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Catégorie : Emulateurs-Simulateurs-Consoles
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La Master System (マスターシステムMasutā Shisutemu?) ou Sega Master System (aussi abrégé SMS) est une console de jeux vidéo de troisième génération, conçue et commercialisée par le constructeur japonais Sega Enterprises, Ltd. Elle est sortie en 1985, sous le nom Sega Mark III au Japon. La console est redessinée et rebaptisée Master System avant son lancement en 1986 en Amérique du Nord. Elle sort sous ce nom dans la plupart des autres territoires, dont l'Europe en 1986 et le Brésil en 1987. Le modèle remanié de la Master System sort également en 1987 au Japon.

Master System
Sega Mark III
Image illustrative de l'article Master System

Fabricant Sega
Type Console de salon
Génération Troisième

Date de sortie
Fin de production
Média CartoucheSega Card
Contrôleurs Manette
Unités vendues
  • Sortie internationale 10 à 13 millions
  • États-Unis 2 millions
  • Japon 1 million
  • Europe 6,8 millions
  • Brésil 5 millions
Jeu le plus vendu Alex Kidd in Miracle World

Précédent SG-1000 Logo Master System Sega Mark III

Master System
Sega Mark III

Les deux modèles initiaux de la console peuvent lire les cartouches de jeu et les Sega Cards, des cartes mémoires pouvant stocker les jeux, vendues à des prix inférieurs aux cartouches mais avec une capacité de stockage inférieure ; la Master System II et les modèles ultérieurs ne possèdent pas de fente pour ces cartes. La Master System est également compatible avec des accessoires tels qu'un pistolet optique et des lunettes stéréoscopiques conçus pour fonctionner avec une gamme de jeux spécialement codés.

Succédant à la SG-1000, la Master System sort comme concurrente directe à la Nintendo Entertainment System (NES) pendant l'ère des consoles de jeux vidéo de troisième génération. La Master System est construite avec un matériel informatique supérieur à celui utilisé par la NES, mais elle échoue à renverser l'avantage significatif des parts de marché détenues par Nintendo au Japon et en Amérique du Nord. Toutefois, la console obtient plus de succès en Europe et au Brésil.

Le matériel informatique de la Master System partage de nombreuses similitudes avec la console de jeu portable de Sega, la Game Gear. Par rapport à sa concurrente de Nintendo, la ludothèque de la Master System manque de plusieurs titres bien accueillis par la critique en raison des pratiques d'octroi de licences par Nintendo qui restreignent les développeurs tiers à créer leurs jeux uniquement sur NES. Selon les estimations, entre 10 et 13 millions unités de la console sont vendues au cours de son cycle de vie, comparativement la NES compte 62 millions unités écoulées sur cette période. Donné rétrospectivement, l'accueil du système par la critique accrédite le rôle joué par la Master System dans le développement de la Mega Drive, mais il est cependant reproché à la console une ludothèque peu significative.

Historique[modifier | modifier le code]

Contexte[modifier | modifier le code]

Au début des années 1980Sega Enterprises, Inc., une filiale de Gulf & Western Industries, est l'un des cinq plus grands fabricants de jeux d'arcade en activité aux États-Unis, les revenus de l'entreprise s’élèvent à 214 millions de dollars à cette époque5. Un ralentissement de l'arcade à partir de 1982 affaiblit sérieusement la société, et conduit Gulf & Western à vendre sa structure nord-américaine de fabrication d'arcade et les droits des licences pour ses jeux d'arcade à Bally Manufacturing6,7. La compagnie conserve la gestion du département nord-américain de recherche et développement de Sega, ainsi que sa filiale japonaise, Sega of Japan. Avec son activité d'arcade en déclin, les dirigeants de Gulf & Western se tournent vers le président de Sega of Japan, Hayao Nakayama, pour obtenir des conseils sur la façon de procéder8. Nakayama préconise que la société tire profit de son expérience matérielle acquise par des années de travail dans l'industrie de l'arcade pour entrer dans le marché des consoles de salon au Japon, un secteur qui en est alors à ses balbutiements. Nakayama reçoit l'autorisation d’œuvrer à ce projet, conduisant à la sortie, en juillet 1983, de la première console de jeu vidéo de Sega, la SG-10009.

La SG-1000 sort le 15 juillet 1983 au Japon, elle y est vendue à 15 000 yens10. Le lancement se déroule le même jour que la sortie de la Famicom de Nintendo au Japon9. Peu après le lancement de la SG-1000, Gulf & Western commence à céder ses activités non stratégiques à la suite de la mort de son fondateur Charles Bluhdorn11, ainsi Nakayama et l'ancien PDG de Sega David Rosen, organisent un rachat de la direction de la filiale japonaise en 1984 avec le soutien financier de CSK Corporation, une société japonaise de logiciels de premier plan. Nakayama s’installe ensuite comme chef de la direction de Sega Enterprises, Ltd12. Après le rachat, Sega sort une autre console, la SG-1000 II13, vendue 15 000 yens14. Elle présente quelques modifications matérielles du modèle d'origine, et propose notamment des manettes de jeu détachables9. La SG-1000 II ne se vend pas bien, mais conduit néanmoins Sega à décider de continuer à travailler sur le matériel de jeu utilisé pour le système. Cela abouti à la sortie de la Sega Mark III au Japon en 198513.

Développement[modifier | modifier le code]

Conçue par une division interne de Sega dénommée « Team Away », la même équipe à l'origine de la SG-1000, la Mark III est une itération redessinée de la précédente console15. Les processeurs des modèles SG-1000 et SG-1000 II sont des Zilog Z80 cadencés à 3,58 MHz16,17, tandis que la Mark III, la SC-3000 -une version sur ordinateur de la SG-1000- et la Master System disposent d'un processeur Z80 cadencé à 4 MHz18,19,20. La Mark III et la Master System disposent également d'une fente pour Sega Card, précédemment utilisée par la SG-100015. Selon Edge, les leçons tirées par l'absence de succès commercial pour la SG-1000 ont mené à la refonte matérielle de la Mark III, avec l'objectif d'une console conçue pour être plus puissante que la Famicom21.

Pour la sortie de la console en Amérique du Nord, Sega relooke et rebaptise la Mark III sous le nom de « Master System », une refonte similaire à celle opérée par Nintendo sur sa Famicom, devenue Nintendo Entertainment System. Le nom « Master System » est issu de plusieurs propositions de salariés américains de Sega, il est choisi par un lancer de fléchettes sur un tableau blanc, bien que des projets pour sortir une console similaire et moins chère dénommée « Base System » influence également la décision. Le président de Sega Enterprises, Isao Okawa, approuve le nom après avoir dit que c'est une référence aux natures concurrentielles de l'industrie vidéoludique et des arts martiaux, dans lesquelles un seul concurrent peut être le « maître »22. La conception finale « futuriste » de la Master System est destinée à plaire aux goûts occidentaux21.

Lancement[modifier | modifier le code]

Sega lance la Mark III au Japon en octobre 1985, avec un prix de vente fixé à 15 000 yens1. Bien que la console bénéficie d'un hardware techniquement plus puissant que sa principale concurrente, la Famicom, la Mark III n'est pas un succès lors de sa sortie. Les difficultés proviennent des pratiques d'octroi de licences de Nintendo avec les développeurs tiers à l'époque, selon lesquelles Nintendo exige que les jeux sortis sur Famicom ne soient pas publiés sur d'autres consoles. Pour remédier à cela, Sega développe ses propres titres et obtient les droits pour porter les jeux d'autres développeurs, mais ces derniers ne se vendent pas bien. NEC utilise plus tard la même stratégie sur certains des titres de Sega lors du développement de jeux pour la PC-Engine13. En prévision du lancement, Mark Cerny déclare que « la pression était très, très élevée », un jeu type ayant un temps alloué de trois mois de développement23.

Redessinée en « Master System », la console sort en 1986 en Amérique du Nord, elle y est vendue à 200 dollars et comprend une cartouche multi-jeux des titres Hang-On et Safari Hunt24. Sega et Nintendo, qui exporte de la même façon la Famicom aux États-Unis en la redessinant et la renommant Nintendo Entertainment System (NES), prévoient de dépenser 15 millions de dollars durant l'automne et l'hiver 1986 pour commercialiser leurs consoles ; Sega espère vendre 400 000 à 750 000 consoles en 198625. À la fin de l'année 1986, la Master System compte 125 000 consoles vendues, un chiffre supérieur aux 100 000 exemplaires de l'Atari 7800 mais inférieur aux 1,1 million d'unités de Nintendo3. Toutefois, tout comme au Japon, la Master System en Amérique du Nord souffre d'une ludothèque mal reçue par rapport à la concurrence. Vis-à-vis des pratiques d'octroi de licences de Nintendo, Sega n'a que deux développeurs tiers, Activision et Parker Brothers13. En 1988, Nintendo détient 83 % du marché du jeu vidéo nord-américain26. Sega affirme que « [son] système est le premier où les graphismes sur la jaquette correspondent aux graphismes du jeu »25, et son marketing pour la Master System vise à ramener chez soi l'expérience du jeu d'arcade, mais son service de marketing est dirigé par deux hommes seulement, laissant à Sega un désavantage dans la publicité21.

Sega vend à Tonka les droits de distribution pour la Master System aux États-Unis ; la société n'a alors aucune expérience avec les systèmes de divertissement électroniques. Certaines des décisions de Tonka avec la Master System comprennent le blocage géographique de plusieurs jeux vidéo populaires. Bien que le distributeur de la console change, la Master System continue à mal se vendre. La console est rééditée en octobre 1987 en tant que Master System au Japon pour 16 800 yens27. Cependant, tout comme la Mark III, ce lancement échoue13. Dans chacune de ses formes, la console ne pose aucun défi sérieux à Nintendo au Japon28.

Le lancement européen de la Master System a eu lieu en 1987. Elle est distribuée par Mastertronic au Royaume-Uni, Master Games en France, et Bertelsmann en Allemagne29. Mastertronic annonce la Master System comme « une arcade à la maison » et lance le système à 99 livres sterling. En Europe, la Master System a été commercialisée dans de nombreux pays à commencer par le Royaume-Uni début 1987, dont certains où Nintendo ne vendait pas de consoles. L'Allemagne, l'Espagne et l'Italie sont servies avant la France. En 1987 il se vendit 80 000 Master System en Europe (dont 34 000 en France30), faisant jeu égal avec la NES31. Fin 1988, 500 000 Master System ont été vendues en Europe (plus que de NES) dont environ 100 000 en France. La console fut soutenue jusqu'en 1996 sur ce continent, date à partir de laquelle Sega décide de se concentrer sur la Saturn.

En France, la Master System est commercialisée en septembre 1987 avec Mastertronic comme distributeur. Elle est vendue à son lancement avec le jeu Hang On. Il se vend 970 000 Master System entre 1988 et 199332, et finalement plus d'un million.

Transition vers la Mega Drive et déclin[modifier | modifier le code]

En 1990, Sega lance déjà la Mega Drive, censée remplacer la Master System dans les années suivantes, et rachète les droits de la 8 bits à Tonka. La Master System II est alors dessinée. Cette nouvelle version est plus compacte, ne possède plus de bouton « reset » ni de port acceptant les cartouches au format « carte », des cartouches de la taille d'une carte de crédit mais un peu plus épaisses. Ces deux dernières modifications sont apportées dans un souci de réduction des coûts de production. Parallèlement, Sega lance sa première console portable, la Game Gear, qui bénéficie d'un catalogue souvent commun avec sa 8 bits de salon, ce qui réduit également l'attrait de celle-ci.

En 1992, les ventes de Master System en Amérique du Nord sont quasiment inexistantes et la production cesse. Au Japon, la situation n'est guère plus brillante, la Famicom de Nintendo (Version japonaise de la NES) dominant le marché. En Australie, la Master System s'est moins bien vendue que la NES mais la défaite est moins cuisante qu'en Amérique du Nord.

Le Brésil fut l'un des marchés les plus importants pour la Master System. Dans ce pays, la console a été distribuée par la société Tec Toy. Une Master System III a même été produite au Brésil et de nombreux jeux ont été traduits pour les brésiliens. Les personnages de certains jeux ont même été modifiés pour plaire au public brésilien.

Globalement, le succès de la Master System a été correct à l'exception des marchés japonais et nord-américain. Sega tient compte de ces différents échecs lors de la sortie de la Mega Drive qui sera un succès en Europe, en Amérique latine et aux États-Unis.

Accessoires[modifier | modifier le code]

Le Light Phaser.
Les lunettes 3D.

Caractéristiques techniques[modifier | modifier le code]

Manettes stylisées de la console.

Les différentes versions de la Master System[modifier | modifier le code]

SMS-I (1987-1990)[modifier | modifier le code]

Première version de la master System
Première version de la Master System.

Le modèle originel, le SMS SR-71, dans son boîtier, au look hi-tech, avec des côtés pointus (à la différence de la SMS II ou de la Mega Drive) et sa couleur noir miroir et rouge, son schéma avec diodes sur l'avant, lui donne une allure « pro ». En comparaison, la NES est beaucoup plus grosse.

Les packs SMS-I[modifier | modifier le code]

SMS-II (1989-1994)[modifier | modifier le code]

Version redesignée de la console
Version redesignée de la console.

Comme la plupart des constructeur (Nintendo et sa NES II, Atari et sa VCS2600 Jr), Sega remplace en 1989 la SMS originelle par un modèle plus dépouillé, moins cher : la SMS II. Plus petite, très ronde, et faisant figure de console bas de gamme face à la Megadrive haut de gamme, et elle n'offre pas du tout le même "look & feel" et est très réduite au niveau connectique.

Le changement de design comporte :

Les packs SMS-II (1989-1994)[modifier | modifier le code]

Les titres les plus populaires sur Master System[modifier | modifier le code]

Alex KiddWonder BoySonicAladdinPhantasy StarShinobiNinja GaidenAstérixAstérix and the Secret MissionR-TypeFantasy Zone 2Power StrikeSagaiaLe Roi LionSonic 2Castle of Illusion starring Mickey MouseAmerican BaseballTecmo World Cup 93Bubble BobbleThe FlashDraculaJurassic ParkGolden Axe WarriorYs: The Vanished OmensKenseidenMy HeroVigilanteChoplifterCloud MasterSubmarine AttackGolvellius : Valley of DoomDeep Duck TroubleLand of IllusionDaffy Duck in HollywoodThe NinjaEnduro Racer'Psycho FoxPsychic WorldStar WarsWimbledon 2Astro WarriorSolomon's KeyEccoStreet of RageGreat VoleyballThe Lucky Dime Caper starring Donald DuckZoolBatman ReturnsOut Run et Ghost House.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ Revenir plus haut en :a et b (ja) « Mark III » [archive], Sega Corporation (consulté le31 mars 2014)
  2. (ja) Gamers High! Futabasha Super Mook, Futabasha, 2015(ISBN 978-4-575-45554-0)p. 55
  3. ↑ Revenir plus haut en :a et b Computer Entertainer, February 1987, page 13 [archive]
  4. L'Histoire de Nintendo Volume 3 (Éditions Pix'N Love, 2011, page 137)
  5. (en) Richard Brandt et Neil Gross« Sega! »Businessweek,‎ février 1994 (lire en ligne [archive])
  6. (en) Andrew Pollack« What's New In Video Games; Taking the Zing Out of the Arcade Boom »New York Times,‎ 24 octobre 1982 (lire en ligne [archive])
  7. (en) « The Bottom Line »Miami Herald,‎ 27 aout 1983 (lire en ligne [archive])
  8. (en) John Battelle« The Next Level: Sega's Plans for World Domination »Wired Magazine,‎ décembre 1993 (lire en ligne [archive])
  9. ↑ Revenir plus haut en :a b et c (en) Chris Kohler« Playing the SG-1000, Sega's First Game Machine »Condé Nast Publications,‎ octobre 2009 (lire en ligne [archive])
  10. (ja) « SG-1000 » [archive]Sega Corporation (consulté le12 février 2014)
  11. (en) « G&W Wins Cheers $1 Billion Spinoff Set »Miami Herald,‎ 16 aout 1983 (lire en ligne [archive])
  12. Kent 2001p. 343
  13. ↑ Revenir plus haut en :a b c d et e (en) McFerran, Damien, « Retroinspection: Master System »Retro Gamer, Londres, Imagine Publishingno 44,‎ 2007, p. 48–53 (ISSN 1742-3155)
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  15. ↑ Revenir plus haut en :a et b (en) Plunkett, Luke, « The Story of Sega's First Ever Home Console » [archive]Kotaku, 27 février 2012 (consulté le14 septembre 2014)
  16. (ja) « SG-1000 Technical specifications » [archive], Sega Corporation (consulté le 12 février 2014)
  17. (ja) « SG-1000 II Technical specifications » [archive], Sega Corporation (consulté le 12 février 2014)
  18. (ja) « SC-3000 Technical specifications » [archive], Sega Corporation (consulté le 12 février 2014)
  19. (ja) « Mark III data » [archive], Sega Corporation (consulté le30 mars 2014)
  20. (ja) « Master System data » [archive], Sega Corporation (consulté le 30 mars 2014)
  21. ↑ Revenir plus haut en :a b et c (en) Parkin, Simon, « A history of video game hardware: Sega Master System » [archive]Edge, 2 juin 2014 (consulté le13 septembre 2014)
  22. (en) « Bruce Lowry: The Man That Sold the NES »GameStopvol. 12, no 110,‎ juin 2002, p. 102–103
  23. (en) Ken Horowitz« Interview: Mark Cerny » [archive], Sega-16, 5 décembre 2006 (consulté le 16 avril 2014)
  24. (en) Beuscher, David, « Sega Master System – Overview » [archive]AllGame (consulté le 31 mars 2014)
  25. ↑ Revenir plus haut en :a et b (en) Jonathan Takiff« Video Games Gain In Japan, Are Due For Assault On U.S. »The Vindicator,‎ 20 juin 1986, p.(lire en ligne [archive])
  26. (en) Douglas C. McGill« Nintendo Scores Big »The New York Times,‎ 4 décembre 1988 (lire en ligne [archive])
  27. (ja) « Master System » [archive], Sega Corporation (consulté le31 mars 2014)
  28. (en) Nihon Kōgyō Shinbunsha, « Amusement »Nihon Kogyo Shimbunvol. 31, nos 7–12,‎ 1986, p. 89 (lire en ligne [archive])
  29. (en) Richard Hewison, « From the Archives: Virgin Games, Part 1 »Retro Gamer, Londres, Imagine Publishing, no 84,‎ 2010, p. 50–55 (ISSN 1742-3155)
  30. Les Chroniques de Player Onep. 66 (Éd. Pika, 2010)
  31. La Saga des Jeux vidéo Éd. Pix'n Love, 2009, p. 114
  32. L'Histoire de Nintendo Volume 3, Éditions Pix'N Love, 2011, page 147
  33. sega-master-system.com [archive]
  34. Photo d'une Master System Plus, complète, dans sa boite [archive]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

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