 2007, il joue avec son fils Julien Rochefort dans un téléfilm adapté d'un conte de Guy de Maupassant, Hautot père et fils. Il participe également à l'album La Mécanique du cœur du groupe français Dionysos12.
En 2008, il préside la cérémonie des Césars. Cette même année il est choisi par la marque d'assurances en ligne Amaguiz pour une campagne de publicité13.
En 2015, il est président du jury du Festival du film britannique de Dinard14.
La même année, il intervient dans une vidéo réalisée par le collectif « Les Boloss des Belles Lettres », qui s'illustre sur son blog par des adaptions contemporaines des classiques de la littérature, dans laquelle l'acteur revisite Madame Bovary15. En 2016, une série télévisée financée par France 5 est lancée avec les créateurs du collectif, Quentin Leclerc et Michel Pimpant, où Jean Rochefort raconte chaque semaine en « langage jeune » et décalé un classique de la littérature comme Les Liaisons Dangereuses, Le Petit Prince ou encore Le Père Goriot16.
Le grand-père paternel de Jean Rochefort fut cocher à Dinan avant de devenir éleveur de chevaux en Bretagne10. À la trentaine, au cours du tournage de Cartouche en 1962, l'acteur se découvre une passion pour les chevaux et l'équitation. Il devient lui aussi éleveur et acquiert le haras de Villequoy à Auffargis dans les Yvelines. Il affirme avoir mis une centaine de poulains au monde2.
Après ce film, Jean Rochefort fait partager sa passion à son ami Philippe Noiret, qui devient lui aussi passionné de chevaux. Le film Les Ripoux et sa suite en donne un exemple. Ils apprennent ensemble à monter à cheval dans un manège avec des gosses de douze ans qui se débrouillaient mieux qu'eux, et se faisaient engueuler comme des gamins par le moniteur17.
Sa passion équestre l'a amené à devenir consultant pour France Télévisions, pour qui il a commenté diverses épreuves équestres, dont celles des Jeux olympiques d'été de 200411, ainsi que la cérémonie d'ouverture, et les Jeux olympiques d'été de 2008.
En 1960, Jean Rochefort épouse Alexandra Moscwa, dont il a deux enfants : Marie (1962) et Julien (1965), lui aussi acteur21. Après 20 ans de mariage, il divorce et vit pendant sept ans avec Nicole Garcia dont il a un fils, Pierre Rochefort (1981), acteur également. En 1989, à Raizeux22, il épouse en secondes noces l'architecte Françoise Vidal avec qui il a deux enfants, Louise (1990) et Clémence (1992)23,5.
Il possède une maison à Grosrouvre dans les Yvelines24.
En août 2016, Jean Rochefort est hospitalisé à Paris pour « des douleurs abdominales »25.
Le 21 juillet 2017, il rend un hommage par téléphone sur Europe 1 à l'acteur Claude Rich, décédé la veille. Se connaissant depuis le Conservatoire, ils avaient notamment joué ensemble dans Le Crabe-tambour, qui avait valu à Jean Rochefort le César du meilleur acteur. En 2002, il avait remis à Claude Rich un César d'honneur26.
Jean Rochefort meurt d'un cancer à Paris le 9 octobre 2017 à l'âge de 87 ans27, alors qu'il était hospitalisé à l'hôpital Saint-Joseph28. Ses funérailles ont lieu le 13 octobre 2017 à l'église Saint-Thomas-d'Aquin29. Il est inhumé au cimetière de Grosrouvre30 (Yvelines).
- 1992 : signal d'appel de France Télécom (TV)
- 2003 : Journées du handicap mental (TV)
- 2008 : première campagne de publicité pour les assurances Amaguiz (TV)
- 2010 : deuxième campagne de publicité pour les assurances Amaguiz (TV)
- 1953 : Azouk d'Alexandre Rivemale, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine
- 1953 : L'Huitre et la Perle de William Saroyan, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine
- 1953 : Les Images d'Épinal d'Albert Vidalie, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Cabaret La Fontaine des Quatre-Saisons
- 1954 : Responsabilité limitée de Robert Hossein, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine
- 1954 : L’Amour des quatre colonels de Peter Ustinov, adaptation Marc-Gilbert Sauvajon, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Fontaine
- 1957 : Romanoff et Juliette de Peter Ustinov, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1957 : L’Amour des quatre colonels de Peter Ustinov, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre de l'Ambigu-Comique
- 1958 : Tessa la nymphe au cœur fidèle de Jean Giraudoux d'après Basil Dean et Margaret Kennedy, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1958 : L’Étonnant Pennypacker de Liam O'Brien, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1960 : Champignol malgré lui de Georges Feydeau et Maurice Desvallières, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre Marigny
- 1960 : Le Comportement des époux Bredburry de François Billetdoux, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Mathurins
- 1960 : Génousie de René de Obaldia, mise en scène Roger Mollien, TNP Théâtre Récamier
- 1961 : Loin de Rueil de Maurice Jarre et Roger Pillaudin d'après Raymond Queneau, mise en scène Maurice Jarre et Jean Vilar, TNP Théâtre national de Chaillot
- 1962 : Frank V de Friedrich Dürrenmatt, mise en scène André Barsacq, Théâtre de l'Atelier
- 1964 : Cet animal étrange de Gabriel Arout d’après Anton Tchekhov, mise en scène Claude Régy, Théâtre Hébertot
- 1965 : La Collection et L’Amant d'Harold Pinter, mise en scène Claude Régy, Théâtre Hébertot
- 1966 : La prochaine fois je vous le chanterai de James Saunders, mise en scène Claude Régy, Théâtre Antoine
- 1969 : Le Prix d'Arthur Miller, mise en scène Raymond Rouleau, Théâtre Montparnasse
- 1970 : Un jour dans la mort de Joe Egg de Peter Nichols, mise en scène Michel Fagadau, Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
- 1971 : C'était hier d'Harold Pinter, mise en scène Jorge Lavelli, Théâtre Montparnasse
- 1982 : L'Étrangleur s'excite d'Éric Naggar, mise en scène Jean Rochefort, Théâtre Hébertot
- 1985 : Boulevard du mélodrame de Juan Pineiro et Alfredo Arias, mise en scène Alfredo Arias, Centre dramatique national d'Aubervilliers33
- 1988 : Une vie de théâtre de David Mamet, adaptation Pierre Laville, mise en scène Michel Piccoli, Théâtre des Mathurins
- 1988 : La Femme à contre-jour d'Éric Naggar, mise en scène Jean Rochefort, Théâtre des Mathurins
- 1988 : L'Histoire du soldat d'Igor Stravinsky, mise en scène Jean Rochefort, Théâtre de Paris
- 1988 : Le Carnaval des animaux musique Camille Saint-Saëns
- 1989 : Une vie de théâtre de David Mamet, mise en scène Michel Piccoli
- 1991 : L'Histoire du soldat d'Igor Stravinsky, mise en scène Jean Rochefort
- 1995 : Oraison funèbre sur la mort de Condé de Jacques-Bénigne Bossuet, musique de Jean-Baptiste Lully, direction Hervé Niquet, chapelle royale du château de Versailles
- 1996 : Le Petit Tailleur, musique de Tibor Harsányi et Le Carnaval des animaux, musique Camille Saint-Saëns, Théâtre du Châtelet, Bruxelles
- 1998 : « Art » de Yasmina Reza, mise en scène Patrice Kerbrat, avec Pierre Vaneck et Jean-Louis Trintignant, Théâtre Hébertot
- 2004 : Heureux ? sketchs de Fernand Raynaud, avec Bruno Fontaine, Comédie des Champs-Élysées
- 2006 : Mousquetaires de Richelieu, spectacle du Puy du Fou
- 2007 : Entre autres, spectacle seul en scène, accompagné à l'accordéon par Lionel Suarez, dans lequel il rend hommage aux auteurs qui l’ont toujours accompagné, de Roland Barthes à Jean Yanne en passant par Fernandel, Verlaine, Boby Lapointe ou Primo Levi, Théâtre de la Madeleine
- 2007 à l'Olympia : a chanté Félicie aussi, chanson de Fernandel, lors des trois derniers concerts de la tournée de Vincent Delerm les 30, 31 mai 2007 et 1er juin 2007
- Prix du Syndicat de la critique 1970 : meilleur comédien dans une pièce de théâtre pour Un jour dans la mort de Joe Egg (1969).
- 1re cérémonie des César 1976 : César du meilleur acteur dans un second rôle dans un drame historique pour Que la fête commence (1975).
- César 1978 : César du meilleur acteur dans un drame d'aventure pour Le Crabe-tambour (1977).
- 1982 : Festival des films du monde de Montréal du meilleur acteur dans un thriller pour L'Indiscrétion (1981).
- 1983 : Mystfest du meilleur acteur dans un thriller pour L'Indiscrétion (1981).
- 1994 : Festival des films du monde de Montréal de la meilleure distribution dans une comédie dramatique pour Prêt-à-Porter (1994) partagée avec Marcello Mastroianni, Sophia Loren, Jean-Pierre Cassel, Kim Basinger, Chiara Mastroianni, Stephen Rea, Anouk Aimée, Rupert Everett, Rossy de Palma, Tara Leon, Georgianna Robertson, Lili Taylor, Ute Lemper, Forest Whitaker, Tom Novembre, Richard E. Grant, Anne Canovas, Julia Roberts, Tim Robbins, Lauren Bacall, Lyle Lovett, Tracey Ullman, Sally Kellerman, Linda Hunt, Teri Garr, Danny Aiello et Michel Blanc.
- César du cinéma 1999 : Lauréat du César d'honneur pour l’ensemble de sa carrière.
- Mostra de Venise 2002 : Lauréat du Prix du Public du meilleur acteur dans un thriller dramatique pour L'Homme du train (2002).
- Prix Lumières 2003 : Meilleur acteur dans un thriller dramatique pour L'Homme du train (2002).
- Prix Henri Desgrange de l'Académie des sports : 200634
- ↑ Marc Fourny, « Mort de Jean Rochefort, le grand seigneur du 7e art », Le Point.fr, 9 octobre 2017 (lire en ligne [archive]).
- ↑ a, b, c, d et e Ciné télé Obs samedi 16 au vendredi 22 mars : Jean Rochefort, le magnifique. p. 6
- ↑ Selon le Who's Who et son extrait de naissance n° 20/1240/1930, Jean Rochefort est né à Paris et non à Dinan.
- ↑ Jean Rochefort, ce Breton de l’intérieur [archive] sur ouest-france.fr
- ↑ a, b, c et d Jacques Lafitte, Stephen Taylor, Qui est qui en France, J. Lafitte, 1999, p. 1471
- ↑ Christophe Colera, La nudité : pratiques et significations, Cygne, 2008, p. 141
- ↑ De la promotion X1946, cf. « Fiche de Pierre Rochefort » [archive], sur le site de l’Association des anciens élèves et diplômés de l'École polytechnique(l’AX), Paris (consulté le 27 août 2015) ; y sont notamment indiqués sa date de décès — le 8 février 2011 — et le corps de fonctionnaires qu'il choisit à sortie de l'École : le « génie maritime ».
- ↑ Ouvrir la « Page d’accueil » [archive], sur le site de la bibliothèque de l’École polytechnique, Palaiseau (consulté le 27 août 2015), sélectionner l’onglet « Catalogues de la BCX → Famille polytechnicienne », effectuer la recherche sur « Pierre Rochefort », résultat obtenu : « Rochefort, Pierre Fernand Paul (X 1946) ».
- ↑ D'après l’émission de France 2, Un jour, un destin diffusée le samedi 20 août 2015, présentée par Laurent Delahousse. Est notamment mentionné dans cette émission que son frère Pierre vient rendre visite à Jean au retour du Jauréguiberry à Lorient, à la fin du tournage du Crabe-tambour.
- ↑ a et b Jean Rochefort, mémoires d'un breton de l'intérieur [archive], Ouest-France, 30 août 2014.
- ↑ a, b et c « Mort de Jean Rochefort : une allure, un flegme, une carrière » [archive], Fabien Randanne, 20 minutes.fr, 9 octobre 2017.
- ↑ Sur le titre L'Homme sans trucages.
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- ↑ « L'improbable résumé de Madame Bovary en "langage de jeunes" par Jean Rochefort » [archive], Fabien Morin, Le Figaro.fr, 21 mars 2015
- ↑ « Les Boloss des Belles Lettres poursuivent l’aventure à la télévision » [archive], Jérôme Gicquel, 20 minutes.fr, 20 janvier 2016.
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- ↑ « Jean Rochefort décoré du Mérite agricole » [archive], L'Obs.com, 14 septembre 2004.
- Jean-Philippe Guerand, Jean Rochefort, prince sans rire, Robert Laffont, 2018, 616 p.
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