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Catégorie : Bourses
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Groupe PSA (Peugeot Société Anonyme) est un constructeur automobile français qui exploite les marques automobiles Citroën, DS, Peugeot Note 2,6, ainsi que Vauxhall et Opel depuis le rachat de la division européenne de l'américain General Motors en mars 2017. PSA Peugeot Citroën est devenu Groupe PSA le 5 avril 2016.

En 2016, l'entreprise occupe le 1er rang en France, avec 27,74 % de parts de marché (30,12 % en 2012) pour les marques Citroën, DS et Peugeot7. En Europe, le Groupe PSA occupe la 3e place en termes de parts de marché avec 9,78 %8. Au niveau mondial, le groupe était le 10e constructeur automobile en 2014.

En 2017, le Groupe a vendu 3 630 000 véhicules, en croissance de 15,4 % sur 2016.

Misant sur sa production en France, PSA est en 2014 la troisième entreprise exportatrice de France et a apporté 4,721 milliards d’euros (+5,3 %) toutes activités industrielles confondues à la balance commerciale française en 20149.

Au 31 décembre 2015, l'entreprise chinoise Dongfeng, l'État français et la famille Peugeot détiennent chacun 13,68 % des actions10,11. Au premier semestre 2017, l’État cède ses parts à la banque publique Bpifrance12.

L'action du groupe est cotée à la bourse de Paris au sein de l’indice de référence CAC 4013.

Sommaire

Histoire

Fondation de PSA

PSA (Peugeot Société Anonyme) est fondé à la mi-196614 à Sochaux pour former le holding du groupe automobile du même nom. Il s'agit en fait d'un transfert juridique de la Société des Automobiles Peugeot qui devient PSA.

Rachat de Citroën

La naissance de PSA Peugeot Citroën intervient en avril 197615 à la suite de l'absorption de Citroën SA par Peugeot SA en décembre 19741 à la demande du gouvernement français, car Citroën est en faillite et au bord du dépôt de bilan.

Peugeot supprime les projets Citroën non rentables et un premier modèle standardisé apparaît, la Citroën LN, qui reprend la carrosserie du coupé Peugeot 104 et le moteur de l'Ami 6.

Rachat de Chrysler

Ayant réalisé de bons résultats depuis 1976 grâce à des finances soigneusement gérées, le groupe PSA Peugeot Citroën annonce le 10 août 197816 le rachat de Chrysler Europe (4,5 % du marché européen avec Simca en France, Rootes en Grande-Bretagne et Barreiros en Espagne) pour 230 millions de dollars (1 milliard de Franc français), devenant le no 1 européen et no 4 mondial derrière General Motors, Ford et Toyota. La cession comprend aussi le contrat de fournitures de pièces détachées à Iran Khodro pour y assembler la Paykan, puis ultérieurement d'autres véhicules Peugeot17. Sur le plan du capital, Chrysler se voit offrir 14,4 % de Peugeot SA, et devient le deuxième actionnaire de référence tandis que la famille Peugeot rétrograde de 49 % à 37 %. Dans le contexte politique de l'époque avec une possible victoire de la Gauche aux élections législatives, l'allié américain complique une éventuelle nationalisation, alors que Chrysler se décharge de ses filiales européennes18.

En juillet 1979, Chrysler Europe prend le nom de Talbot, qui avait été racheté par Simca dans les années 1950. Trois marques composent alors le groupe français PSA : Peugeot, Citroën et Talbot. La renaissance de Talbot est difficile : elle tombe au moment du deuxième choc pétrolier et la marque n'a pas de petit modèle à vendre, segment où se fait la croissance du marché. Jean-Paul Parayre fusionne alors les réseaux Peugeot et Talbot en France à l'automne 198019.

Les affaires ne marchent pas beaucoup mieux pour Citroën et Peugeot confrontés au vieillissement de leurs modèles. De plus, en mai 1982, les usines d'Aulnay et de Poissy connaissent des grèves dures. Sur place, les syndicalistes de la CGT se battent contre ceux du syndicat maison, la CSL20.

Cette époque coïncide en outre avec l'arrivée chez Citroën, en 1980, de Georges Falconnet à la direction commerciale, et avec lui d'une collaboration suivie avec Jacques Séguéla.

La petite Talbot Samba est lancée en 1981, mais comme les autres modèles Talbot, ses ventes subiront une baisse régulière. À la mi-juillet 1983, Peugeot-Talbot annonce 7 371 suppressions d'emplois, soit 9 % des effectifs du groupe. Le 27 juillet 1983, Jacques Delors déclare : « Une meilleure structure financière permettrait à Peugeot de régler ses problèmes sociaux de manière moins brutale ».

La présidence de Jacques Calvet

La Peugeot 205, succès européen de PSA
La Citroën BX, elle sauvera Citroën de la faillite dans les années 1980. Pour marquer son lancement, elle sera présentée sous la Tour Eiffel à Paris.

Alors, la famille Peugeot fait appel aux services de l'énarque Jacques Calvet qui est nommé président du directoire. Emblématique et médiatisé, il dirige le groupe durant 13 ans, de 1984 à 199721 en le restructurant profondément pour en assurer le sauvetage. La banque d'organes communs aux deux marques lancée par Jean-Paul Parayre est développée méthodiquement, engendrant de grosses économies dans les coûts de revient pour maintenir des prix de ventes compétitifs face à la concurrence.

PSA va alors développer une synergie entre ses marques et développer des projets sur les mêmes bases pour limiter les coûts de production. Grâce aux modèles Citroën BX et Peugeot 205, les deux marques se redressent tandis que Talbot disparaît en France en 1986. La plate forme de la Citroën ZX est reprise par la Peugeot 306, puis par la Citroën Xsara, la Citroën Xsara Picasso et en partie par le premier Citroën Berlingo / Peugeot Partner.

Si, Jacques Calvet, dans toute sa communication, conférences de presse, discours, etc., met toujours en avant les deux marques sans jamais privilégier l'une par rapport à l'autre, c'est moins le cas pour les produits. Certains lui reprocheront d'avoir banalisé les modèles Citroën dans les années 1990.

La présidence de Jean-Martin Folz

La Citroën C6, véhicule de la présidence française

Jean-Martin Folz succède à Jacques Calvet de 199721 à 200622.

Après deux ans passés à étudier le Groupe et la concurrence au sein de la Direction de la Stratégie, Jean-Martin Folz lance dès son accession à la présidence une politique de plates-formes destinée à structurer tant la communauté de composants entre les véhicules du Groupe que son organisation technique et industrielleNote 3. Il fait adopter le pilotage par projet des nouveaux développements véhicules et organes mécaniques23 et fusionne tout l'"Amont Technico-Industriel" (production, études et méthodes) pour ne laisser aux deux marques du Groupe que leur structure commerciale, marketing et communication. Il regroupe donc les fabrications des modèles Citroën et Peugeot dans les mêmes usines24 et renforce le groupe à l'international dans les pays à forte croissance (Brésil et Chine).

Pour réduire les coûts de recherche et de production, PSA mène depuis plusieurs années des coopérations ciblées avec d'autres constructeurs, les plus anciennes sont avec Renault (mécanique) depuis 1966 et Fiat avec les filiales Sevel (utilitaires légers Citroën C25 - Peugeot J5) depuis 197825. De nouvelles alliances sont nouées avec Ford (tous les moteurs diesel), Toyota (petite voiture d'entrée de gamme), BMW (moteurs essence) et Mitsubishi (SUV).

Le groupe connaît une nouvelle forte croissance jusqu'à 2003, notamment grâce au succès de la Peugeot 206, Citroën Xsara Picasso, Peugeot 307, aux gammes de moteurs diesel et à la politique de coopération.

L'année 2004 fut, selon les deux directeurs généraux de Peugeot et de Citroën, pour les deux marques du groupe, « convenable » mais contrastée. En Europe, où le groupe avait un important programme de lancement de nouvelles voitures, le phénomène de guerre des prix s'est amplifié, alors que la croissance en Chine est décevante, car il y a trop de constructeurs pour ce marché[réf. nécessaire].

Malgré le lancement en 2005 de la 1007 et le duo Peugeot 107 et Citroën C1, premiers véhicules produits en coopération avec Toyota à Kolin (République tchèque), les ventes ont continué à stagner et les résultats à baisser. Au premier semestre 2006, les résultats subissent une baisse de plus de la moitié, ce qui contraint Jean-Martin Folz à annoncer un plan d'économies.

En 2006, les ventes mondiales du groupe, à 3 365 900 (dont 68,22 % en Europe, 13,8 % de part de marché), ont baissé de 0,7 %26, dont 1 959 800 (dont 62,50 % en Europe, 7,4 % de part de marché) pour Peugeot, (+1,8 %) et 1 406 100 (dont 76,19 % en Europe, 6,4 % de part de marché) pour Citroën (+0,8 %)27. Folz annonce son départ. Christian Streiff est choisi fin 200622 et lui succède début 200728.

La présidence de Christian Streiff

La Peugeot Bipper, utilitaire de l'année 2008
Groupe de propulsion électrique PSA Peugeot-Citroën : 20 kW à 5 500 tr/min, moteur à courant continu, permettant une vitesse de 91 km/h, avec un ratio fixe ; En arrière en haut: accumulateur nickel-cadmium : capacité 100 ampères-heures, 120 volts, 300 kg ; durable et résistant au froid. Chargeur embarqué 3 kW permettant 15 km suppl. par heure. Pour Peugeot 106, Citroën Saxo (les deux best-sellers), Citroën AX, Citroën Berlingo et Peugeot Partner, soit un total de plus de 10 000 exemplaires. Photographié en Museum Autovision, Altlußheim

PSA annonce 4 800 suppressions d'emplois par départs volontaires majoritairement en France en avril 2007, expliquant que le groupe est dimensionné pour produire 4 millions de véhicules alors qu'il n'en vend que 3,4 millions. Au premier trimestre, le chiffre d'affaires a progressé de 6,5 %29.

Le groupe annonce un plan stratégique CAP 2010 qui prévoit une forte croissance à l'international et une baisse des frais de structures (10 % des cadres ont quitté le groupe en 2007)30, une plus grande différenciation des deux marques combinée à un approfondissement des synergies internes, afin de parvenir à une remontée de la rentabilité vers 6 %. L'objectif est alors de retrouver une part de marché de 15,5 % en Europe en y vendant 300 000 unités de plus entre 2006 et 2010 (dont un quart proviendra de la hausse des utilitaires légers)31.

En 2007, les ventes mondiales du groupe ont augmenté de 1,8 % à 3 428 000 unités (13,9 % de part de marché) dont 67,77 % en Europe, réparties entre 1 967 000 (+0,4 %) pour Peugeot (7,3 % de part de marché) dont 62,18 % en Europe et 1 461 000 (+3,9 %) pour Citroën (6,6 % de part de marché) dont 75,22 % en Europe. La bonne année de Citroën est basée sur une gamme renouvelée avec le grand succès des nouveaux Citroën C4 Picasso, alors que celle de Peugeot déçoit (les ventes sur le rentable marché ouest-européen ont chuté de 20 % en cinq ans32). Au niveau mondial, les ventes du groupe ont progressé de 3,8 %, dont plus 30 % au Brésil et en Argentine33.

La Citroën DS5. L'année 2009 marque l'avènement d'une nouvelle gamme de véhicules premium avec la Citroën DS3.

Prenant acte que la progression du diesel touche à sa fin, PSA a annoncé le lancement en 2010-2011 d'un nouveau moteur essence tricylindre de 70 à 100 ch avec pour objectif des émissions de moins de 100 g de CO2 par km. Produit à Trémery dès 2010, il doit être fabriqué à terme à 1 million de moteurs EB par an34. Dans la même veine écologique/bon marché, Citroën a confirmé vouloir industrialiser pour 2012 le projet C-Cactus, voiture essentielle” ne disposant « que des pièces nécessaires » (soit deux fois moins que sur un véhicule classique dans l’habitacle), à la vitesse limitée à 130 km/h35. Enfin, PSA a confirmé ensuite le lancement début 2011 d'une Peugeot électrique en partenariat avec Mitsubishi et deux hybrides diesel/électrique dotés de la technologie Hybrid4 présentée au Mondial de l'automobile sur la base des Peugeot 3008 et la Citroën DS536.

Au 1er semestre 2008, PSA tient ses objectifs avec une croissance des ventes mondiales de 4,6 % et trouve en la Peugeot 308 et la Citroën C5 II deux succès alors que le groupe conforte son leadership européen dans les utilitaires légers37. Toutefois, la baisse des marchés européens à la suite de la crise financière de l'été 2008 oblige le groupe à des mesures de réduction brutale de la production en Europe38, qui ne pourront être compensés par le développement des ventes sur les autres continents, pour lesquels le groupe lancera en 2011 le véhicule d'entrée de gamme comparable à la Dacia Sandero qui lui manque sur les marchés émergents39.

Encore en ligne avec l’objectif de Cap 2010 au premier semestre (3,7 % de marge opérationnelle pour le groupe avec 1,11 milliard d’euros), la crise économique a dégradé les comptes dans la dernière partie de l’année (-2,3 % avec une perte de 565 millions d’euros au deuxième semestre). PSA annonce une marge opérationnelle 2008 de 550 millions et une perte nette de 343 millions d’euros. Le chiffre d’affaires est en recul de 7,4 % à 54,35 milliards d’euros. PSA prévoit une baisse de ses ventes de 20 % en 2009 et un maintien à ce niveau en 2010, soit 2,6 millions de voitures (contre 3,26 millions en 2008). Le plan de 3 500 départs annoncé en 2008 passe à 11 000 40. Ces mauvais résultats et des tensions avec la Famille Peugeot conduisent le 29 mars 2009 au limogeage de Christian Streiff, remplacé par Philippe Varin41,42.

Bien qu'il se soit mis à dos tous ses partenaires, on lui doit la validation de la gamme premium (inaugurée par la Citroën DS3 et la Peugeot RCZ), succès qui éclot sous la période Varin43.

La présidence de Philippe Varin

Philippe Varin à Berlin, en 2013.

Philippe Varin annonce pour le premier semestre 2009 une perte nette de 962 millions d'euros et un chiffre d'affaires en baisse de 22 %44. En suivant les orientations du président du conseil de surveillance Thierry Peugeot42, Varin confirme vouloir « approfondir nos coopérations techniques avec nos partenaires actuels (…) Nous étudierons les opportunités [d'alliances] dans les pays émergents. À condition de rester indépendants, de créer de la valeur, et que ce soit cohérent avec notre stratégie », notamment afin de renforcer significativement le groupe hors Europe. En sus des véhicules faiblement émetteurs et d'une variante du véhicule électrique iMiEV de Mitsubishi, il annonce le lancement d'un hybride rechargeable émettant environ 50 g/km. Il vise alors une part de marché en Europe de 14 % et un retour à la rentabilité courant 201045. En août 2009, le groupe doit faire face à l'abaissement de sa notation par Standard & Poor's de « BBB-/A-3 » à « BB+/B », qui le fait tomber dans la catégorie spéculative de « junk bonds »46. Malgré un redressement au second semestre, PSA finit l'année avec une perte nette de 1,16 milliard d'euros47.

Le 3 décembre 2009, le groupe annonce étudier un rapprochement avec le constructeur japonais Mitsubishi48,49. Cependant cette alliance capitalistique avorte, les deux groupes annonçant le seul renforcement de leurs coopérations industrielles50.

Pour devenir global, PSA ambitionne de se renforcer significativement d'ici 2015 en Chine (en passant de 3 % à 8 % de part de marché) et au Brésil en adaptant mieux ses produits à la clientèle locale51. En Chine, le groupe réfléchit à la construction en 2010 d'une troisième usine avec Dongfeng52 et fonde le 9 juillet 2010 une nouvelle coentreprise avec Chang'an pour produire la marque DS, puis des utilitaires légers et des véhicules low-cost sous une troisième marque53. En juin, PSA nomme Grégoire Olivier directeur des opérations en Asie ; c'est le premier membre du directoire installé en permanence à l'étranger54, y décide le lancement de ses moteurs essence les plus modernes55 puis y présente un modèle en première mondiale, la Citroën DS556. En grave difficulté en Europe, la Chine devient au premier trimestre 2013 le premier marché mondial de PSA57.

La fiabilité et la sobriété des véhicules PSA sont récompensées par exemple par les prix de Taxi de l'année 2010-2011 pour le Peugeot 5008 et de Taxi de l'année 2013-2014 pour le Citroën C4 Picasso.

Le premier semestre 2010 voit un rebond du groupe avec 1,856 million d'unités vendues (dont 1,618 million pour les véhicules montés) soit une progression de 16,8 % par rapport à 200958. Les marchés extra-européens commencent à compter dans les résultats financiers, la Chine comptant en 2010 pour 14 % de ses bénéfices56. Mais le groupe rechute après l'été 2011: en novembre, PSA annonce la suppression de 6 000 postes en Europe dont 5 000 en France, pour anticiper une prévision sur la baisse des bénéfices59. Pour des raisons électorales, l'année de la fermeture du site d'Aulnay est retardée jusqu'à l'été 201260. PSA annonce également des cessions d'actifs dans la location de véhicules en 201161 puis en avril 2012, son siège du 75 avenue de la Grande-Armée à Paris62 ou encore 75 % de GEFCO en septembre 2012 aux chemins de fer russes RJD63.

En février 2012, PSA et General Motors annoncent une alliance incluant une prise de participation au capital de 7 % de GM chez PSA64. Également en février, le groupe annonce la fin de ses livraisons en direction du marché iranien. L'Iran représente alors 22 % des volumes de la marque et surtout « le premier débouché pour les véhicules particuliers devant la France (458 000 ventes de pièces de véhicules assemblés en Iran contre 441 790 en France en 2011) »65. Selon PSA, cette décision n'aurait de conséquence que pour 115 salariés à Vesoul66.

Le 12 juillet 2012, le groupe annonce la suppression de 8 000 postes en France et l'arrêt du site d'Aulnay-sous-Bois pour 201467. Le même jour, l'action de PSA Peugeot Citroën passe sous les 7 euros et atteint son plus bas historique68. Le 25 juillet 2012, le constructeur annonce une perte nette de 819 millions d'euros au premier semestre69, contre un bénéfice net de 806 millions un an plus tôt. Un plan d'économies de 1,5 milliard à l'horizon 2015 est annoncé70. Le 11 septembre 2012, Emmanuel Sartorius, expert mandaté par le gouvernement français, rend publiques les conclusions de son rapport71 concernant PSA Peugeot Citroën et met en cause la gestion du groupe, en dénonçant notamment une importante distribution de dividendes « inopportune à plusieurs titres ». Bien antérieurement, d'autres voix s'étaient élevées pour dénoncer une gestion déplorable par une famille indigne de ses ancêtres72. Le 24 septembre, PSA quitte l'indice CAC 4073.

Alors que des perspectives de faillite à l'horizon 2015 sont évoquées74, l'action PSA chute en novembre 2012 à moins de 4,5 euros, valorisant le groupe à seulement 1,59 milliard d'euros75, précipitant l'abandon du projet de fusion d'Opel avec la division automobile de PSA76. Le 11 décembre 2012, PSA annonce la suppression de 1 500 postes supplémentaires portant leur cumul à 11 200 entre mai 2012 et mai 201477. En octobre 2013, un accord de flexibilité est signé entre la direction et quatre organisations syndicales78. En février 2013, la direction de PSA annonce une perte de 1,5 milliard d'euros pour la division automobile en 2012 (5 milliards d'euros en prenant en considération des dépréciations d'actifs et en termes de présentation comptable)79. Le 11 avril 2013, l'agence de notation Moody's annonce baisser d'un cran la note de crédit de PSA de Ba3 à B1, en raison de pertes plus importantes que prévu dans sa division automobile et de « difficultés persistantes de la restructuration des activités automobiles »80. Le Groupe annonce début 2013 un repositionnement de ses marques : montée progressive en gamme de Peugeot, plus grande différenciation des lignes DS et C de Citroën, cette dernière étant positionnée plus en entrée de gamme81.

Le Citroën C-XR Concept, présenté au salon Auto China 2014, a été conçu sous la présidence de Philippe Varin.

Le 12 décembre 2013, le constructeur américain General Motors annonce la vente de l’intégralité de ses 7 % du capital de PSA, signant le constat d'échec des ambitions annoncées, le même jour où PSA annonce des pertes 2013 plus lourdes que prévu et 1,1 milliard d'euros de dépréciations d'actifs82. La fusion avec Opel a été rapidement abandonnée76 et les projets de coopération sont restés plus faibles qu'escompté et limités au périmètre européen (achats, logistique, production de monospaces, moteurs82...)83,84. À la suite du rapprochement avec GM, des anciennes coopérations doivent être stoppées : BMW met fin à celle dans le domaine des véhicules hybrides85. Celui avec Ford dans les moteurs diesel est un temps menacé84,82 puis reconduit en 201586.

Le 25 novembre 2013, les médias français annoncent le remplacement du président du directoire Philippe Varin par l'ancien numéro 2 de Renault Carlos Tavares dans le courant de l'année 201487. Cherchant à renforcer sa structure financière et sa coopération industrielle, le conseil de surveillance de PSA valide une augmentation de capital de 3 milliards d'euros. Cette opération comprend une augmentation de capital de 1,5 milliard d'euro provenant de Dongfeng et de l’État français, soit 750 millions chacun) et 1,5 milliard qui proviendrait du marché88. Le 18 février 2014, le conseil de surveillance de PSA donne son accord pour l'augmentation de capital89. PSA négocie aussi l'entrée au capital de Banco Santander au capital de Banque PSA Finance afin de renforcer sa filiale et de réduire ses coûts de refinancement90.

Le 26 mars 2014, Philippe Varin officialise l'accord faisant entrer l'État et le constructeur chinois Dongfeng à hauteur de 750 millions chacun dans le groupe PSA, puis il cède son poste à Carlos Tavares91.

La présidence de Carlos Tavares

Carlos Tavares en mars 2018

Carlos Tavares annonce en avril 2014 son plan de relance de PSA, nommé Back in the race, qui passe notamment par une rationalisation de la gamme qui devrait passer de 45 à 26 véhicules pour les trois marques, et par une réduction des coûts de l'outil de production. Tout en confirmant les objectifs en Chine, il veut redresser la situation déficitaire du groupe en Amérique latine et en Russie sous trois ans, tout en pénétrant mieux le marché africain et le bassin méditerranéen92.

Après les trois unités de Wuhan, PSA obtient durant l'été 2014 le feu vert pour une quatrième usine à Chengdu93. Grâce à la stratégie mise en place sous la présidence de Philippe Varin, les ventes de Dongfeng Peugeot-Citroën Automobiles (DPCA) ont bondi de 28 % au premier semestre 2014, dans un marché global en hausse de 12,3 %94. Huitième groupe en Chine en 2013, PSA prévoit de dépasser les 5 % de parts de marché, grâce au développement de sa marque DS et au succès de ses récents Citroën C-Elysée, Peugeot 2008 et Citroën C3-XR. Dongfeng Citroën se classe en tête dans l’enquête de satisfaction de J.D. Power en Chine95, Dongfeng Peugeot avec 737 points se situant lui aussi nettement au-dessus de moyenne de 671 points des constructeurs généralistes.

PSA Peugeot Citroën s'engage à maintenir une forte production de véhicules en France96,9 malgré la tendance générale de fermeture d'usines et de baisse de la production en Europe97. Quinze véhicules PSA, à savoir trois DS, trois Citroën et neuf Peugeot, attestent du label Origine France Garantie98,99,100. PSA Peugeot Citroën a aussi annoncé un plan de modernisation de ses sites de production en France d'un montant de 1,5 milliard d’euros entre 2014 et 2017. Ces investissements se répartissant en 400 millions d’euros pour le site de Mulhouse, 300 pour celui de Sochaux et 90 pour celui de Rennes. PSA souhaite ainsi baisser ses coûts de 500 euros par véhicule et généraliser la production de plusieurs modèles sur une seule ligne101.

En avril 2015, PSA lance les études d'une nouvelle plate-forme baptisée CMP (Common Modual Platform), qui succède à l'EMP1, en coopération avec Dongfeng qui finance son développement à hauteur de 40 %. 20 % moins chère que sa devancière et plus légère de 40 à 45 kg, la CMP sert au segment B (208, C3...) et l’entrée de gamme du segment supérieur (301 ou C-Élysée)102. En 2014, PSA Peugeot-Citroën se situe en première position des plus faibles émissions de CO2 en Europe103. Cet accord est prolongé en mai 2016 par une alliance à parité sur le développement de la plate-forme « e-CMP » pour des véhicules électriques104 dont les modèles seront lancés dès 2019105.

En 2015, les ventes de PSA progressent de 1,2 % à 2,973 millions de véhicules grâce au redressement du marché européen106, ce qui permet à PSA d'afficher un chiffre d'affaires de 56,3 milliards d'euros (+5,7 %) et pour la première fois depuis plusieurs années un résultat net positif à hauteur de 1,2 milliard d'euros, avec une marge opérationnelle de 5 % pour la division automobile107. Ce redressement est aussi sensible en Amérique du Sud, où PSA est pour la première fois bénéficiaire en 2015. Présent industriellement en Argentine depuis 1999 et au Brésil depuis 2001, PSA avait déjà réalisé des bénéfices sur certains pays, mais jamais sur la zone complète. La production s'est concentrée sur les modèles essentiels et les effectifs réduits de 3 000 personnes. En deux ans, le seuil de rentabilité est abaissé de 400 000 véhicules à moins de 150 000. Bien anticipée, la baisse des deux principaux marchés a été partiellement compensée par un développement commercial au Mexique et le couloir andin (Chili-Pérou-Colombie)108,109.

PSA lance en mars 2016 sa nouvelle génération de Peugeot Expert et Citroën Jumpy, maintenant basés sur la plate-forme EMP2, et affirme à cette occasion vouloir devenir un acteur mondial dans les utilitaires légers en triplant ses ventes pour les porter 1,2 million d'unités par an110.

En avril cette même année, PSA Peugeot Citroën devient PSA Groupe et change de logo. Le 5 avril, Carlos Tavares présente un nouveau plan nommé Push to Pass qui annonce 28 futurs modèles d'ici 2021, une augmentation prévisionnelle des ventes de Citroën de 10 % et un retour aux États-Unis dans la prochaine décennie111. PSA annonce une baisse de 0,2 % de ses ventes mondiales au premier semestre 2016, le net redressement observé en Europe étant effacé par une chute de 19 % des ventes en Chine où sa part de marché passe de 4,2 à 3 %, faute d'offrir assez de modèles SUV et face à la concurrence des marques chinoises moins chères112. Néanmoins, PSA affiche des résultats financiers impressionnants avec une marge opérationnelle de 6,8 % malgré une baisse à 5,7 % de celle de DPSA en Chine113. La baisse de la part de véhicules diesel (73 % en 2012 contre 52 % en 2015 en France) au profit des moteurs essence conduit PSA à rééquilibrer ses capacités dans ses usines de moteurs114.

Le 28 juillet 2016, toujours dans le cadre du plan Push to Pass, plusieurs changements sont annoncés dans les compositions du Directoire et du Comité exécutif. Grégoire Olivier prend la tête d'un nouveau département centré sur les services de mobilité (autopartage, flottes d'entreprises, services connectés), et lègue son poste à la Direction Asie à Denis Martin, jusque-là responsable de la région Europe. Cette dernière est reprise par Maxime Picat, alors directeur de la marque Peugeot, tandis que lui-même est remplacé par Jean-Philippe Imparato, qui officiait au Département Retail et distribution. Ces évolutions sont prévues pour une application à compter du 1er septembre 2016115.

Le 28 septembre 2016, Carlos Tavares annonce le lancement de Free2Move. Cette nouvelle marque fédère, au moyen d'une plate-forme, l'ensemble des services de nouvelles mobilités pour satisfaire les différents besoins de déplacement de ses 15 millions de clients116. Dans le plan stratégique Push to Pass, PSA développe six nouvelles branches (les nouvelles mobilités, le véhicule d'occasion, les services de connectivité, pièce de rechange...). Pour cette dernière, PSA veut devenir un leader mondial multimarques avec les pièces de ses propres marques, la vente à distance multimarques par Mister Auto ainsi que la réparation et la maintenance via EuroRepar Car Service117.

PSA annonce fin 2016 300 millions d’euros d’investissement sur son site argentin de Buenos Aires redevenue rentable en 2015118. En 2016, les ventes progressent de 17 % de janvier à octobre 2016, pour 149 000 unités écoulées sur cette période.

Fin janvier 2017, le groupe annonce son retour sur le marché indien dans le cadre d'une alliance avec Hindustan Motors et Avtec, deux filiales du conglomérat CK Birla Group (en)119. Puis, le rachat de la marque Ambassador, pour 800 millions de roupies (soit environ 11,2 millions d'euros), est annoncé début février 2017. Cette marque possédant une excellente image en Inde, des rumeurs annoncent le lancement d'une marque low-cost sur place pour concurrencer notamment la Renault Kwid qui se vend très bien120.

Fort de l'amélioration de ses résultats121,122,le groupe PSA envisage en février 2017 de prendre le contrôle de Vauxhall et de sa soeur allemande Opel, division européenne de General Motors en difficulté depuis plusieurs années. Ce rapprochement confirmé le 6 mars 2017, déjà tenté en 2012 puis reporté, vise à rationaliser ses sites de production en profitant d'importantes économies d'échelles. Le nouvel ensemble ainsi créé représente 4,3 millions de véhicules vendus par an123, soit le deuxième fabricant européen. Le montant total du rachat s'élève à 2,2 milliards de dollars dont 1,3 sont consacrés aux activités de production automobile124. Le reste du montant couvre quant à lui le rachat des activités de financement GM Financial Europe à part égale avec BNP Paribas. En parallèle, PSA se positionne pour entrer au capital du constructeur malaisien Proton en difficulté et officiellement en vente depuis quelques mois125. Ultime signe de son rétablissement, PSA fait le pari des micros usines pour tester de nouveaux marchés (Éthiopie, Tunisie, Kenya après celles du Kazakhstan, du Nigeria, de Malaisie et du Vietnam)126. Également en février, PSA entre au capital d'Autobiz, spécialisé dans le véhicule d'occasion, ce qui confirme les ambitions du groupe dans ce domaine127.

En 2017, PSA fait état de ventes unitaires en progression de 15,4 % (+ 2,6 % à périmètre constant) avec 3,63 millions de voitures particulières et utilitaires légers. En Europe, la progression est de 23,2 % (+ 3,7 % à périmètre constant) surtout grâce aux marques Vauxhall et Opel à 2,37 millions d'unités, et de 54,5 % au Moyen-Orient et Afrique (592 000 unités)128.

Début 2018, Carlos Tavares revient sur les objectifs de reconquête du marché américain dont il avait élaboré les contours 10 ans plus tôt. Plus d'une vingtaine d'années après la commercialisation de la "405 américaine", le groupe PSA fait déjà intervenir des ingénieurs ainsi que des consultants sur le territoire américain pour préparer la mise sur le marché de véhicules adaptés aux contraintes et spécificités locales129.

Identité visuelle (logo)

Production

Véhicules

Articles détaillés : Citroën, Peugeot et DS Automobiles.
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PSA produit des véhicules personnels détaillés dans les articles de quatre marques généralistes : Citroën, Peugeot ainsi que Vauxhall et Opel depuis 2017. Lancée en 2010 comme une déclinaison de modèles Citroën, DS est devenue une marque autonome en 2014130.

PSA produit également des utilitaires légers. Avec plus de 20 % de part de marché, PSA en est le leader européen. Le groupe a collabore de 1978 à [Quand ?] avec Fiat pour la gamme Boxer-Jumper à Val Di Sangro, Expert-Jumpy à Valenciennes et de 2007 à 2017131, pour Nemo-Bipper chez Tofas à Bursa en Turquie132,133. Il produit en revanche seul, dans son usine de Vigo (Espagne), les Partner et Berlingo, aussi assemblées au Portugal dans la petite usine PSA de Mangualde et par le constructeur partenaire Karsan en Turquie.

Avec le rachat d'Opel, PSA intègre la marque à ses productions d'utilitaires (476 500 ventes en 2017 soit une hausse de 15 % sur 2016) et y inclut le site anglais de Luton où PSA annonce un investissement pour y accroître ses capacités de 60 000 à 100 000 unités par an pour produire les Peugeot Expert, Citroën Jumpy et Opel Vivaro, dont les deux tiers pour le Royaume-Uni. Opel doit cesser d'ici mi-2019 son ancienne coopération avec Renault sur cette gamme, mais la maintient pour les Master / Movano, comme PSA fait avec Fiat pour les Boxer / Jumper / Ducato134.

Via son entité Peugeot Citroën Moteurs, PSA a commercialisé des pièces telles que des châssis, moteurs ou boîtes de vitesses destinés à être vendus à d'autres constructeurs, notamment des artisans tels que PGO, DeLaChapelle ou encore Side-Bike ainsi que des concurrents comme BMW ou Suzuki (moteurs diesel).

Innovations techniques et de sécurité

Le Groupe PSA est également la 1re entreprise en termes de dépôts de brevets en France jusque 2016 avant d'être devancé par Valeo142. En 2017, le groupe PSA s'octroie comme en 2016 la 2e place du palmarès des déposants de brevets en France avec 1 021 demandes publiées143.

PSA planifie la mise en place de la conduite semi-autonome (fonctions autonomes sous surveillance conducteur) sur ses véhicules à l'horizon 2018. L'arrivée des fonctions véritablement autonomes (« hands off » et « eyes off », c'est-à-dire sans contrôle ni surveillance par le conducteur) n'est toutefois pas prévue avant 2020144.

Coopérations industrielles

Sous l'ère Folz, le groupe résiste à la mode des fusions-acquisitions, souvent malheureuses (Mercedes-Benz-Chrysler, Fiat-General Motorsetc.) et multiplie les partenariats ciblés avec des concurrents. Les présidents suivants poursuivent globalement cette politique. Au-delà des anciennes collaborations dans les boîtes de vitesses automatiques et la détention commune de la Française de Mécanique (avec Renault) et les V6 essence (avec Renault et Volvo), les utilitaires légers (avec Fiat, qui expirant en 2017 pour SEVEL Nord145), de nouvelles collaborations sont engagées :

Anciennes coopérations

Implantations du groupe

Implantations industrielles du groupe PSA dans le monde en 2008.

Les usines de productions/assemblages de véhicules du groupe sont :

Si PSA assure la majorité de sa production dans ses propres usines ou celles de ses coentreprises (en Chine et en Tchéquie), plusieurs centaines de milliers d'unités sont produites en kit annuellement en Iran jusqu'à leur arrêt en 2012. PSA fait aussi assembler des véhicules 206 (depuis 2006), 206+ tricorps (2010) et 408 (en 2011) par le malaisien Naza158. En février 2018, PSA prend la majorité de Naza Automotive Manufacturing (NAM) dont l'usine de Gurun a une capacité de 50 000 véhicules par an. en vue de produire dès 2018 la Peugeot 3008, et le C5 Aircross l'année suivante159.

Les principaux pays de production de PSA étaient en 2009 de très loin la France avec 1 220 660 véhicules, suivie de l'Espagne avec 507 312 unités , et de l'Iran avec 336 228 voitures, et enfin la Chine, la Tchéquie et la Slovaquie ont des chiffres comparables, avec respectivement 262 889, 232 140, et 204 124 automobiles 160. En revanche, l'usine nigériane du groupe est dans un état léthargique, avec seulement 96 voitures assemblées en 2009, tout comme l'unité de production autrichienne du constructeur qui n'a monté que 143 véhicules. De façon surprenante, PSA ne communique pas en 2010 sur son site officiel sur ses activités iraniennes, ni dans son rapport annuel officiel (qui ne comporte qu'une seule mention sur une carte)161.

En juin 2015, PSA annonce l'ouverture d'une nouvelle usine d'une capacité initiale de 90 000 véhicules par an à Kénitra au Maroc pour y fabriquer des modèles issus de la plate-forme CMP. Pour Carlos Tavares : « Nous nous sommes donné pour ambition de vendre dans cette région un million de véhicules à l’horizon 2025 dans la zone Afrique-Moyen-Orient, contre 200 000 attendus cette année. Pour ce faire, nous devrons nous appuyer sur des sites de production au cœur des marchés, comme le Maroc, le Nigeria et peut-être demain l’Algérie »162. Pour Jean-Christophe Quémard, « Dans notre objectif d’un million de véhicules vendus dans la zone Afrique-Moyen-Orient en 2025, 450 000 le seront en Iran, 200 000 au Maroc et les 350 000 autres exemplaires sur le reste de la zone » avec l'idée de passer pour l'Iran d'un assemblage CKD à une coentreprise détenue à parité163. Si la production au Nigéria resta anecdotique, un projet d'implantation en Algérie est signé en novembre 2017164. Les usines chinoises pouvant aussi alimenter le continent, Quémard axe ses efforts sur le marketing, l’adaptation des produits aux consommateurs africains et la distribution commerciale165.

À la faveur de levée des sanctions internationales contre l'Iran, PSA signe en janvier un accord prévoyant la création d'une coentreprise avec Iran Khodro, abandonnant progressivement le simple assemblage pour se calquer sur le modèle déployé en Chine. Les partenaires doivent investir jusqu’à 400 millions euros en cinq ans. pour ouvrir une nouvelle usine à Téhéran en semestre 2017 pour produire jusqu’à 200 000 véhicules de marque Peugeot (208, 2008 et 301) avec 70 % de pièces produites localement pour le marché local et celui des pays voisins166. Pour compenser son départ soudain en 2012167, PSA concède 427 millions d’euros de dédommagements à Iran Khodro par le biais de remises ou de réductions sur les royalties à venir168. Le 21 juin 2016, la signature de la coentreprise entre PSA et Iran Khodro est officialisée169. La marque Citroën prépare un accord avec son ancien partenaire Saipan166. En mars 2018, PSA noue un accord avec la Namibie pour l'assemblage à Walvis Bay pour alimenter le marché de l'Union douanière d'Afrique australe (SACU : Botswana, le Lesotho, la Namibie et le Swaziland) avec environ 5 000 véhicules par an à l'horizon 2020 sous les marques Peugeot et Opel170

Direction Technique et Industrielle :

Sous Carlos Tavares, PSA décide de produire plus de moteurs et transmissions sur les sites terminaux (Trnava, Kénitra et Téhéran et Kashan en Iran à l'horizon 2019) de façon à atteindre un d'intégration locale de 85 % en Amérique latine, 75 % en Eurasie et 70 % en Afrique-Moyen-Orient d'ici à 2021171.

Les centres d'études et recherches :

Les centres d'essais :

Pôle tertiaire :

Les centres informatiques se trouvent à Bessoncourt dans le Territoire-de-Belfort, et à Achères dans la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise.

Les collections patrimoniales, Musée de l'Aventure Peugeot à Sochaux, Centre d'archives de Terre Blanche à Hérimoncourt, la collection de l'Aventure Automobile à Poissy (CAAPY) et le conservatoire Citroën à Aulnay-sous-Bois, sont externalisées au 1er octobre 2015 et confiés à l'Association de l’Aventure Peugeot, qui bénéficiera d'une subvention de PSA177.

Principales anciennes implantations

En 1973, le site historique de Citroën à Paris sur le quai de Javel cède la place au site de Aulnay-sous-Bois178.

Les années 1980 voient la fermeture de nombreuses unités héritées de Citroën (Gutenberg-Paris 15e, 1980 ; Mulhouse, 1983 ; Clichy-la-Garenne, 1985 ; Nanterre, 1985 ; Levallois, 1988 ; Reims, 1992), héritées de Talbot (Linwood, 1981 ; Centres d’études de Whitley, 1983 ; Stocke, 1984 ; Bondy, 1984 ; La Rochelle, 1984 ; Sully-sur-Loire, 1985 ; Vernon, 1985 ; Mortefontaine (Simca), 1985 ; Valenciennes-Hordain, 1987), ainsi que les usines étrangères de Belgique (Citroën), d’Afrique du Sud (Citroën-Peugeot), d’Argentine (Citroën), du Maroc (Citroën), de Yougoslavie (Citroën), de Roumanie (Citroën-Oltcit)179.

En 2006, la direction annonce la fermeture de Ryton (Grande-Bretagne), effective en 2007, ancienne usine Talbot, héritée du rachat de Chrysler-Europe.

En 2010, fermeture du site d'Asnières-Sur-Seine, ancienne usine Citroën qui assurait la production des fameuses suspensions hydropneumatiques180.

En 2012, Transfert de la plateforme logistique de Melun-Sénart vers le magasin de pièces détachées à Vesoul181.

En 2014, fermeture du site d'Aulnay-sous-Bois, ainsi que ceux de Vélizy B et Meudon 182 .

En 2017, avec le départ du siège de l'avenue de la Grande-Armée à Paris pour Rueil-Malmaison, les 3 000 salariés du pôle tertiaire de Poissy (CEMR A) sont rejoints en septembre par 1 300 employés venus d'autres sites de région parisienne et Paris (Fructidor, Le Moncey,...) 176.

En 2018, avec le départ du site de La Garenne-Colombes, les 2 200 salariés183 s'installent au centre d'expertise de Poissy (CEMR B) et au centre d'essais de Carrières-sous- de Poissy en juillet. Ces centres regroupent les activités de recherche et de développement dans la motorisation des véhicules184.

Retour aux États-Unis

Après la présentation du plan stratégique de redressement Push to Pass en avril 2016 par Carlos Tavares, celui-ci a annoncé le retour de Peugeot aux États-Unis après 25 ans d'absence sur ce marché, le départ ayant eu lieu en 1991 avec la Peugeot 505 comme dernier véhicule commercialisé par le groupe aux États-Unis. Le plan du retour s'étale sur dix ans avec un retour sur le sol américain du constructeur prévu en 2026185. Le projet se décline en 3 étapes : la mise en place de services de mobilité avec Free2Move (vélo, scooter ou voiture), le lancement de services de mobilité avec des véhicules du Groupe PSA et le retour de la commercialisation de véhicules du groupe PSA répondants aux normes américaines. PSA annonce l'implantation de son siège social à Atlanta en Géorgie pour février 2018186. En 1962, son prédécesseur était basé à Long Island dans le Connecticut.

Principaux marchés

Le Groupe PSA est un groupe international. En 2014, les dix pays où ses ventes de véhicules ont été les plus élevées sont 187 :

  1. Chine : 734 000
  2. France : 637 682
  3. Royaume-Uni : 255 036
  4. Espagne : 158 642
  5. Italie : 144 355
  6. Allemagne : 124 653
  7. Belgique-Luxembourg : 95 289
  8. Brésil : 86 959
  9. Argentine : 84 371
  10. Pays-Bas : 64 922

En 2017, le groupe connaît une forte chute sur le marché chinois : Peugeot recule de 28 % à 216 900 unités vendues, Citroën de 49 % à 110 800 unités et DS à seulement 5 600, faute de SUV et d'un réseau commercial performant188.

Récompenses

Citroën XM, Voiture de l'année en Europe en 1990.
Citroën C5, Voiture de l'année en Espagne et en Irlande en 2009.
Peugeot 2008, Voiture de l'année en Italie, Espagne, et SUV de l'année en Belgique, Irlande, Malaisie, etc.
Peugeot 308, Voiture de l'année en Europe en 2014, et en Espagne, en Suisse.
Citroën C4 Cactus, Voiture de l'année en Espagne et au Danemark.

Voiture de l'année aux États-Unis

La Citroën SM a remporté le prix Motor Trend Car of the Year (en) en 1972.

Voiture de l'année en Europe

Huit véhicules du Groupe PSA ont été couronnés par le Trophée européen de la voiture de l'année, considéré comme le prix le plus prestigieux en Europe :

Onze véhicules du Groupe PSA se sont classés au deuxième ou troisième rangs des votes de ce concours.

Voiture de l'année en Italie

Le prix de l'Auto Europa est décerné par le jury de l'Union italienne des journalistes automobiles (UIGA), qui récompense chaque année la meilleure voiture produite à au moins 10 000 unités dans vingt-sept pays de l'Union européenne et commercialisés entre septembre et août de l'année précédente.

Voiture de l'année en Espagne

(*) : la Renault Twingo I fut aussi élue gagnante du trophée en 1994

Voiture de l'année en Irlande

Taxi de l'année en France

Ventes par année

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Les ventes du Groupe PSA (cumul des ventes de Citroën, DS, Peugeot) ont augmenté en 2016189 :


Région
Année Monde Europe Chine et Asie du Sud-Est Moyen-Orient et Afrique Amérique Latine Inde et Pacifique Eurasie
2016 3 146 382 1 930 258 618 352 383 489 183 907 19 886 10 490
2015 2 972 999 1 863 977 735 948 180 207 157 078 23 789 12 000
2014 2 938 372





2013 2 819 000





2012 2 965 000





Filiales et actionnariat

Logo de Faurecia
Logo de GEFCO

Filiales et coentreprises

Coentreprises

PSA a établi des coentreprises en Iran avec Iran Khodro, en Chine, avec Dongfeng Peugeot-Citroën Automobiles (DPCA), Chang'an Automobile (CAPSA) et Guangzhou Automobile. En 2017, le groupe signe un accord avec Hindustan Motors afin de revenir en Inde à partir de 2020194.

Chine

Histoire

Implantations

PSA Groupe est fortement implanté en Chine avec ces deux partenaires Dongfeng à travers DPCA et Changan à travers CAPSA.

Ce pays est le deuxième plus gros producteur de véhicules pour le groupe avec 688 300 en 2015, contre 972 400 pour la France la même année.

Le Groupe PSA produit ces véhicules à travers 7 usines en Chine : 5 usines dans le partenariat DPCA, implantées à Wuhan, Shanghai, Beijing, Chengdu, Guangzhou et 2 usines à Shenzhen, Shanghai grâce au partenariat CAPSA.

Le groupe possède 2 938 points de vente à travers ses partenariats196.

Organigramme de l'implantation du groupe

Organigramme Peugeot en Chine

On peut constater sur la photo de droite, que Zhu YANFENG est implanté est à différent niveau dans l’organigramme du groupe PSA.

Il a un rôle d’actionnaire dans un premier temps (à travers Dongfeng avec 13,7 % d’actions), il est aussi présent dans le comité de surveillance de PSA Groupe et enfin le Président du premier partenaire de PSA Groupe en Chine avec Dongfeng. On remarque que la présence de ce partenaire à différents niveaux, il peut être risqué dans le pilotage de l’entreprise sur ce territoire et dans sa stratégie globale. Nous verrons par la suite comment se partenariat va évoluer dans les années à venir.

En décembre 2017, PSA annonce un remaniement du comité exécutif. Carlos Gomes est nommé à la tête de la région Chine, et Denis Martin s'en va197.

Iran


Le 4 juin 2018 , le groupe annonce son retrait du marché iranien qui représente son premier marché étranger. 444 600 véhicules vendus en 2017, soit 12 % de son volume mondial de ventes. Ce retrait est causé par la mise en application des sanctions américaines à la suite de l'annonce du président Donald Trump du retrait américain de l'Accord de Vienne sur le nucléaire iranien et « afin de se conformer à la loi américaine d’ici le 6 août 2018 »198,199.

Inde

En juin 2015, PSA Peugeot Citroën et le groupe Bolloré ont annoncé la création d'une coentreprise pour l'autopartage de véhicules électriques ou à faibles émissions de CO2, ainsi qu'une coopération dans le domaine des véhicules électriques. Le cabriolet Bluesummer sera fabriqué à l'usine PSA de Rennes à partir de septembre 2015 pour une capacité de 3 500 véhicules par an200.

Le 11 février 2017, PSA achète pour 800 millions de roupies (11 millions d'euros) la marque défunte à Hindustan Motors, propriété du groupe CK Birla, futur partenaire de PSA en Inde201.

Actionnariat

Famille Peugeot

Article détaillé : Famille Peugeot.

Les membres de la famille Peugeot détenaient au 31 décembre 2009 par divers biais 30,30 % des actions, mais 45,40 % des droits de vote. Et depuis que l'entreprise regagne de l'argent, la famille (et la Société PSA elle-même) ne cesse de racheter des actions pour renforcer son contrôle qui s'était amoindri lorsque la situation était compromise au début des années 1980202. La holding familiale Société Foncière Financières et de Participations détient à elle seule 22,13 % du capital du groupe à fin 2009203. Mais depuis le premier trimestre 2012, General Motors a fait son entrée dans le capital à hauteur de 7 % et la famille Peugeot, composée d'environ 300 porteurs de parts204, détient désormais 25 % du capital205, mais 38,1 % des droits de vote, via deux structures, Établissements Peugeot Frères (EPF) et Société Foncière, Financières et de Participations (FFP)206.

La famille Peugeot entendait ainsi contrôler le groupe, dont les présidents successifs se sont attachés à garantir l'indépendance. Jean-Martin Folz s'est vigoureusement opposé à une fusion avec un concurrent, y substituant des coopérations, et vantant la stabilité de gestion et la vision de long terme apportée par la famille. Toutefois, Christian Streiff n'a lui pas fermé la porte à une telle union une fois le groupe redressé : « Si nous avions à discuter au niveau du capital, cela serait sans doute plus simple, mais je n'exclus rien ; nous sommes flexibles et très pragmatiques et prêts à examiner tous les dossiers ». Dans une interview accordée au journal italien Il Sole 24 Ore du 3 avril 2008, le président du conseil de surveillance Thierry Peugeot s'est déclaré ouvert « à toutes les formes de croissance, de l'alliance à un accord plus fort »207.

En février 2012, il est annoncé une alliance avec GM avec une prise de capital de 7 % dans PSA bloquée à ce montant pour 10 ans sans entrée au conseil de surveillance, la famille Peugeot participant à l'augmentation de capital pour garder 25 %64. En décembre 2013, GM revend ses parts.

Le 31 mars 2014, à la suite de l'annonce officielle de l'entrée au capital de l'entreprise chinoise Dongfeng Motor et de l'État français, la famille Peugeot détient 14 % des actions (soit 14 % des droits de vote)10.

Répartition du capital

Au 31 décembre 2015, le capital du Groupe PSA se répartit ainsi11 :

Direction de l'entreprise

Le siège de PSA, 75 avenue de la Grande-Armée, Paris 16e arr.

Siège de Peugeot depuis 1964, puis de PSA depuis 1976, le bâtiment du 75 avenue de la Grande-Armée est vendu pour 245 millions d'euros mis en leasing en 2012 puis PSA annonce le quitter pour s'installer à Rueil-Malmaison au 1er septembre 2017208,209 dans un bâtiment de 15 000 m2 dessiné par l’architecte Jean-Michel Wilmotte, et devant accueillir 800 salariés. La première pierre est posée en janvier 2016210 par Carlos Tavares. Si 600 salariés intègrent le site de Rueil, 1300 autres sont envoyés sur le site de Poissy208. Le bâtiment accueille la présidence de PSA et les directions des marques du groupe ainsi que la direction financière, les ressources humaines et la communication211.

Directoire

Au 31 juillet 2018, le directoire se compose de 4 personnes212 :

Présidents successifs du directoire

Philippe Varin.

Conseil de surveillance

Depuis avril 2014, la famille Peugeot, l'État (par le biais de la société d'État SOGEPA) et Dongfeng Motor Corporation représentent chacun 14 % du capital, part qui doit évoluer vers 12 % à la suite de la souscription de bons de souscription d’actions. En conséquence, depuis l'Assemblée générale du 25 avril 2014, le Conseil de Surveillance est composé de 14 membres, 2 par actionnaire de référence, 6 indépendants et 2 représentants des salariés216.

Comité exécutif

Ce comité comprend au total 17 personnes (y compris les membres du directoire) 224 :

Politique sociale et environnementale

Le groupe PSA Peugeot Citroën est reconnu comme une entreprise parmi les meilleures dans le domaine de la responsabilité sociale des entreprises. Un classement publié en 2012 par le cabinet spécialisé Vigeo le place en 2e position ex-aequo en France225.

Syndicats

En mars 2006, PSA Peugeot Citroën a signé avec la Fédération Internationale des Organisations de travailleurs de la Métallurgie (FIOM) et la Fédération européenne des métallurgistes (FEM) un accord cadre mondial relatif à la responsabilité sociale du Groupe. Cet accord, qui engage également 85 organisations syndicales adhérentes à ces fédérations, formalise les engagements de PSA en faveur des droits humains fondamentaux, dont les libertés syndicales. L'accord est reconduit en mai 2010226.

Diversité et mesures contre les discriminations

En 2004, la société signe un accord de mise en place d'un observatoire de la diversité227, en mettant en place des mesures contre la discrimination, notamment dans le recrutement et pour la promotion de l'égalité des chances228. Pour mener cette politique au niveau mondial, PSA a recours à des agences de notation salariale229. L'entreprise se sert de cette politique aussi pour améliorer son image230.

Politique environnementale

En matière environnementale, outre la pollution atmosphérique qu'il estime en passe d'être maîtrisée notamment par le durcissement des normes européennes d'émission et par l'introduction du filtre à particules sur les moteurs Diesel, Jean-Martin Folz identifie dès 1998 trois défis qui engagent la responsabilité conjointe des constructeurs automobiles et de la collectivité : l'effet de serre, la sécurité routière et la mobilité urbaine. PSA Peugeot Citroën se dote de plan d'actions prioritaires dans ces trois domaines. Un Comité Développement durable est créé en 2002, suivi début 2003 par la création de la Délégation au Développement durable231. Parmi les réalisations notables du Groupe PSA en la matière environnementale :

La politique environnementale du Groupe PSA est aujourd'hui intégrée à son engagement de responsabilité sociale des entreprises et inclut notamment la maîtrise de la pollution des sites industriels, recyclage des véhicules en fin de vie235.

En 2015, le Groupe PSA a été reconnu comme un des leaders français pour la qualité et la transparence des informations environnementales qu'il a mises à disposition des investisseurs et du marché mondial via le CDP (Carbon Disclosure Project), l’ONG de référence en matière de lutte contre le changement climatique. PSA a ainsi intégré l’indice annuel du Climate Disclosure Leadership Index (CDLI), publié le 4 novembre 2015 pour la France et le Benelux236, et a été confirmé en "liste A" dans ce classement en 2016237.

PSA est par ailleurs leader européen des émissions CO2 les plus faibles avec, sur l'année 2015, une moyenne de 103,5 g/km de CO2, contre une moyenne du marché européen à 119,3 g/km de CO2238.

À la suite du scandale Volkswagen, les moteurs Diesel sont vivement critiqués pour leurs émissions polluantes et leur consommation, bien supérieures aux mesures produites par le test d'homologation européen NEDC. Par souci de transparence, le Groupe PSA crée un protocole de mesure de consommation plus réalisteNote 4 avec deux ONG (Transport et Environnement et France Nature Environnement) qu'il applique ensuite à ses véhicules, avec la certification de Bureau Veritas239. L'entreprise est la première dans le secteur automobile à communiquer de la sorte les consommations en conditions réelles de ses véhicules.

Sécurité au travail

Les présidents successifs ont réaffirmé leur volonté de maîtriser la sécurité au travail. En 2007, une méthodologie systématique est mise en œuvre pour permettre la prévention des risques psychosociaux240. Depuis 2010, le déploiement du "Système de Management de Sécurité et de la Santé au Travail" (SMST) permet d'animer le progrès continu en la matière. Tous les établissements sont engagés dans cette démarche structurée et des engagements individuels concernant la prévention des accidents du travail sont exigés de tous les salariés quel que soit leur niveau de responsabilité241.

Langue de travail

La langue de travail de PSA est le français, contrairement à de nombreuses multinationales françaises comme Alcatel-Lucent ou Renault. Dans les filiales à l'étranger, c'est la langue locale qui est employée, à l'exception du personnel en lien avec la maison mère qui travaille en français. Ainsi, lorsque le groupe s'est implanté en Slovaquie, il a dispensé des cours de français à ses cadres locaux242.

Critique

Des voix se sont élevées pour considérer que le Groupe PSA n'avait pas tenu ses propres engagements de responsabilité sociale des entreprises dans l'affaire de la fermeture du centre de production d'Aulnay243. En particulier, la CGT a fait état d'un document secret qui lui était parvenu annonçant un an à l'avance la fermeture d'Aulnay et de Sevelnord244. PSA n' a pas nié la réalité du document mais a rappelé qu'il fallait en toute circonstance considérer toutes les alternatives245. En définitive, Sevelnord, également menacé de fermeture, a pérennisé son activité malgré le désistement prématuré de Fiat, grâce à un accord avec Toyota qui devient client de PSA à partir de 2013.

Condamnations judiciaires

Le Groupe PSA, qui a fait de l'éthique un axe fort de sa politique d'entrepriseNote 5, ne connaît que peu d'affaires judiciaires. Il a cependant été condamné ces dernières années dans plusieurs affaires concernant l'application de certaines dispositions du droit du travail ou au titre de la responsabilité de l'employeur dans le cadre d'accidents du travail, et à une occasion dans une affaire ayant trait au droit de la concurrence.

Droit du travail

Sécurité au travail

Droit de la concurrence

Activité de lobbying

Le Groupe PSA adhère aux principes et aux pratiques de lobbying responsable, ce qui implique notamment la transparence de ses positions et une contribution honnête au débat publicNote 6.

Auprès de l'Assemblée nationale

Le Groupe PSA est inscrit comme représentant d'intérêts auprès de l'Assemblée nationale. L'entreprise déclare à ce titre qu'en 2015, les coûts annuels liés aux activités directes de représentation d'intérêts auprès du Parlement sont compris entre 150 000 et 200 000 euros254.

Auprès des institutions de l'Union européenne

Le Groupe PSA est inscrit depuis 2011 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2015 pour cette activité 2 collaborateurs à temps plein et des dépenses d'un montant compris entre 500 000 et 600 000 euros, et indique avoir reçu sur le même exercice 262 876 euros de subventions de la part des institutions de l'Union européenne255.

Notes et références

Notes

  1. DS existait toutefois en tant que ligne de finition depuis 2009.
  2. DS Automobiles s'est installée en Chine en tant que marque indépendante en 2011, puis est devenue officiellement indépendante en 2015 dans le reste du monde. Son réseau commercial prend progressivement son indépendance de celui de Citroën.
  3. Voir par exemple cette déclaration page 2 du rapport d'activité de PSA 1998 : "Au début de l'année 1998 le groupe PSA Peugeot Citroën a confirmé les principes de son organisation. Fort de deux marques généralistes, le groupe s'attache à donner à chacune, dans le cadre d'un plan produit cohérent et de stratégies internationales coordonnées, des personnalités clairement affirmées et, dans la mesure du possible, complémentaires. La marque Peugeot comme la marque Citroën disposent ainsi dans les domaines du marketing, du commerce et plus généralement des relations avec leurs clients de l'autonomie nécessaire à la conduite de politiques distinctes et, dans de nombreux cas, concurrentes ; à l’inverse, dans un souci d'efficacité et de recherche d'économies d'échelle, tout l'appareil technique, industriel, administratif et financier du groupe automobile est à présent définitivement unifié. À fin d'obtenir rapidement des réductions substantielles des charges et des délais de développement, des dépenses d’industrialisation, des coûts de production et des prix d'achat des pièces et équipements, une politique de plates-formes à la fois ambitieuse et rigoureuse a été largement développée : en 2001, 75 % des automobiles Peugeot et Citroën relèveront de trois plates-formes, étant entendu que deux véhicules sont réputés relever d'une même plate-forme lorsqu'ils partagent au moins 60 % de leurs coûts de revient. Cette ambition inspire aussi bien le plan produit du groupe, que l'organisation des équipes qui conçoivent les automobiles et suivent leurs évolutions, et que la spécialisation des grands sites de production ; de premiers résultats spectaculaires ont d'ores et déjà été atteints."
  4. Pour le détail du protocole, voir l'article qui l'explique avec précision [archive] sur caradisiac.com ou celui-ci [archive] sur largus.fr.
  5. Déclaration de la direction du Groupe PSA sur le site du Groupe : "Conformément à l’engagement de ses dirigeants, l’entreprise veille à une pratique éthique des affaires, avec notamment une « tolérance zéro » en matière de corruption et de manquement aux règles de la concurrence." (consulté le 24 novembre 2016)[1] [archive]
  6. Déclaration de la direction du Groupe PSA sur le site du Groupe : "Les positions défendues par le Groupe sur les grandes problématiques liées à ses activités sont publiques, tout comme les groupes d’intérêt auxquels il adhère. Le Groupe PSA soutient des pratiques de lobbying responsable, qui contribuent au débat public, et qui sont en ligne avec ses principes éthiques d’intégrité, de respect et de transparence." (consulté le 24 novembre 2016)[2] [archive]

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Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

  • Site officiel du Groupe PSA [archive]
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