Lecteur de CD
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Lecteur CD Hi-Fi Marantz CD-52.
Le lecteur de CD (appelé communément « lecteur CD ») est un lecteur de disque optique qui lit au moyen d'une diode laser les disques optiques appelés disques compacts ou CD, qu'il s'agisse de CD audio ou de CD-ROM informatiques.
Quand il est utilisé pour écouter des CD de musique, le lecteur de CD peut être intégré à divers types d'appareils portables ou domestiques, à un combiné autoradio, etc. Il peut aussi être un appareil séparé, portable ou domestique, à relier à une chaîne hi-fi, un amplificateur audio ou un casque.
En informatique, le lecteur de CD se présente soit sous la forme d'un périphérique interne se trouvant dans l'unité centrale, soit d'un périphérique externe relié à l'ordinateur par un port USB ou FireWire.
Fonctionnement
Rotation du disque
La rotation du disque est assurée par un servomoteur à vitesse variable. En effet, que la portion de piste1 soit au centre ou en périphérie, la longueur des secteurs est toujours la même, par conséquent, contrairement au disque vinyle, le défilement des données devant la tête de lecture doit être constant2. En simple vitesse, un secteur doit être survolé en 1/75e de seconde. Pour une vitesse linéaire de lecture de 1,2 m·s-1, la vitesse de rotation varie de 458 tr/min pour lire les secteurs au diamètre 50 mm du disque à 197 tr/min pour lire les secteurs au diamètre 116 mm (environ)3. Pour comparaison, un lecteur à vitesse 16 fois supérieure (lecteur de CD-Rom 16x) verra la vitesse de son disque varier entre 7 328 tr/min et 3 152 tr/min.
Mécanique CD Philips à bras pivotant.
Déplacement de la tête
Le déplacement du bloc optique est assuré soit par un bras pivotant (mécaniques Philips) soit par un servomoteur linéaire d'une très grande précision car, sur un déplacement total possible de trois centimètres4, celui-ci est capable d'adopter 600 positions différentes par millimètre.
Une lentille d'un lecteur CD.
Diode laser
La diode laser émet dans l'infrarouge5 et sert aussi bien pour l'écriture que pour la lecture ; cependant, la puissance du faisceau est différente s'il s'agit d'un lecteur ou d'un graveur (quelques milliwatts en lecture contre 24 mW pour un graveur à quadruple vitesse), de plus, elle varie en fonction de la vitesse de gravure.
Optique dirigeant les faisceaux
La diode laser émet un faisceau vers un prisme (que l'on peut caractériser comme un miroir semi-transparent) ; ce prisme renvoie le faisceau à angle droit pour le diriger vers les lentilles. Le faisceau réfléchi par le disque (en polycarbonate) traverse le prisme pour exciter la photodiode.
Lentilles
Le bloc optique de focalisation est sur un dispositif mobile dont les déplacements sont commandés par des électroaimants. Ce système permet l'ajustement de la position (réglage coulissant) de la lentille de focalisation (montée sur une bobine mobile) par rapport au disque. Cet ensemble constitue l'objectif. La lentille, en amont de l'objectif, est utilisée pour concentrer le faisceau laser, de sorte à obtenir un faisceau d'environ un micromètre de diamètre, afin d'être capable de lire les microcuvettes (pits en anglais) de différentes longueurs du disque6. Le diamètre du faisceau n'étant pas significativement plus large que la longueur d'onde du rayon incident, la focalisation du faisceau doit donc être extrêmement précise. La fabrication de ces lentilles demande une plus grande rigueur mais, contrairement aux lentilles de microscopes, pour une seule longueur d'onde donnée, celle du rayon laser.
Diode photosensible
Celle-ci détecte les modifications de la lumière réfléchie. Pour un lecteur, cette diode est utilisée pour lire les informations du disque en détectant les variations de lumière reçues, caractérisées par les fronts engendrés par la succession des microcuvettes et des plages lisses intermédiaires (lands) du disque. Le signal haute fréquence capté par cette cellule réceptive est appelé diagramme de l'œil. Son décodage sert à plusieurs systèmes, dont le repérage de la position du faisceau du laser sur le disque et l'évaluation de la vitesse de rotation du disque, en vue de la corriger en permanence (travail des circuits d'asservissement). Pour un graveur, elle sert en plus au contrôle de la gravure. Pour un disque CD, le débit binaire capté est standardisé à 4,321 8 MHz.
Notes et références
Piste en spirale de 6 km.
La vitesse linéaire de lecture d'un CD est constante et comprise entre 1,2 et 1,4 m·s-1.
Sur un CD audio (diamètre de 120 mm), la plage utile est comprise entre les diamètres 46 et 117 mm ; la durée maximale de lecture est de 74 min 42 s.
Sur un CD audio, le déplacement maximal (sur la plage utile) est de (117-46)/2=35,5 mm.
Semi-conducteur utilisé de type AlxGa1-xAs, longueur d'onde comprise entre 760 et 820 nm.
Vues du côté lecture (donc du côté opposé au disque), les microcuvettes deviennent des micro bosses (bumps en anglais).
Voir aussi
Articles connexes
Lecteur de disque optique
Graveur de disque optique
CD et CD-ROM
DVD et DVD-ROM
EFM
« Jitter »
Convertisseur numérique-analogique
Lien externe
Le fonctionnement du lecteur CD expliqué en détail, pour tout public [archive]
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Toshiba HBS A 001 DVDplayer
Un lecteur de DVD (ou lecteur DVD) est un lecteur de disque optique utilisé pour exploiter les données numériques stockées sur des DVD et/ou disque Blu-Ray. L'arrivée du DVD Vidéo (Digital Versatile Disc) a donc révolutionné ce petit monde, qui est apparu en 1997 aux États-Unis en 1998 en Europe notamment en France. Le disque Blu-Ray est apparu pour la première fois quant à lui en 2006.
La plupart des lecteurs de DVD savent lire plusieurs formats de disques optiques :
CD,
Disque Blu-Ray
DVD réinscriptibles (DVD-R, DVD+R, DVD-RW, DVD+RW, etc.).
Platines de salon
Les lecteurs de DVD peuvent être utilisés au salon pour en restituer le contenu vidéo. Ils sont alors reliés à un téléviseur par prise Péritel, S-Vidéo, RCA ou HDMI, et à un système d'amplification audio par des sorties audio analogiques ou par un câble optique de type S/PDIF, pour bénéficier du son numérique.
Les platines DVD de salon sont aussi capables de lire les CD de type audio, voire VCD / SVCD et, pour les plus récentes, des CD et des DVD de données contenant des fichiers multimédias sous divers formats (en particulier le MP3 pour la musique, le JPEG pour les photos, et le DivX pour la vidéo).
Certains sites internet proposent des tutoriels pour bien choisir son lecteur de DVD ou BLU-RAY [archive].
Informatique
En informatique, les lecteurs de DVD sont des périphériques d'entrée d'un ordinateur. Ils peuvent être internes, c'est-à-dire intégrés au boîtier, ou externes, installés dans leur propre boîtier et reliés à l'ordinateur par connecteur USB ou FireWire, et alimentés en électricité par le secteur.
Lecteurs portables
Il existe aussi des lecteurs de DVD portables, munis d'un écran LCD compact (généralement entre 5 et 10 pouces de diagonale). Les fonctionnalités possibles sont les mêmes que celles des platines de salon.
Certains lecteurs portables sont spécialement prévus pour la voiture, pouvant être sanglés à l'appui-tête du conducteur ou du passager avant, sur la face arrière, pour être visionnés par un passager arrière. Ils peuvent être alimentés par l'allume-cigare.
Enfin, certains autoradios sont capables de lire les DVD, avec un écran placé au niveau du tableau de bord, ou directement intégré dans les appuis-tête.
Notes et références
Articles connexes
Lecteur de disque optique
Graveur de disque optique
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Lecteur de code-barres
Un lecteur de code-barres est un appareil électronique servant à lire les informations stockées sous la forme de code-barres. Il est l'ancêtre du lecteur de code QR.
Tout d'abord implémentés sous la forme de crayons optiques avec lesquels l'utilisateur devait manuellement balayer le code à une vitesse aussi constante que possible, ils ont ensuite évolués grâce à l'application de miroirs mobiles, vers des scanners automatiques.
Codage
Il existe de nombreuses façons de coder un code à barres, mais la plupart des méthodes utilisent, au début et à la fin, des barres de la largeur élémentaire afin de caler initialement le lecteur pour qu'il connaisse la largeur d'un code. En effet, outre le fait que le code peut avoir des tailles variable, la distance à laquelle il est présenté au scanner, va aussi faire varier sa taille apparente. Au centre du code à barres se trouvent les informations permettant de transformer les informations utiles en message.
Par exemple, on peut imaginer que « une bande noire ayant trois fois la taille d'une bande élémentaire, suivie d'une bande blanche du double de la largeur élémentaire, suivie d'une bande noire et d'une bande blanche toutes deux de largeur élémentaire » désignent le chiffre 0.
Cette information sera alors transformée en signal électrique en fonction du temps, ressemblant à ceci :
avec en abscisse le temps, et en ordonnée, le signal électrique.
Contraintes des systèmes de codage
Il existe de nombreux systèmes de codages, tous ces systèmes doivent avoir en commun quelques propriétés :
- Ils doivent avoir un sens de lecture. Si un code est lu dans un sens, on ne doit pas pouvoir lire un autre code en le lisant dans l'autre sens. En effet, on ne sait pas dans quel sens le scanner va lire le code.
- Le code doit contenir suffisamment d'informations de cohérence pour pouvoir être déclaré non valide si une barre est « mal reconnue » (c'est-à-dire si sa largeur a été incorrectement reconnue) : Il est toujours possible qu'un code soit abîmé par la présence de taches, par exemple, et il ne faut pas oublier que si le lecteur est capable de se resynchroniser pour des petites variations de vitesse, cette capacité est limitée. En particulier dans le cas des crayons optiques, une vitesse trop instable de la main fera que le code sera mal reconnu.
Dans tous les cas, la structure des codes contient des informations permettant de vérifier que la lecture s'est bien passée. La plus simple, étant la vérification que la quantité de données lues correspond bien à ce qu'on attendait selon le type de code. on peut aussi trouver des informations de parité, de somme de contrôle, voire des informations plus complexes - sans perdre de vue qu'on est limité par la quantité de donnée contenues dans le code.
Dans tous les cas aussi la structure des codes doit garantir l'impossibilité de confondre le contenu du code avec les informations de détrompage et de reconnaissance de ses extrémités (plusieurs codes barres pourraient se suivre et devenir indistinguables), ainsi qu'une alternance suffisante des contrastes pour éviter des longues périodes sans changement de couleur, qui interdiraient toute possibilité de resynchronisation.
Les codes utilisés
De nombreux systèmes existent, mais les principaux utilisés en France pour les produits de grande consommation sont EAN 8 et EAN 13, sur 8 et 13 chiffres respectivement, ainsi que les codes presses ISBN et ISSN sur 18 chiffres, composés d'un EAN 13 suivi d'un add-on sur 5 chiffres (dans lequel est stocké le numéro, ainsi que sa spécificité, c'est-à-dire son caractère hors-série ou non).
Les produits pharmaceutiques et médicaux en France utilisent les code 391 et code 128 (norme CIP Pharmacode), alors que les produits pharmaceutiques et médicaux en Suisse utilisent le code EAN 13.
Certaines postes utilisent POSTNET, d'autres le code-barres postal français.
Utilisation
Les lecteurs de code-barres sont principalement utilisés dans le cadre du commerce. Plébiscités par les commerçants qui vendent des articles lourds et difficilement manipulables, le lecteur de code-barres facilite la tâche des hôtesses de caisses. Les nouveaux modèles de lecteurs sont désormais sans fil ou communiquent avec la caisse enregistreuse via Bluetooth2.
Notes et références
Liens externes
Sur les autres projets Wikimedia :
Graveur de disque optique
Un graveur de disque optique à diode laser est un appareil électronique de stockage d'information pour l'informatique, l'audio et la vidéo.
Il permet de graver des CD-R et CD-RW (Compact Disc, « R » pour Recordable et « RW » pour ReWritable, soit respectivement disque compact enregistrable et disque compact réinscriptible), des VCD et des SVCD, éventuellement des CD+G, des DVD±R et DVD±RW (Digital Versatile Disc, « R » pour Recordable et « RW » pour ReWritable, soit respectivement disque numérique polyvalent enregistrable et disque numérique polyvalent réinscriptible).
Remarquons que le terme gravure n'est pas approprié. Dans le cas d'enregistrement de CD-R ou de DVD±R, il s'agit de brûlures multiples de la surface du support afin de créer les zones de non-réflexion pour le laser en lecture. Dans le cas de disques réinscriptibles (magnéto-optiques), la zone chauffée par le laser permet à deux tête magnétiques de modifier sa capacité à réfléchir la lumière.
En informatique
Il s'agit soit d'un périphérique interne se trouvant dans l'unité centrale (matériel informatique), soit d'un périphérique externe sur port USB ou FireWire. Il s'agit d'un périphérique d'entrée-sortie.
Audio et vidéo
Peut être présent sur une chaîne hi-fi, une unité multimédia ou une platine audiovisuelle de salon. On le trouve parfois dans un enregistreur DVD de salon ou « DVDscope » (évolution de magnétoscope en DVD).
Voir aussi
La gravure de reproduction au XIXe siècle : procédure d'impression d'une page illustrée pour un livre ou un journal. L'illustrateur réalise le dessin directement sur une planche de bois ou sur une feuille de papier qui est ensuite décalquée sur le bois. Ce dessin est éventuellement une copie d'une peinture ou d'une photographie, ou est éventuellement réalisé à partir d'un croquis envoyé par un correspondant. Le bois utilisé est très dur (le plus souvent du buis) et est coupé perpendiculairement aux fibres (bois « de bout »). Le graveur se charge alors de graver le dessin. Il utilise un burin pour enlever les parties qui ne devront pas être imprimées (les blancs) et « épargne » les parties qui devront être imprimées (les noirs). Il s'agit d'une gravure en relief (taille d'épargne) qui possède le très grand avantage de permettre une impression « typographique », c'est-à-dire que l'on peut placer le bloc de bois gravé en relief avec les blocs de texte composés de caractères en plomb, eux aussi en relief. On pouvait ainsi imprimer en une seule passe le texte et les illustrations contenus sur une page. On remarque que l'impression inverse l'image (effet miroir).
On appelle gravure de reproduction (ou estampe de reproduction) une estampe dont l'image est une œuvre en tant que telle, mais dont l'exécutant n'est pas l'auteur du dessin original — en opposition à l'estampe originale, dont l'auteur de la gravure est aussi celui du dessin1.
La gravure d'interprétation (ou estampe d'interprétation) se distingue de la précédente par la manière dont le graveur traduit le motif original, en des nuances qui lui sont propres2.
La gravure est à l'origine avant tout un moyen de reproduction, les moyens photomécaniques n'existant pas encore ; l'artiste peintre l'utilise ou emploie des graveurs, pour faire connaître ses tableaux en diffusant son image en plusieurs exemplaires1,3. Le graveur est alors un artisan recherchant avant tout un but lucratif : il est souvent également l'imprimeur et le marchand de ces estampes3. Cependant, au XIXe siècle, les rôles sont répartis : on a le graveur, l'imprimeur (ou tireur) et le marchand-libraire, appelé simplement éditeur.
C'est ainsi que la gravure a été un facteur important de diffusion de l'art de par l'Europe et le monde, du XVe siècle en Allemagne et dans les Flandres — le premier maître de la gravure de reproduction est l'italien Marcantonio Raimondi (1480-1534) — au XIXe siècle, avec l'apparition de la photographie et des musées d'art3. C'est aussi aujourd'hui grâce à des estampes de reproduction que nous connaissons certaines peintures perdues4.
Par la suite, elle devient plus artistique : l'auteur s'exprime plus personnellement, et la gravure d'interprétation devient une gravure originale ; la frontière est d'autant plus mince depuis l'apparition de procédés artistiques de reproduction, comme la sérigraphie1.
Notes et références
Annexes
Bibliographie
- Monographies
- Paul Bornet, De la gravure originale, de la gravure de reproduction en particulier, de quelques vérités générales qui sont des lieux communs qu'on demande l'autorisation de redire, Paris, Zay, 1914 (OCLC 11236139).
- (en) Susan Lambert, Victoria and Albert Museum, The Image Multiplied: Five Centuries of Printed Reproductions of Paintings and Drawings, Trefoil, , 216 p. (ISBN 9780862940966).
- Gaëtane Maës, Musée de la Chartreuse, Invention, interprétation, reproduction: gravures des anciens Pays-Bas (1550-1700), Association des conservateurs des musées du nord, 2006, p. 73- (lire en ligne [archive]).
- Claudia-Alexandra Schwaighofer, « De la gravure d'interprétation au fac-similé : l'aspect technique des recueils d'estampes d'après dessins au XVIIIe siècle », dans Cordélia Hattori, Estelle Leutrat, Véronique Meyer, Maxime Préaud, À l'origine du livre d'art : les recueils d'estampes comme entreprise éditoriale en Europe, XVIe-XVIIIe siècles, Milan, Silvana (ISBN 978-88-366-1515-5, OCLC 887044819), p. 121-130.
- D'après les Maîtres. La gravure d'interprétation, d'Alphonse Leroy à Omer Bouchery, Lille, Musée de l'Hospice Comtesse, Éditions Eyrolles, 2007.
- Catalogues d'exposition
- Articles
- Stephen Bann, « Entre fac-similé et haute gravure : L’image dans la presse française des années 1830 », La trame des images/Histoires de l'illustration photographique, no 20, , p. 4-17 (lire en ligne [archive]).
- Stephen Bann, « Photographie et reproduction gravée », Études photographiques, no 9, (lire en ligne [archive]).
- Viktoria Schmidt-Linsenhoff, « Les estampes d'après Guido Reni : introduction à la gravure de reproduction au XVIIe siècle », Nouvelles de l'estampe, nos 40/41, , p. 5-17 (ISSN 0029-4888, OCLC 888146049).
- Bénédicte Gady, « Gravure d'interprétation et échanges artistiques : les estampes françaises d'après les peintres italiens contemporains (1655 - 1724) », Studiolo, no 1, , p. 64-104 (ISSN 1635-0871, OCLC 886298954).
- Bénédicte Gady, « La gravure d'interprétation comme art et critique d'art : la peinture romaine contemporaine selon Benoît Farjat, Nicolas Dorigny et François Spierre », Nouvelles de l'estampe, no 199, , p. 6-22 (ISSN 0029-4888, OCLC 887188717).
- Emmanuel Pernoud, « Serviteurs devenus maîtres : Focillon et la gravure d’interprétation », Perspective, no 2, , p. 217-226 (DOI 10.4000/perspective.15656, lire en ligne [archive]).
Liens externes