Bruce Lee1, né dans le quartier de Chinatown à San Francisco aux États-Unis le 27 novembre 1940 et mort d'un œdème cérébral à Hong Kong le 20 juillet 1973, est un artiste martial, réalisateur, acteur, producteur (Concord Production Inc.), scénariste sino-américain.
Son père, Lee Hoi Chuen, était une star de l'opéra chinois. Parallèlement à sa carrière d'acteur, Bruce Lee a créé son propre art martial, le jeet kune do. Il est considéré comme le plus grand maître d'arts martiaux dans le cinéma mondial du xxe siècle et il a ouvert la voie à d'autres acteurs chinois comme Jackie Chan, Jet Li ou occidentaux comme Jean-Claude Van Damme, Steven Seagal, David Carradine, ainsi que Chuck Norris.
Par ses contributions dans le cinéma et la télévision, Bruce Lee incarne pour beaucoup l'homme fort atteignant le sommet de la perfection physique et l'invincibilité au combat à mains nues. Sa notoriété a eu un rôle important dans l'intérêt du grand public occidental pour les arts martiaux chinois. Sa mort prématurée à l'âge de 32 ans a contribué à le faire entrer dans la légende du cinéma et des arts martiaux et, à Hong Kong, elle a donné naissance à toute une mode de films essayant de se vendre comme des films de Bruce Lee : la « Bruceploitation ». En 2014, il est la dixième célébrité décédée ayant généré le plus de revenus2.
Grandes lignes de la biographie de Bruce Lee3,4 :
Né Lee Jun Fan, son prénom anglo-normand d'origine scandinave, Bruce5, lui aurait été donné par une infirmière. Bruce Lee (Li, selon l'orthographe pinyin officielle pour le mandarin, Lee étant en jyutping pour le cantonais) est élevé à Hong Kong, auprès de ses deux frères Peter et Robert (né en 1948), ainsi que ses deux sœurs Agnès et Phoebe. Le père, Lee Hoi-chuen, né dans le district de Shunde (Guangdong) était comédien, vedette de l'opéra de Canton, ce qui permet à Bruce d'apparaître dans plusieurs films asiatiques durant son enfance.
C'est à l'âge de 13 ans, vers 19533,4 - 19546,7 après avoir été initié au tai chi chuan que Bruce Lee commence à étudier un art martial chinois, le Wing Chun, dans l'école du célèbre maître Yip Man, auprès de Wong Shun Leung.
Pour valider sa nationalité américaine et parce que sa mère voulait l'éloigner des gangs de rues chinois, il entra à l'Edison Technical School, à Seattle, puis poursuivit des études de philosophieà l'université de Washington. C'est là qu'il rencontra sa future femme, Linda Emery, une jeune étudiante, en lui donnant des cours de kung-fu. Ils se marièrent à Oakland le 17 août 1964. Bruce et Linda auront deux enfants, Brandon (1965-1993) et Shannon.
C'est à cette époque que Bruce Lee commence à enseigner sérieusement les arts martiaux, en ouvrant une école. Il enseigne à tous ceux qui veulent apprendre son style de kung-fu, qu'il appelait « jun fan gung-fu », basé essentiellement sur le Wing Chun. D'après le témoignage de sa femme, cet enseignement est mal perçu par les autres écoles d'arts martiaux qui jugent que le kung-fu ne doit être enseigné qu'à des Chinois. Selon elle, c'est pour cette raison que Bruce Lee a dû relever un défi : combattre le maître Wong Jack Man ; s'il perdait, il devrait fermer son école. Selon plusieurs sources controversées, Bruce Lee remporte le duel. Toutefois, le maître Wong Jack Man, s'étant plaint que Bruce Lee, en l'absence d'arbitrage, s'était battu de manière non sportive, proposa cette fois un combat public. Bruce Lee ne donna pas suite.
Création du jeet kune do : la lignée martiale[modifier | modifier le code]
Logotype de la fondation Bruce Lee.
Bien que victorieux, le jeune maître est déçu par sa prestation. Il se croyait capable de mettre un adversaire KO en quelques secondes mais le combat a sollicité toute son énergie. C'est cette mésaventure qui va conduire Lee à remettre en doute l'enseignement traditionnel et à s'intéresser à la musculation. Il créera alors le jeet kune do (« la voie du poing qui intercepte ») utilisant des techniques extérieures au kung-fu. Le Jeet Kune Do visait à être plus pratique, plus fluide et plus rapide que le kung-fu traditionnel mais surtout plus adapté au combat réel, en intégrant des techniques tant de la boxe anglaise, boxe française savate, lutte européenne, du judo, du jujitsu, de la boxe thaï, de la self-défense (hapkido, qu'il apprend de Ji Han-Jae) que de l'escrime ou du kali (art de combat philippin auquel il a été initié par son ami Dan Inosanto). Il a également été pensé comme système de renforcement musculaire. Lee écrit plusieurs livres expliquant ses techniques qu'il qualifie d'auto-défense. Plus tard le jeet kune do (ou JKD) sera intégré au close quarters combat enseigné aux forces spéciales américaines.
Bruce Lee essaye de poursuivre une carrière cinématographique entamée dans l'enfance en Chine, mais l'essentiel de ses revenus vient de l'enseignement.
Début 1970, lors d'un exercice de musculation, il se blesse grièvement au dos. Il s'était déjà blessé plusieurs fois à cet endroit entre 1964 et 19709. L'accident se serait produit dans sa salle d'entraînement alors que, sans s'être préalablement échauffé, il entame une série de « good-morning », un exercice particulièrement éprouvant pour les lombaires, avec une charge d'environ 60 kg - approximativement son propre poids10,11. Le médecin consulté diagnostique une lésion du quatrième nerf sacré. On lui interdit alors de pratiquer toute forme d'exercice. On lui dit même qu'il ne pourra plus jamais pratiquer les arts martiaux comme avant. Il gardera des séquelles douloureuses de cet accident toute sa vie12. Il reste alité quelques jours, et pendant six mois il abandonne tout exercice physique et en profite pour mettre par écrit des réflexions et croquis sur sa vision de l'art du combat et sur les relations entre celui-ci et la sagesse orientale. Sa veuve publiera ses écrits sous forme d'un livre, Tao of Jeet Kune Do, en 1975.
En 1964, Bruce Lee fait une démonstration de kung fu durant le tournoi international de karaté de Long Beach, sa performance est filmée par Ed Parker, quelque temps plus tard, le producteur William Dozier découvre le film grâce à Jay Sebring, célèbre coiffeur de stars. Début 1965, Bruce Lee est contacté pour passer le casting d'un projet qui ne se fera finalement jamais, mais il obtient quand même un rôle, celui de Kato, dans la série télévisée Le Frelon vert (The Green Hornet). N'ayant pas grand impact en Amérique, au bout d'une seule saison, de 1966 à 1967, la série s'arrête, mais la performance de Bruce Lee a tout de même marqué le public, et des stars comme Steve McQueen, James Coburn, Kareem Abdul-Jabbar, ou encore Roman Polanskideviennent ses élèves. Lee fait trois apparitions en tant que Kato dans trois épisodes de Batman. Par la suite le cinéma américain acceptant mal les acteurs non blancs, sa carrière stagne rapidement, Bruce est cantonné à de petits rôles secondaires (L'Homme de fer en 1967, Blondie en 1969, Cent filles à marier en 1969, La Valse des truands) et parfois juste chorégraphe des combats (Matt Helm règle son comte, La Pluie de Printemps). Le coup le plus difficile à encaisser c'est d'être écarté de la série "The Warrior" (rebaptisé plus tard Kung Fu) alors qu'il avait écrit le synopsis, et pour le rôle principal on lui préféra un acteur qui connaissait très peu les arts martiaux, David Carradine.
En 1970, Bruce subit une sévère blessure au dos, provoquée par une surcharge de poids à l'entraînement, il restera immobile durant plus de six mois, il passera beaucoup de son temps à peaufiner sa théorie et sa philosophie des arts martiaux. Après beaucoup d'efforts, Bruce finit par se rétablir, mais il aura tout de même jusqu'à la fin de sa vie des douleurs régulières au dos. Pendant ce temps là, du côté de l'Asie, la série Le Frelon vert (rebaptisée The Kato Show) est un succès et le producteur Raymond Chow le démarche pour qu'il vienne tourner à Hong Kong.
En 1971, sa carrière commence vraiment avec Big Boss qui raconte les malheurs et la vengeance d'immigrés chinois en Thaïlande ayant découvert le trafic de drogue dont est coupable leur employeur. L'acteur avait auparavant refusé une proposition de la Shaw Brothers pour se tourner vers la plus modeste Golden Harvest. Toutefois le climat de tournage est difficile pour Bruce Lee en raison d'incompatibilité d'humeur avec le réalisateur Lo Wei et seul le succès du film lui fait poursuivre sa carrière hong-kongaise. La même année, Bruce fera un retour rapide en Amérique pour tourner dans la série Longstreet, où il joue le rôle d'un instructeur d'arts martiaux qui entraîne le détective aveugle Mike Longstreet (James Franciscus).
En 1972, Bruce Lee tourne La Fureur de vaincre dans le rôle d'un étudiant chinois qui revient à Shanghaipour venger la mort de son maître (le célèbre Maître Huo) qui, selon lui, s'est fait assassiner par un traître. Ce film a inspiré le célèbre Fist of Legend de Jet Li. La même année, Bruce Lee tourne La Fureur du dragon, premier film asiatique tourné en Europe (en Italie). Bruce Lee joue le rôle de Tang Lung, un Hongkongais envoyé à Rome pour aider la famille d'un ami victime de racket.
En 1972, dans Le Jeu de la mort, Bruce Lee interprète un champion d'arts martiaux qui doit affronter dans une pagode toute une série d'adversaires, avec un style différent à chaque étage, le dernier étant réservé au jeet kune do, pratiqué dans le film par son élève le basketteur Kareem Abdul-Jabbar. Lee interrompt le tournage pour se consacrer à la superproduction hollywoodienne de la Warner Bros, le film Opération dragon réalisé par Robert Clouse qui fera de Lee une star internationale... mais malheureusement, il ne verra jamais ce succès car il meurt quelques semaines avant la sortie du film. 5 ans plus tard, Le Jeu de la mort reprend sans lui ; le scénario est alors modifié et raconte l'histoire de Billy Lo, un acteur célèbre qui se fait menacer de racket par la mafia chinoise. Le film est rafistolé de toutes les manières qui soient (un acteur porte même dans un plan un masque en carton avec la photo de Lee !). Des images des vraies funérailles de Bruce Lee sont utilisées pour la scène des grandes funérailles organisées par Billy Lo. À la fin du film, Bruce Lee réapparaît car il avait tourné trois scènes de combat.
Bruce Lee meurt le 20 juillet 1973 à Hong Kong. Sa tombe se trouve au cimetière de Lake View à Seattle.
La cause officielle de sa mort est une réaction allergique à un analgésique, un cas rare d'hypersensibilité à l'équagésic13,14. Les rumeurs qui suivent sa mort (amplifiées à la suite de la mort de son fils Brandon due à un pistolet chargé accidentellement) évoquent différentes causes et motifs (mafia chinoise et collusions avec Raymond Chow, son producteur de l'époque ; milieu des arts martiaux ; surnaturel).
Il semble que Bruce Lee soit mort d'une rupture d'anévrisme : deux mois avant sa mort, il avait déjà subi une crise d'épilepsie avec perte de connaissance[réf. nécessaire] ; les céphalées qui ont motivé la prise d'analgésique étant souvent présentes avant la rupture d'anévrisme, le médicament en lui-même pourrait ne pas être incriminé ; par ailleurs, l'œdème cérébral est classiquement lié à ces accidents vasculaires cérébraux.
Le 16 octobre 2005, le producteur Raymond Chow déclare à l'Associated Press que Bruce Lee est mort à l'âge de 32 ans après avoir pris un mauvais médicament. Il a succombé à un œdème en 1973 alors qu'il était chez l'actrice taïwanaise Betty Ting Pei. Le médecin légiste conclut alors à une mort accidentelle, ce qui alimente les rumeurs de prise de drogues. Raymond Chow, cofondateur des studios Golden Harvest, explique que l'acteur a pris un médicament contre le mal de tête auquel il était très sensible alors qu'il n'était pas chez lui. « La conclusion est qu'il s'agissait d'un accident ». Il se déclare également personnellement effondré par la mort de Bruce Lee, un drame qui l'a amené à suspendre la préparation du Jeu de la mort, dernier film de l'acteur.
Lors de son enterrement, son cercueil est porté par James Coburn, Taky Kimura, Dan Inosanto, Robert Lee (en) et Steve McQueen15.
Quoi qu'étant reconnu pour son talent dans les arts martiaux, Lee a aussi étudié le théâtre et la philosophie à l'university of Washington. Il aimait la lecture et avait une ample collection littéraire. Ses propres livres traitant des arts martiaux, de combat et de leur philosophie sont reconnus pour leur contenu philosophique pertinent non seulement dans le contexte des arts martiaux, mais aussi dans la vie courante. Sa philosophie éclectiquereflétait souvent sa philosophie de combat, mais il affirmait fermement que son art martial n'était qu'une métaphore pour sa pensée. Il affirmait que toute connaissance était une forme de connaissance de soi et disait que sa principale façon de l'exprimer était les arts martiaux16. Quelques-unes de ses influences sont le taoïsme, Jiddu Krishnamurti et le bouddhisme17. Lee se considérait athée. Dans une entrevue accordée en 1972 concernant son affiliation religieuse, il affirma : « aucune » [none whatsoever] ; et s'il croyait en Dieu, il répondit : « en toute honnêteté, non, pas du tout » [To be perfectly frank, I really do not]18.
Quelques phrases qui informent sur sa philosophie de combat 19:
- « Faites le vide dans votre esprit, Soyez sans forme, sans contrainte spatiale, comme l'eau. De l'eau dans une tasse prend la forme de la tasse, l'eau dans une bouteille prend la forme de la bouteille ; l'eau dans une théière prend la forme de la théière. L'eau peut elle couler ou s'écraser... Sois l'eau, mon ami ».
- « Toute forme de connaissance devient finalement connaissance de soi. »
- « N'utilisez que ce qui fonctionne, et puisez-le partout où vous le trouvez. 20 »
- « Ne pas nier l'approche classique, simplement par réaction, sinon pour dupliquer le motif, et y rester pris. 21 »
- « S'emporter trop facilement vous jouera des tours un jour ou l'autre. »
- « Soyez fidèle à vous-même, exprimez-vous, ayez confiance en vous-même, ne cherchez pas chez autrui un modèle de succès à imiter. »
- « Non pas l'accumulation au quotidien mais la perte au quotidien. Supprimez le superficiel. »
- « Si vous parlez de sport, c'est une chose. Mais quand vous parlez de combat, et c'est le cas, alors vous feriez mieux d'entraîner chaque partie de votre corps » - Bruce LeeB 1
Entre le 27 mai et le 10 juillet 1965, Bruce Lee réalise quatorze séances de musculation au gymnase Hak Keung lors de vacances à Hong Kong. Les fiches d'entraînement détaillant les exercices réalisés et les mensurations prises avant et après la période d'entraînement ont été publiées par Linda Lee en 1989A 1 et commentées par John Little dans The Art of Expressing the Human BodyB 2.
Bruce Lee a marqué toute une génération de créateurs et d'artistes.
- Aux États-Unis
- Gin Seng, héros de Phantom Force, l'un des derniers comics produits par le « King of Comics » Jack Kirby, est inspiré de Bruce Lee. Les pages dans lesquelles il apparaît sont directement recyclées d'un projet de comic book consacré à Bruce Lee datant des années 1970, mais qui n'a jamais vu le jour22.
- Une biographie dessinée de Bruce Lee apparaît dans le no 28 du magazine Deadly Hands of Kung Fu(septembre 1976), publié par Marvel Comics. Le scénario est de Martin Sands, et le dessin de Joe Staton et Tony DeZuniga.
- En 1995, Malibu Comics publie une série de six comics sous le titre Bruce Lee, une histoire fictive dont le personnage principal n'a que peu de points communs avec Bruce Lee en dehors de la pratique des arts martiaux. Les auteurs de cette BD, Mike Baron (scénariste) et Val Mayerik (en) (dessinateur) avaient préalablement travaillé sur deux séries de BD consacrées à Kato, le personnage qu'interprétait Bruce Lee dans Le Frelon vert23.
- Dans les comics de Marvel, un personnage nommé Iron Fist est très inspiré de Bruce Lee.
- Au Japon
- Hokuto No Ken (en France : Ken le Survivant) : le personnage principal de la série est très librement inspiré de Bruce Lee, que ce soit dans son apparence (coupe de cheveux, sourcils noirs, muscles saillants...) ou dans sa voix dans l'animé (notamment ses cris), qui rappellent ceux de Bruce Lee[réf. souhaitée]
- Détective Conan : le personnage de Masumi Sera est adepte du style de combat de Bruce Lee, qui est le jeet kune do.
- Naruto : Rock Lee est un clin d'œil à Bruce Lee et son maître Gaï Maito en est très inspiré.
- Shaman King : Lee Pyron est aussi très inspiré de Bruce Lee.
- Great Teacher Onizuka : Onizuka porte à un moment un costume identique à celui de Bruce Lee dans Le Jeu de la Mort.
- Cowboy Bebop : lors de la session #8, Waltz For Venus, le jeune Rocco Bonnaro est impressionné par le style de combat du héros Spike Spiegel qui n'est autre que le jeet kune do de Bruce Lee. Dans l'épisode 2 (Stray dog strut) de ce même manga), Spike est dans un magasin et impressionne le vendeur avec sa connaissance des arts martiaux, notamment en reconnaissant un Nunchaku modèle « way of the dragon », nom anglais de La Fureur du dragon.
- Eyeshield 21 : le personnage Seijuro Shin est un quasi « copié-collé » de Bruce Lee.
- En France
Plusieurs jeux vidéo s'inspirent directement du personnage de Bruce Lee :
On trouve également des clins d'œil dans :
Dans diverses sagas de jeux de combat, certains personnages sont inspirés de l'acteur :
- Soulcalibur : le personnage de Maxi
- Dead or Alive : le personnage de Jann Lee (il y est d'ailleurs dit qu'il pratique le Jeet-Kune-Do)
- Tekken : Marshall et Forest Law
- Street Fighter : Fei Long, lui aussi star de cinéma
- World Heroes, Kim Dragon, lui aussi star de cinéma (chinoise dans le premier opus, mais coréenne dans les suivant, ADK ayant eu peur de poursuite de la part de la famille Lee)
- Mortal Kombat : Liu Kang
- League of Legends : le champion Lee Sin
- 1973 : Bruce Lee : The Man and The Legend (Bruce Lee : L'homme et sa Légende)
- 1973 : The Real Bruce Lee / Bruce Lee : The Little Dragon
- 1977 : Bruce Lee : The Legend (Bruce Lee Story / La Légende de Bruce Lee)
- 1993 : Bruce Lee : Martial Arts Master
- 1993 : The Curse of The Dragon (La Malédiction du Dragon)
- 1993 : Death by Misadventure : The Mysterious Life of Bruce Lee (Bruce Lee : Mort par Accident)
- 1995 : Bruce Lee's Jeet Kune Do
- 1996 : Bruce Lee : The Immortal Dragon (Bruce Lee : Le Dragon immortel)
- 1998 : Bruce Lee : The Intercepting Fist (Bruce Lee : La Fureur des poings)
- 1998 : Bruce Lee : The Path of The Dragon (Bruce Lee : La Destinée du dragon)
- 1999 : The Lees : Action Speaks Louder (The Lees : Place à L'action)
- 2000 : The Unbeatable Bruce Lee / Bruce Lee : Immortal Dragon
- 2000 : Bruce Lee : A Warrior's Journey (Bruce Lee : Itinéraire d'un combattant / Bruce Lee : Le périple d'un guerrier / Bruce Lee : L'épopée du dragon (Paru en 2011))
- 2009 : How Bruce Lee Changed The World (Bruce Lee : La Légende)
- 2010 : Bruce Lee : In Pursuit of The Dragon (Bruce Lee : À la poursuite du dragon)
- 2012 : I Am Bruce Lee
Livres écrits à partir des recherches de Bruce Lee[modifier | modifier le code]
- Chinese Gung-Fu : The Philosophical Art of Self Defense (Le Kung-Fu chinois : une philosophie de la self défense). L'unique ouvrage édité du vivant de l'auteur : Bruce Lee.
- Pensées percutantes ou la Sagesse du combattant philosophe, Budo Éditions.
- Hommage au dragon éternel, Budo Éditions.
- Bruce Lee's Fighting Method 1-4, écrit par Bruce Lee.
- The Tao of Jeet Kune Do, écrit par Bruce Lee. (édition Budo L'éveil)
- The Art of Expressing the Human Body, à partir de notes de Bruce Lee compilées par John Little. Éditeur : Tuttle Publishing, 1998, (ISBN 0804831297 et 9780804831291), 256 pages. Aperçu [archive] sur books.google.gp.
- Bruce Lee : The Man Only I Knew (La vie et la mort tragique de Bruce Lee / Bruce Lee, mon mari) - écrit par Linda Lee.
- Bruce Lee, My Brother - écrit par Robert Lee.
- Absorb What Is Useful - Écrit par Dan Inosanto, sur la pratique du jeet kune do.
- Bruce Lee Between Wing Chun and JKD - Écrit par Jesse Glover.
- Bruce Lee: Dynamic Becoming - Un livre sur la philosophie de Bruce Lee.
- Bruce Lee: Fighting Spirit - Une biographie de Bruce Thomas.
- Striking Thoughts - Pensées et citations de Bruce Lee écrit par John Little.
- The Tao of Bruce Lee - Écrit par Davis Miller, sur la vie de Bruce Lee.
- Bruce Lee: The Art of Expressing the Human Body - Livre orienté sur la préparation physique et l'entraînement de Bruce Lee.
- Jeet kune do "Toutes les Techniques de Bruce Lee" - Livre écrit par Salem Assli et publié aux Éditions Chiron.
- Opération Dragon - Un essai sur Bruce Lee comme acteur écrit par Bernard Benoliel et publié en 2010 aux Éditions Yellow Now.
À l'exception d’Opération Dragon, il existe deux doublages sur les films de Bruce Lee :
- (en) Linda Lee, Jack Vaughn et Mike Lee, The Bruce Lee Story, Black Belt Communications, 1989 (ISBN 0-8975-0121-7), 189 pages
- (en) Bruce Lee, John Little, The Art of Expressing the Human Body, Tuttle Publishing, Volume 4 de la collection Bruce Lee library, 1998 (ISBN 0-8048-3129-7 et 978-0-8048-3129-1), 256 pages.
- ↑ « If you are talking about sport, that is one thing. But when you are talking about combat - as it is - well then, baby, you'd better train every part of your body » page 46 [archive]
- ↑ page 41 et 42 [archive]
- ↑ En chinois : 李振藩 ; pinyin : Lǐ Zhènfān ; cantonais Jyutping : Lei⁵ Zan³faan⁴. Nom de scène chinois « Li Xiao-Long » (chinois simplifié : 李小龙 ; chinois traditionnel : 李小龍 ; pinyin : Lǐ Xiǎolóng ; Wade : Li³ Xiao³long² ; cantonais Jyutping : Lee⁵ Siu²lung⁴.
- ↑ http://www.statista.com/chart/2868/posthumous-earners/ [archive]
- ↑ a et b Bruce Lee. Par Rachel A. Koestler-Grack. p. 116 [archive]. Infobase Publishing, 2007 - 128 pages.
- ↑ a et b Letters of the dragon: an anthology of Bruce Lee's correspondence with ... Par Bruce Lee, John R. Little. p.15 [archive]. Tuttle Publishing, 1998 - 190 pages.
- ↑ (fr) Prénom Bruce [archive] sur tous-les-prenoms.com
- ↑ Bruce Lee: Fighting Words. Par Bruce Thomas. p.156 [archive]. Frog Books, 2005 - 158 pages.
- ↑ Wing Chun Warrior: The True Tales of Wing Chun Kung Fu Master Duncan Leung ... Par Ken Ing. p.172 [archive]. Blacksmith Books, 2010 - 255 pages.
- ↑ Bruce Lee, John R. Little. Letters of the dragon : an anthology of Bruce Lee's correspondence with family, friends, and fans, 1958-1973. p. 172 [archive]. Tuttle Publishing, 1998 - 190 pages.
- ↑ Norman Borine. King Dragon — The World of Bruce Lee. p. 133 [archive]. Fideli Publishing Inc., 2008 - 331 pages. Note : Norman Borine que l'accident se produit chez Bruce Lee, dans sa salle d'entraînement, alors qu'il montre à un élève comment réaliser correctement un « good-morning ». Bruce charge la barre à 125 livres - environ son propre poids - et, pressé par le temps, débute l'exercice sans échauffement préalable. Sur le coup il ne ressent qu'une simple gêne, mais la douleur augmente rapidement et deux jours plus tard il doit se résigner à consulter un médecin.
- ↑ Bruce Lee, John Little. The Art of Expressing the Human Body. p. 53 [archive]. Tuttle Publishing, 1998 - 256 pages. Note : John Little rapporte que la barre faisait 135 livres et que Bruce débuta sans échauffement son entraînement habituel, consistant notamment en deux séries de huit répétitions de « good-morning ». À la dernière répétition de la première série, il ressentit un élancement douloureux dans le bas de son dos, et un « pop »[Quoi ?].
- ↑ The Bruce Lee Story. Par Linda Lee, Jack Vaughn, Mike Lee. p 89 [archive]. Black Belt Communications, 1989 - 189 pages.
- ↑ Questioning the Story (Bruce Lee's Death) [archive]
- ↑ À propos de la controverse entourant la mort de Bruce Lee, le célèbre acteur d'arts martiaux. A-t-il été assassiné ? [archive]
- ↑ (en) M. Uyehara, Bruce Lee: The Incomparable Fighter, Black Belt Communications, 1993, 144 p. (lire en ligne [archive])
- ↑ Little, John (1996). The Warrior Within - The philosophies of Bruce Lee to better understand the world around you and achieve a rewarding life. Contemporary Books. p. 122. (ISBN 0-8092-3194-8).
- ↑ Bruce Lee: A Warrior's Journey at 31m45s [archive]
- ↑ Little, John (1996). The Warrior Within - The philosophies of Bruce Lee to better understand the world around you and achieve a rewarding life. Contemporary Books. p. 128. (ISBN 0-8092-3194-8).
- ↑ Bruce Lee, Tao du jeet kune do, éditions BudoScope, 1997
- ↑ Thomas, Bruce (1994), Bruce Lee: Fighting Spirit : a Biography, Berkeley, California: Frog, Ltd., (ISBN 1-883319-25-0) .
- ↑ Lee, Bruce (1975). Tao of Jeet Kune Do. Ohara Publications. p. 25.
- ↑ (en) Phantom Force #1 [archive] 1993 - Jack Kirby Comics Weblog, 25 mars 2005.
- ↑ (en) Liste des différents media consacrés à Bruce Lee - Wikipedia anglophone
- ↑ a et b « Comédiens ayant doublé Bruce Lee en France » [archive], sur RS Doublage.
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