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Catégorie : Films
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Bande -Annonce - 1987 - Tuer n'est pas jouer


Musique -Tuer N'EsT Pas Jouer

Tuer n'est pas jouer
Description de l'image The Living Daylights Logo.png.
Données clés
Titre original The Living Daylights
Réalisation John Glen
Scénario Richard Maibaum
Michael G. Wilson
Acteurs principaux

Timothy Dalton
Maryam d'Abo
Jeroen Krabbé
Joe Don Baker
Art Malik
John Rhys-Davies
Andreas Wisniewski

Sociétés de production EON Productions
United Artists
Pays d’origine Drapeau : Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre espionnage
Durée 131 minutes
Sortie 1987

Série

Dangereusement vôtre
(1985)
Permis de tuer
(1989)

 

 

Tuer n'est pas jouer (The Living Daylights) est un film d'espionnage britannique réalisé par John Glen, sorti en 1987. Il s’agit du quinzième opus de la série des films de James Bond produite EON ProductionsTimothy Dalton y incarne James Bond pour la première fois.

C'est l'adaptation cinématographique de la nouvelle Bons baisers de Berlin (The Living Daylights) de Ian Fleming, extraite du recueil Meilleurs vœux de la Jamaïque, paru en 1966. Le film ne reprend principalement que le titre original de la nouvelle et la scène post-générique. The Living Daylights va être le dernier film de James Bond pour près de deux décennies à reprendre un titre original de Ian Fleming. Le suivant sera Casino Royale en 2006.

Résumé détaillé[modifier | modifier le code]

Lors d'un exercice à Gibraltar d'agents 00 du MI6 conjointement avec le SAS, un mystérieux criminel tue l'agent 004 après lui avoir lancé une étiquette disant « smiert spionom » (« Mort aux espions »), nom de code d'une ancienne opération lancée par Staline et arrêtée 20 ans plus tôt. Le criminel tue également un second agent et tente de s'enfuir en volant une voiture. James Bond, qui était aussi de l'exercice, le pourchasse et le criminel finit par mourir, emporté par l'explosion du véhicule qu'il a volé.

À l'opéra de Bratislava, en Tchécoslovaquie, James Bond et le chef de l'antenne du MI6 à Vienne surveillent le général russe Georgi Koskov, que Bond doit faire passer à l'Ouest afin qu'il échappe au sort que lui réserve le KGB. Mais Koskov échappe de peu à une tentative de meurtre par une violoncelliste nommée Kara.

Via pipeline1 et grâce à une complice dans l'industrie exploitante, Koskov réussit son passage à l'Ouest. Chez « M », il expose l'opération « smiert spionom » lancée par le général Pushkin, qui brigue le pouvoir. Les Anglais apprennent ainsi que Pushkin se rend à Tanger, au Maroc, pour une convention commerciale. Mais il se fait enlever par Necros, un agent du KGB, et Bond doit retourner à Bratislava pour le retrouver.

Bond suit de près la violoncelliste Kara, trouve son arme et s'en débarrasse. Il lui rend visite en l'informant que le KGB l'a libérée d'une précédente arrestation pour mieux la surveiller. Mais le duo parvient à s'échapper, et tous deux sont alors recherchés. S'ensuit alors une course-poursuite en montagne jusqu'à la frontière d'Autriche, où le KGB est obligé de s'arrêter.

À Vienne, ils apprennent que Koskov a acheté le violoncelle stradivarius de Kara avec l'argent d'un certain Brad Whitaker, trafiquant d'armes et de drogue, qui se trouve à Tanger, ce qui révèle une association entre Koskov et le trafiquant. Au Maroc, Pushkin annule sa commande auprès du contrebandier, qui en informe Koskov et Nécrosqui est en réalité l'homme de main du Général. Koskov russe décide de pousser Bond à éliminer Pushkin en organisant l'assassinat du chef de l'antenne du MI6 sous le couvert de l'Opération « Smiert' Spionom », mission qui réussit parfaitement.

Bond parvient à gagner l'Afrique et à retrouver Pushkin. Là, il comprend non sans mal que Koskov est en réalité un agent triple, et qu'il a trahi Bond et Kara pour fournir l'URSS en armes grâce à un trafic d'opium depuis une base soviétique en Afghanistanenvahi 8 ans plus tôt. Bond passe un accord avec Pushkin et organise son faux assassinat. Toutefois, en rejoignant la violoncelliste, Bond et elle tombent entre les mains de Koskov.

Bond et Kara sont amenés en Afghanistan comme prisonniers par Koskov, qui les présente comme étant les assassins de Pushkin et donne instruction de les envoyer à Moscou. Après un combat contre les gardiens, ils s'échappent, et avec une bande d'hommes du désert, les Moudjahidines, prennent d'assaut la base soviétique servant de plaque tournante au trafic d'opium. Mais malgré quelques spectaculaires succès, l'avantage tourne lentement à l'avantage des Soviétiques.

Bond et Kara s'enfuient dans un avion rempli d'opium, pourchassés par Koskov et Necros. Alors que Koskov échappe de justesse à l'explosion de son véhicule, Necros parvint à pénétrer dans l'avion de Bond. L'espion britannique a enclenché une bombe avant de dérober l'avion et tente alors de la désamorcer. Mais Necros intervient et un combat s'engage alors entre les deux hommes durant lequel Necros tombe finalement de l'avion et disparait. Après cela, 007 utilise la bombe pour faire sauter un pont et empêcher les forces soviétiques de pourchasser plus avant les Moudjahidines.

Bond retourne alors à Tanger et tue Whitaker lors d'un combat armé. Ensuite, Pushkin, désormais allié de Bond après la fausse tentative de meurtre lors de la convention, remercie 007 de son aide contre Koskov. Il capture d'ailleurs ce dernier (qui tente en vain encore de s'en sortir en prétendant que Whitaker l'a retenu prisonnier et était l'unique responsable) et ordonne à ce qu'il soit ramené à Moscou « par la bière diplomatique » (ce qui sous-entend qu'il le condamne au peloton d’exécution).

À la fin, une réception a lieu, au cours de laquelle le général Gogol du précédent film, apparaît en tant que Ministre des Affaires Étrangères d'URSS. Kara, quant à elle, réalise son rêve de jouer dans l'orchestre symphonique de Vienne.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Timothy Dalton et Jeroen Krabbé à la première néerlandaise du film, à Amsterdam.

Distribution[modifier | modifier le code]

Sources doublageAlloDoublage (VF) 3

Lieux de l'action[modifier | modifier le code]

Production[modifier | modifier le code]

Développent et genèse[modifier | modifier le code]

En fin d'année 1985, probablement après la sortie du 14e James Bond à être produit par EON ProductionsDangereusement vôtre, les scénaristes Richard Maibaum et Michael G. Wilson commencent à trouver un concept pour le prochain film de l'agent 007. Une seule chose est sûre, l'acteur Roger Moore, qui avait tenu le rôle dans les sept derniers films, ne reviendrait pas incarner l'espion une huitième fois, certainement à cause de son âge (58 ans). Les scénaristes pensaient donc que ce 15e film sera une préquelle à la série, une idée finalement utilisée en 2006 avec Casino Royale. Cette idée ne fut pas utilisée pour ce film car le producteur Albert R. Broccoli était persuadé que les spectateurs ne seraient pas intéressés par ce film. Le 5 décembre 1985, un nouveau script est remis. Les personnages principaux de la version finale du film tels que Kara Milovy ou Brad Whitaker sont déjà inclus. Toutefois, d'autres scénarios seront écrits par la suite. L'acronyme du SMERSH « Smiert' Shpionam » — le « Mort aux espions » du roman de Fleming — sert de base aux scénarios4.

Le scénario du film est tiré d'une nouvelle de Ian Fleming intitulée The Living Daylights, publiée pour la première fois le 4 février 1962 dans le Sunday Times. Cette courte histoire a ensuite été publiée aux États-Unis en juin 1962 dans le magazine Argosy sous le titre de Berlin Escape. La nouvelle a ensuite été publiée en 1966, deux ans après le décès de Ian Fleming, dans le recueil Octopussy and The Living Daylights. C'est le dernier film basé sur une nouvelle de Fleming avant Casino Royale en 2006.

Tuer n'est pas jouer est l'une des premières victimes célèbres du piratage vidéo. Des séquences volées avant montage ont été vendues comme s'il s'agissait du film achevé. Le producteur Albert R. Broccoli a dû expliquer par voie d'affiches qu'il ne s'agissait pas du véritable film.

Distribution des rôles[modifier | modifier le code]

Les producteurs partent alors à la recherche d'un nouvel acteur qui, selon eux, devait être "Jeune et viril, à l'image du héros de Ian Fleming. En 1986, Sam Neill4Lambert WilsonPierce Brosnan et Timothy Dalton auditionnent pour le rôle. Le producteur Michael G. Wilson, le réalisateur John Glen, Dana et Barbara Broccoli sont alors très convaincus par Sam Neill, contrairement au producteur Albert R. Broccolinote 1 qui soutient plutôt le Français Lambert Wilson.

Après des essais filmés de 3 jours, le rôle est offert à Pierce Brosnan5. À cette époque l'acteur américano-irlandais de 33 ans seulement est sous contrat avec la chaîne NBC pour Les Enquêtes de Remington Steele, mais la série télévisée est sur le point d'être annulée faute d'audience. Paradoxalement, l'annonce que Pierce Brosnan pourrait être le nouveau James Bond relance l'intérêt de la chaîne pour la série. NBC utilise alors une clause dans le contrat de l'acteur l'obligeant à tourner une nouvelle saison. Albert R. Broccoli ne veut pas que James Bond soit joué par un acteur apparaissant en même temps dans une série télévisée. Bien que la 5e saison de la série ne dure que 4 épisodes, Brosnan, très déçu, ne peut tenir le rôle6. En juillet 1986, il est confirmé que Brosnan ne tiendra pas le rôle principal dans ce film.

Dana, la femme d'Albert R. Broccoli, suggère alors Timothy Dalton. Mais le producteur est réticent en raison du désintérêt de l'acteur pour le rôle. Broccoli cède cependant à la volonté de son épouse et accepte de rencontrer l'acteurnote 1. Mais Dalton s’apprête à tourner Brenda Starr et sera bientôt indisponible7. Bien qu'il ait auparavant refusé de prendre la suite de Sean Connery à la fin des années 1960, se trouvant trop jeune8Timothy Dalton décide d'accepter. Il ne signe cependant pas de contrat tout de suite. Un directeur de casting persuade alors Robert Bathurst de passer des essais. Ce dernier pense que cela n'est qu'un prétexte pour mettre la pression sur Dalton9. Mais Timothy Dalton est finalement officiellement engagé. Il est officiellement présenté à la presse mondiale le 5 octobre 1986, à Vienne.

Joe Don Baker, qui interprète ici Brad Whitaker, jouera ensuite le rôle de Jack Wade, l'agent de la CIA dans GoldenEye (1995) et Demain ne meurt jamais (1997). Andreas Wisniewski, qui joue le tueur Necros, est danseur classique allemand, ce qui lui fut utile pour les scènes de combat. Du côté des figurants, Frederick Warder et Glyn Baker ont été choisis pour interpréter les deux agents « 00 » du pré-générique en raison de leur ressemblance avec les anciens James Bond, respectivement George Lazenby et Roger Moore.

Du côté des actrices féminines, Maryam d'Abo, décroche le rôle de Kara après avoir donné la réplique aux James Bond potentiels dans leurs bouts d'essai. De plus, l'actrice Anglaise ne cache pas être passionnée par la saga cinématographique. À noter qu'elle est la seule Bond Girl de tout le film (si l'on ne compte pas les courtes apparitions à l'écran de Kelly Tyler et de Virginia Hey). Quant au célèbre personnage de Miss Moneypenny, il est interprété ici par Caroline Bliss, qui commence sa carrière en incarnant la Princesse Diana dans le téléfilm Charles and Diana : A Royal Love Story (1982). Elle remplace Lois Maxwell, qui a campé le rôle pendant pratiquement 25 ans, et est ainsi la deuxième actrice à incarner ce personnage. La coproductrice, Barbara Broccoli, fait une apparition en tant que soldat tchèque. Ce n'est pas le premier caméo d'un membre de l'équipe : le producteur Michael G. Wilson n'en est pas à ses premières apparitions dans la série. Tuer n'est pas jouer est le dernier film de la série à figurer un essaim de James Bond Girls : elles sont rassemblées autour de la piscine dans le palais marocain de Brad Whitaker.

L'Ara bleu et or qui figure dans la scène de bataille de la cuisine de Blayden House fait sa seconde apparition dans un film de James Bond : il a joué Max en bénéficiant d'un rôle parlant dans Rien que pour vos yeux (1981).

Ce premier film avec Timothy Dalton marque également la sixième et dernière apparition de Walter Gotell dans le rôle du général Anatol Gogol, personnage récurrent des cinq derniers films avec Roger Moore, on y apprend qu'il a désormais la charge des affaires étrangères en URSS et que le général Leonid Pushkin joué par John Rhys-Davis lui a succédé à la tête du KGB.

Tournage[modifier | modifier le code]

Le tournage de Tuer n'est pas jouer débute le 17 septembre 1986 au Rocher de Gibraltar pour la séquence de pré-générique. La production utilise des installations militaires britanniques, dont une route d'accès réservée au ministère de la Défense de Sa Majesté, habituellement fermée au public. Le 29 septembre, l'équipe commence à tourner sur le « Plateau 007 » aux Pinewood Studios en Angleterre. Une semaine plus tard, les acteurs et l'équipe technique sont à Vienne où le réalisateur John Glen tourne des scènes au Volksoper Wien, dans la salle de concert du Château de Schönbrunn et dans le parc d'attractions du Prater. La course-poursuite sur glace est encore conçue comme une scène de yachting sur glace. Mais le John Glen a dû composer autrement : « Nous n'avons pas pu faire venir les chars à glace en Autriche. Ils ne vont que là où la glace est bonne. » D'autres endroits de tournage comprennent aussi le Maroc, les États-Unis et l'Italie10.

L'Afghanistan étant sous occupation soviétique en 1986, les scènes de désert ont été réalisées au Maroc, notamment à Ouarzazate — d'ailleurs, nombre des figurants « afghans » du film sont en fait des soldats de l'armée marocaine, qui ont l'avantage non négligeable de se présenter sur le tournage munis de leurs propres armes. Cet ancien poste français sera aussi employé pour figurer la Somalie dans La Chute du Faucon Noir (2001) et l'Afrique du Nord de Gladiator (2000). Cependant, la fuite de Bond en Land Rover et en parachute a été tournée dans le Désert des Mojaves11. La conclusion du film inclut le Château de Schönbrunn à Vienne et l'Elveden Hall à Suffolk.

De retour à Pinewood, une anecdote pimente le tournage. Le 11 décembre 1986, l'équipe reçoit la visite du Prince et de la Princesse de Galles, visite au cours de laquelle Diana brise une bouteille en sucre sur la tête de Charles, une « cascade » qui enchante les tabloïds. De même que le tir de la roquette lancé dans le laboratoire de « Q » est déclenché par le Prince Charles.

Les principaux travaux de prise de vue s'achèvent le 13 février 1987. Six jours plus tard, Albert R. Broccoli est promu Officier de l'Ordre de l'Empire britannique.

Tuer n'est pas jouer constitue la dernière occasion à ce jour pour « M » d'installer son bureau dans un cadre inhabituel (à bord d'un Hercules) ; une pratique inaugurée en 1967 dans On ne vit que deux fois, avec le transfert de « M » et Moneypenny à bord d'un sous-marin britannique.

Lieux de tournage

Musique[modifier | modifier le code]

The Living Daylights
Bande originale de John Barry
Sortie 1987
1998 (réédition)
2003 (réédition)
Enregistré mai 1987
Durée 65:11 (réédition)
Format LPCD
Compositeur John Barry
Producteur Paul O'Duffy, Jason Corsaro
Label CapitolEMI
Warner Bros. Records
Rykodisc (1998)
Critique

AllMusic 4,5/5 étoiles12

Bandes originales James Bond

Dangereusement vôtre
(1985)
Permis de tuer
(1989)

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John Barry compose sa onzième et dernière bande originale d'un film de James Bond. La musique de Tuer n'est pas jouer se démarque cependant des précédentes par l'introduction de pistes rythmiques électroniques alliées au traditionnel orchestre13. Le compositeur passera également pour la première fois devant la caméra dans le cadre des aventures de 007 : il fait une apparition en tant que chef d'orchestre dans la dernière scène où Kara s'illustre en tant que violoncelliste.

La chanson du générique d'entrée, The Living Daylights, est interprétée par le groupe norvégien a-ha. C'est l'une des rares chansons de la saga à ne pas être interprétée par des artistes britanniques. John Barry n'y participe pas beaucoup mais remixe la chanson pour un autre passage du film.

La chanson du générique de fin est If There Was A Man, chantée par Chrissie Hynde des Pretenders. On peut également entendre la chanson Where Has Everybody Gone ? des Pretenders dans le baladeur de Necros. Le groupe doit en premier lieu interpréter la chanson principale du film, mais à la suite du précédent succès de la chanson A View to a Kill de Duran Duran, les producteurs préfèrent a-ha pour renouveler l'expérience avec un groupe de synthpop. C'est le premier film de Bond dans lequel le générique de fin comporte un morceau différent du thème principal.

Le film contient également plusieurs pièces de musique classique. Le 1er mouvement de la Symphonie nº 40 de Mozart est interprété par le Conservatoire de Bratislava. Kara joue le Quatuor à cordes en ré majeur d'Alexandre Borodine. Le Concerto pour violoncelle de Dvořák apparaît également dans le film. À la fin de celui-ci, Kara interprète les Variations sur un thème Rococo de Tchaikovsky devant le Général Gogol et James Bond.

Listes des titres de l'album
  1. The Living Daylights – a-ha
  2. Necros Attacks
  3. The Sniper Was a Woman
  4. Ice Chase (contient le James Bond Theme, à l'origine composé pour James Bond 007 contre Dr No)
  5. Kara Meets Bond
  6. Koskov Escapes
  7. Where Has Everybody Gone – The Pretenders
  8. Into Vienna
  9. Hercules Takes Off
  10. Mujahadin and Opium
  11. Inflight Fight
  12. If There Was a Man – The Pretenders
    Titres bonus ajoutés pour la réédition
  13. Exercise at Gibraltar
  14. Approaching Kara
  15. Murder at the Fair
  16. Assassin and Drugged
  17. Airbase Jailbreak
  18. Afghanistan Plan
  19. Air Bond
  20. Final Confrontation
  21. Alternate End Titles

Distinctions[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Box-office[modifier | modifier le code]

Autour du film[modifier | modifier le code]

Dans ce film, James Bond pilote une Aston Martin munie de skis sur un lac gelé.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Et plus préciement dans un piston racleur.
  2. Dates de sortie [archive]Internet Movie Database.
  3. « Doublage français de Tuer n'est pas jouer » [archive], AlloDoublage (consulté le 29 juillet 2014)
  4. ↑ Revenir plus haut en :a et b (en) Michael G. WilsonInside The Living Daylights sur le DVD Tuer n'est pas jouer.
  5. (en) John GlenInside The Living Daylights sur le DVD Tuer n'est pas jouer.
  6. (en) Pierce Brosnan's Long and Winding Road To Bond [archive] « Copie archivée » (version du 9 octobre 2006 sur l'Internet Archive) - Klast.net
  7. (en) Patrick MacneeInside The Living Daylights sur le DVD Tuer n'est pas jouer.
  8. Secrets de tournage [archive]AlloCiné
  9. (en) Bathurst's cure for cold feet [archive] - Scotsman.com
  10. Lieux de tournage [archive]Internet Movie Database
  11. (en) John RichardsonInside The Living Daylights (DVD)
  12. (en) Review [archive]AllMusic
  13. Jon Burlingame, The Music of James Bond, Oxford, Angleterre, Oxford University Press, 1er novembre 2012 (ISBN 019986330X,lire en ligne [archive])p. 187
  14. (en) Awards [archive]Internet Movie Database
  15. ↑ Revenir plus haut en :a b c et d Box-office [archive] - JP's box-office
  1. ↑ Revenir plus haut en :a et b Broccoli et Zec 1998p. 281.

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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