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Catégorie : Conspiration Du Silence
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livre jaune n°6 partie 2




 

MAJESTIC 12 [1/4]

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 299 à 303 )

... Nelson Rockefeller avait changé de poste. On lui avait confié le poste de chargé de mission des stratégies psychologiques. Le nom a changé quelque peu pour devenir ensuite chargé de mission des stratégies de la guerre froide. Le poste devait se développer dans les années à venir et Kissinger et Nixon l'ont occupé pendant un temps. Officiellement, il avait un rôle de consultant dans le développement de la compréhension et de la coopération entre les peuples. C'était en fait une couverture. En réalité, c'était un poste de coordinateur de la présidence pour les services secrets. Dans cette nouvelle position, Rockefeller n'avait à rendre des comptes qu'au président, personnellement. Il participait aux réunions du cabinet, du CFR et du Conseil national de sécurité, les organes qui dictent la politique officiele.

On a confié à Rockefeller un autre poste, celui de responsable d'un département secret, le groupe de Planification et de Coordination, qui a vu le jour avec la directive NSC 5412/1 de mars 1955. Ce groupe était constitué de membres non permanent, qui dépendaient de l'ordre du jour. Les membres permanents étaient Rockefeller lui-même, un membre du ministère de la Défense, un membre du ministère des Affaires étrangères et le directeur de la CIA. Cette commission a pris le nom de Commission 5412. La directive NSC 5412/1 prévoyait que les opérations secrètes devaient être validées par une commission exécutive, alors qu'auparavant de telles opérations ne nécessitaient que la signature du directeur de la CIA.

La directive secrète du président, la NSC 5510 avait précédé la NSC 5412/1, elle avait institué MAJESTIC 12. Cette commission devait superviser toutes les activités autour des phénomènes extranéens. La NSC 5412/1 ne faisait que justifier les nombreuses réunions, si jamais la presse ou le Congrès devenaient curieux.

MAJESTIC 12 était composée de N. Rockefeller, du directeur de la CIA, Allen W. Dulles, du ministre des Affaires étrangères John F. Dulles, du ministre de la Défense Charles E. Wilson, de l'amiral arthur W.Radford, responsable du Joint Chiefs of Staff, du directeur du FBI, Edgar Hoover, du Dr. Teller etde 6 membres du directoire du CFR, connus comme étant les " sages " du groupe JASON.

Le groupe JASON est, comme nous l'avons vu dans le chapitre sur les Illuminati, la commission scientifique qui a été formée pendant le Manhattan Project, et qui est administrée par la Mitre-Corporation. Les " sages x sont des hommes-clé du CFR, ils sont membres de la JASON Socyety. La commission MAJESTIC 12 comprenant 19 personnes. Le règlement interne prévoyait qu'une motion était acceptée si elle recueillait au moins 12 voix - d'où le nom Majority 12.

Cette commission était constituée de hauts fonctionnaires et de directeurs du CFR, puis plus tard de la Commission trilatérale. Gordon Dean, George Bush et Zbigniev Brzezinski en ont fait partie. Les " sages " les plus influents, qui ont pris part aux décisions de MAJESTIC 12, sont Jhon Cloy, Robert L. Harriman, Charles Bohlen, Georges Kennan et Dean Acheson. Leur influence politique s'étendra jusque dans les années 70. Il est significatif de constater qu'Eisenhower et les 6 membres du gouvernement qui faisaient partie de MAJESTIC 12 étaient également membres du CFR. Le groupe le plus puissant qui compose le gouvernement est contrôlé par une organisation qui appartient aux Illuminati.

Des chercheurs sérieux découvriront bientôt que tous les " sages " ne sortent pas de Harvard ou de Yale, qu'ils n'ont pas été choisis en fonction de leur appartenance aux Skull & Bones ou aux Scroll & Key. Certains membres ont été recrutés en fonction des services qu'ils ont rendus avant leurs études universitaires. Plus tard, quelques élus ont été admis au sein de la JASON Society. Ils appartenaient au CFR et étaient connus sous le nom de : "Eastern Establishment". Cela devrait vous donner des indices sur l'importance et l'influence qu'ont la plupart de ces sociétés secrètes universitaires. La JASON Society continue à prospérer aujourd'hui, elle compte dans ses rangs des membres de la Trilatérale. Ceux-ci existaient déjà en 1973, mais c'était un secret. Le nom de Trilatérale a un rapport direct avec le drapeau des extranéens.

La commission MJ12  existe encore aujourd'hui. Sous les présidences Eisenhower et kennedy, cette commission a pris le nom de Commission 5412 ou Groupe spécial, ce qui peut induire en erreur. Sous la présidence Johnson, elle est devenue la Commission 303, car le [but du ?] nom de 5412 avait été atteinte. En réalité, l'existence de 5412 avait été communiquée pour masquer l'existence de la NSC 5410. Sous les présidences de Nixon, Ford et Carter, elle s'appelait Commission 40, sous Reagan c'était la Commission PI 40. Pendant toutes ces années, il n'y a que le nom qui a changé.

En 1955, on s'est aperçu que les aliénigènes avaient trompé Eisenhower, ils avaient enfreint l'accord. Dans plusieurs partie des États-Unis on a retrouvé des cadavres mutilés. On suspectait les aliénigènes de ne pas avoir communiqué à MJ12 toutes les listes des personnes avec lesquelles ils étaient en contact ou qu'ils avaient emmenées avec eux. On craignait que certaines ne réapparaîtraient jamais. On les soupçonnait de collaborer avec l'Union Soviétique, ce qui était vrai.

On a pris conscience du fait que les aliénigènes utilisaient une grande quantité d'êtres humains pour l'observation, qu'ils se sevaient pour cela de sociétés secrètes, de magie, d'occultisme et de religion. Après plusieurs batailles aériennes entre chasseurs de l'US Air Force et vaisseaux extranéens, les Américains ont dû admettre que leurs armes étaient moins performantes que celles de leur adversaire.

En novembre 1955, une nouvelle directive, la NSC 5412/2, a été adoptée, elle créait une commission qui devait se consacrer à " tous  les facteurs qui permettent d'établir et d'exécuter des lignes de conduites dans la politique étrangère de l'ère atomique ". Ce qui était évidemment une couverture pour dissimuler le sujet des aliénigènes. En parallèle, Eisenhower avait édicté en 1954 une directive, la NSC 5411, qui avait déjà créé une commission d'enquête sur les agissements des extranéens. NSC5412/2 n'était donc qu'une couverture, qui devait justifier le fait que des personnes aussi importantes se réunissaient régulièrement.

Les premières réunions ont lieu dès 1954, on les appelle Quantico Meetings, d'après l'endroit où elles ont lieu, à la base navale de Quantico. La commission était composée des 35 membres du CFR qui étaient dans le secret et ceux de la JASON Society. Edward Teller va être invité à participer. Brzezinski en a été le patron pendant 18 mois, Henry Kissinger lui a succédé, en novembre 1955. N. Rockefeller a participé régulièrement à ces réunions.

Voici la liste des membres de cette commission:

Gordon Dean, président
Dr. Henry Kissinger, vice-président
Dr. Zbigniev Brzezinski
Dr. Edward Teller
Mj. Gen. Richard C. Lindsay
Hanson W. Baldwin
Lloyd V. Berkner
Frank C. Nash
Paul H. Nitze
Charles P. Noyes
Frank Payce jr.
Don K. Pirce
David Rockefeller
Oscar M. Ruebhausen
Lt. Gen. James M. Gavin
Caryl P. Haskins
James T. Hill, jr.
Joseph E. Johnson
Mervin J. Kelly
Frank Altschul
Hamilton Fish Armstrong
Maj. Gen. J. McCormack, jr.
Robert R. Bowie
McGeorge Bundy
William A. M Burden
John C. Campbell
Thomas K. Finletter
George S. Franklin, jr.
I.I. Rabi
Roswell L. Gilpatric
N.E. Halaby
Gen. Walter Bedell Smith
Henry De Wolf Smyth
Shields Warren
Carroll L. Wilson
Arnold Wolfers

Les réunions ont continué à Quantico, le groupe a été baptisé Quantico 2. Nelson Rockefeller a construit pour MJ12 et la mission d'enquête un bâtiment spécial, secret, dans le Maryland. On ne pouvait s'y rendre qu'en avion. Les réunions pouvaient se tenir sans éveiller d'intérêt. L'endroit a pris le nom de Country Club. Les bâtiments étaient équipés pour éberger tout le monde et disposaient du confort nécessaire (ne pas confondre le Aspen Institute et le Country Club). À la fin 1956, on a fait semblant de dissoudre la commission. Kissinger a publié en 1957 les conclusions officieles de l'enqu'ête pour le CFR, chez l'éditeur Harper & Brothers de New York, sous le titre "Les armes atomiques et la politique étrangère".

En réalité, Kissinger avait déjà terminé 80 % de ce manuscrit quand il était étudiant à Harvard. La mission d'ennquête a continué son travail dans le plus grand secret.

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Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 384 à 386)

LE PROJET SIDA ! [1/4]

Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets. Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à développer. L'ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans le population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l'élite. Quand la population aurait sffisamment baissé, on pourrait officiellement anoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l'opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant c'est à vous de deviner comment s'appelle ce microbe? Évidemment, il s'agit du virus du Sida!!

Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090.  10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commmission de Sénat ont révélé qu'un " agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n'existe pas dans la nature et contre lequel l'organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu'il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ". Sir Julian Huxley dit à ce sujet: " La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ".

Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D'après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus " visna " du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.

Comme il fallait agir sur une grande partie de la population, on a commencé par les populations " indésirables ": les Noirs, les hispaniques et les homosexuels ont été encouragés d'un côté à exprimer leur différence, d'un autre côté ils se sot retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.


L'OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l'homme. En 1972, l'OMS publiait ce genre de propos: " Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endomageait les processus antiviraux de la cellule ".

Pour l'exprimer plus simplement il faudrait dire: " Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l'administre de façon volontaire ".

Le continent africain a été infecté en 1977, à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l'OMS. Le Dr Strecker assurait qu'en l'espace de 15 ans, toute l'Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède! Certains pays ont dépassé depuis longtemps le stade de l'épidémie!

Le médecin courageux qui a révélé au grand public ce projet s'appelle Théodore A. Strecker. Il aurait dû être récompensé du prix Nobel, mais il peut s'estimer heureux de ne pas avoir été victime d'un suicide (le suicide typique, c'est le célèbre chercheur californien qui s'est ligoté les mains dans le dos, s'est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n'a été retrouvée [...] )

En 1978, une partie de la population américaine a été contaminée, à travers le vaccinn contre l'hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner, l'ancien compagnon de chambre de Jean Paul II, a été l'instigateur de cette opération, réalisée par le "Center for Disease Control",  de novembre 1978 à octobre 1979, et de mars 1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis, en 1969. Par des chemins détournés, il a été nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C'est lui qui a dispersé le virus du Sida sur l'Amérique du Nord. Il était responsable de la campagne de vaccination contre l'hépatite B, c'est lui qui a décidé du mode d'application, à commencer par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on cherchait des homosexuels mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix, en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les données sur cette  campagne de vaccination sont entre les mains du ministère de la Justice, où elles sont à l'abri pour longtemps.

Le signal de départ a été donné par le comité des Bilderberger, En Suise, en même temps que d'autres directives importantes. Celle qui est la plus facile à démontrer est la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par la CIA. C'est une des raisons qui font qu'au Nicaragua, au Slvador et dans d'autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure américaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l'USAID par exemple. L'organisme de planification ne se trouve pas à l'intérieur des murs de la Maison Blanche. Cette commission s'appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L'état-majo est au State Departement's Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C'est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d'alors Jimmy Carter.

Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement's Office of Population Affairs (OPA) pour l'Amérique latine a dit la chose suivante: " Il n'y a qu'une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c'est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation),   soit nous assisterons à d'autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s'il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C'est louable, mais il ne s'agit en fait que de matières premières et de facteurs d'environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu'un exemple parmi d'autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n'a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C'est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre cilile est l'ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d'y parvenir reste la famine, comme en afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s'abattre sur le Salvador ".


(...)

Fergusen nous donne encore plus d'explications: " Nous ciblons un pays et disons, voici votre plan de développement. Jetez-le à la poubelle et occupez-vous de réduire d'abord votre population. Si cela ne vous plaît pas de procéder par planification, vous aurez un autre Salvador ou un 2e Cambodge ".

(...)

Le projet MK-NAOMI  a été développé par des chercheurs de la Special Operations Division (SOD), à Ft. Detrick, Maryland, sous l'égide de la CIA. Mais le Sida est trop lent. À l'automne 1994, nous avons rencontré le Dr John Coleman à Honolulu, l'auteur du livre le comité des 300 et ancien agent du MI 6 britanique. Coleman explique que le " nouveau " virus a été testé pendant un an dans un pays d'Amérique du Sud, et qu'il pourrait être lâché dans la nature au printemps 1995. Quand il deviendra vraiment actif, on pourra dire:  " infecté le matin, mort le jour même ". Ce virus là est transmissible par la salive.

******** F I N *********

ENTENTE AVEC LES EXTRATERRESTRES[1/9]

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(page 288 à 298)

Le ministre de la Défense. James Forrestal, s'opposait à ces pratiques [les activités secrètes concernant MJ12, les OVNI et les extraterrestres]. C'était un homme idéaliste et religieux, qui pensait que l'opinion [publique] devait être informée. Quand il a commencé à évoquer le sujet des extranéens devant des menbres du Congrès et des chefs de parti, Truman lui a demandé de démissionner. Forestal continuait à faire part de ses soucis, il savait qu'il était surveillé. Ceux qui ne connaissaient pas la vérité lui reprochaient d'être paranoïaque. Plus tard, la version officielle précisait qu'il avait été victime d'une dépression nerveuse et qu'il avait été admis au Bethseda Marine Hospital. Ce que l'on craignait le plus, c'est qu'il se mette à parler. Il fallait l'isoler et le discréditer. Le matin du 22 mai 1949, des agents de la CIA ont attaché un drap autour de son cou, fixé l'autre bout autour du lit, et ils l'ont jeté par la fenêtre. Le drap s'est déchiré, il est mort en touchant le sol. C'était une des premières victimes de l'opération de maquillage.

On appelle EBE (Entité Biologique Extranéenne) celui qui a survécu à l'accident de Roswell, en 1949. Ce nom a été proposé par le docteur Vannever Bush. EBE avait tendance à mentir, et au cours de la première année de sa détention, il ne donnait que les réponses que l'on attendait de lui. Il ne répondait pas aux questions qui impliquaient une réponse indésirable. Vers la fin de la deuxième année, il a commencé à s'ouvrir et à livrer des informations qui étaient pour le moins surprenantes. La compilation de ses déclarations a jeté les bases de ce qui est devenu plus tard le "Yellow Book". Bill Englisch et moi-même avons pu voir des photos d'EBE, pendant notre service au département Grudge 13.

À la fin de 1951, EBE est tombé malafde. Les médrcins spécialistes ne pouvaient pas trouver les causes de la maladie. Il n'y avait eu aucun précédent dont on aurait pu profiter. Les fonctions organiques d'EBE étaient basées sur la photosynthèse, il transformait l'alimentation en énergie, comme les plantes. Ses déchets organiques avaient une apparence végétale. On a décidé d'appeler un botaniste pour aider EBE à guérir. Le docteur Mendoza a fait ce qu'il a pu, mais EBE est mort au milieu de 1952. Mendoza est devenu ensuite un des grands spécialistes de biologie extranéenne.


Alors qu'ils faisaient tout pour sauver EBE, et pour amadouer ceux qui venaient nous rendre visite, les Américains ont envoyé u message dans le cosmos au début de 1952. Le message est resté sans réponse, mais le projet a continué, comme signe de bonne volonté. Le 4 novembre 1952, le président Truman a fondé la National Security Agency (NSA), chargée de décoder la communication des aliénigènes et d'entrer en contact avec eux. Il était urgent de poursuivre les efforts, l'opération a pris le nom de code Sigma.

Une des autres tâches de la NSA était d'écouter toutes les communications et émissions dans le monde, indépendamment de leur origine, pour centraliser les informations et maquiller la présence des extranéens. Le projet Sigma a été un succès. La NSA est en communication avec la base LUNA et ses projets dans l'espace. Par ordre présidentiel, la NSA se trouve au-dessus des lois, qui ne la citent pas nommément, mais qui ont été crées pour elle. La NSA accomplit actuellement de multiples tâches, elle est la tête de pont la plus importante des services secrets. 75 % du budget alloué aux services spéciaux lui reviennent. Comme dit le dicton: " Où va l'argent va le pouvoir ". Le directeur de la CIA n'est aujourd'hui qu'un homme de paille que l'on entretient pour l'opinion publique.

Depuis l'accident de Roswell, le président Truman avait averti les Alliés et l'Union Soviétique du développement du problème aliénigène, afin de préparer la riposte à ce qui pourrait être une menace sérieuse pour l'humanité. Des plans ont été étudiés pour pouvoir se défendre, en cas d'invasion. Le secret était difficile à garder. Une organisation s'imposait pour surveiller et coordonner les efforts internationaux, pour maintenir le secret et protéger les gouvernements des curiosités de la presse. Ce groupe s'est constitué en société secrète, il est connu sous le nom des Bilderberger (d'après le lieu où il a vu le jour, le Bilderberger Hotel à Oosterbeek, Hollande). Le quartier général de cette organisation est à Genève en Suisse. Les Bilderberger se sont transformés en gouvernement mondial qui contrôle toutes les activités de la planète. Les membres des Bilderberger se rencontrent au moins une fois par an, dans des endroits différents. En 1988, c'était à Telfz, près d'Innsbruck, en Autriche. Le chancelier Kohl était présent. En 1989, la rencontre a eu lieu dans le Colorado.

En 1953, un nouveau président est appelé à la Maison Blanche ... [il] avait fait une carière fulgurante dans l'armée, il avait atteint le grade le plus élevé du commandement allié, un poste qui lui avait valu 5 étoiles. Il s'agit du général Dwight David Eisenhower. Au cours de la première année de son mandat, en 1953, on a identifié pas moins de 10 soucoupes accidentées, qui avaient fait 26 morts et 4 survivants. 4 engins ont été trouvés en Arizona, 2 au Texas, 1 au Nouveau Mexique, 1 en Loisiane, 1 au Montana et 1 en Afrique du Sud. Des centaines d'OVNI ont pu être observés dendant cette période.

Eisenhower savait qu'il devait se confronter à ce problème et le résoudre. Il savait aussi qu'il ne pouvait pas impliquer le Congrès dans cette histoire. Au début de 1953, il s'est adressé à un ami et membre comme lui du CFR, Nelson Rockefeller, pour lui demander conseil. Eisenhower et Rockefeller ont décidé de créer une nouvelle organisation, secrète, dont le seul objectif était de surveiller les activités extranéennes. En moins d'un an, elle était sur pied, on lui a donné le nom de MAJESTIC 12 (MJ 12).

L'oncle de Nelson, Winthrop Aldrich, avait réussi à pousser Eisenhower à se présenter à l'élection présidentielle. Les Rockefeller et leur empire le soutenaient, mais la demande d'aide qu'il avait formulée vis-à-vis de Rockefeller allait se révéler être une de ses plus grandes erreurs, pour l'avenir des États-Unis et du monde entier sans doute.

Dans les semaines qui ont suivi son élection, Eisenhower a nommé Nelson Rockefeller responsable du conseil présidentiel pour l'organisation du nouveau gouvernement. Les programmes du New Deal ont été rassemblés sous le toit d'un seul ministère, appelé Département de la Santé, de l'Éducation, et des Affaires sociales. Avec l'approbation du Congrès, Rockefeller est devenu sous-secrétaire d'état au ministère Orveta Culp Hobby.


En 1953, les astronomes ont découvert de nombreux objets dans l'espace qui s'approchaient de la Terre. On croyait tout d'abord qu'il s'agissait d'astéroïdes. Mais les indices montraient clairement qu'il s'agissait de vaisseaux spaciaux. Le projet Sigma réussit à intercepter les communications des aliénigènes. Quand les vaisseaux se sont retrouvés près de la Terre, ils se sont mis en orbite au-dessus de l'Équateur, à très haute altitude. Les vaisseaux étaient gigantesques et personne ne connaissait leurs véritables intentions. Grâce à des contacts radio et l'aide d'un nouveau groupe de surveillance, appelé Platon, un atterrissage a été arrangé, pour permettre un contact de visu avec ses êtres venus du cosmos. L'atterrissage a eu lieu dans le désert. Le film Rencontre du troisième type est la version cinématographique d'événement bien réels. Le projet Platon a été chargé des relations diplomatiques avec les aliens de l'espace. Ceux-ci ont laissé un otage sur terre, en lui promettant qu'il retournerait bientôt chez les siens.

Entre-temps, une autre race d'extranéens avait établi des contacts avec le gouvenement américain. Ils se sont posés à la base militaire de Homestead, en Floride. Ces extraterrestres nous ont mis en garde contre ceux qui tournaient en orbite autour de l'Équateur, ils nous ont proposé leur soutien pour un développement plus spirituel. La condition était le démantelement et la destruction de l'arsenal nucléaire. Ils refusaient un échange de technologie, en insistant sur notre immaturité spirituelle et notre incapacité à maîtriser la technologie dont nous disposions. Ils pensaient que nous n'utiliserions toute nouvelle technologie que pour nous détruire mutuellement. D'après eux, nous étions sur la voie de l'autodestruction, il fallait l'arrêter, arrêter de polluer la Terre, de piller les ressources naturelles et apprendre à vivre en paix et en harmonie. Évidemment, ces conditions éveillaient des soupçons chez les dirigeants américains, surtout l'abandon de l'arsenal nucléaire. On pensait qu'en détruisant les armes nucléaires, on se retrouverait sans défense face à une attaque éventuellement d'aliens. Dans l'histoire, il n'y avait eu aucun précédent. Le démantèlement nucléaire n'était pas à l'ordre du jour, ce n'était pas dans l'intérêt des États-Unis, l'offre a donc été refusée.

Au cours de l'année 1954, les extraterrestres gris, qui avaient des grands nez, ont atterri à la Holloman Airfoce Base. Un accord a pu être conclu. Ces êtres prétendaient venir d'une planète de la constellation d'Orion, qui comprenait une étoile rouge que nous appelons Bételgeuse. Ils disaient que leur planète était en train de mourir et qu'ils ne pouvaient plus continuer à vivre là-bas.


Un 2e rendez-vous a été fixé, cette fois sur la Edward Airforce Base. La base avait été fermée pour 3 jours, personne n'avait le droit d'y pénétrer ou d'en sortir. Cette rencontre historique avait été bien préparée et tous les détails pour un traité futur étaient déjà élaborés. Eisenhower avait arrangé des vacances à Palm Springs. Le jour de la rencontre, le président a été conduit sur la base californienne. Pour la presse, Eisenhower étaient aller à un rendez-vous chez le dentiste. Des témoins oculaires affirment avoir vu ce jour-là 3 vaisseaux extraterrestres survoler la base avant d'atterrir. À cette époque, un nouveau type de DCA faisait l'objet de test sur cette base, et les équipes ffarées avaient commencé à tirer sur les vaisseaux, ne faisant heureusement aucun dégât.

Le président Eisenhower a rencontré les aliénigènes le 20 février 1954, il a signé un accord formel entre les États-Unis et leur nation. C'est là qu'est apparu le premier ambassadeur de l'espace. Son nom et son titre étaient : Son Altesse Toute Puissante Krll (prononcer Krill). Comme les Américains n'aiment pas les titres ronflants, ils l'ont appelé l'"otage Krill".

4 autres personnes qui ont assisté à cette rencontre sont Franklin Allen du journal "Hearst Newspaper", Edwin Nourse du "Brookings Institute", Gerald Light, métaphysicien reconnu et l'évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. La réaction de ces 4 personnes devait servir de test pour évaluer la réaction de l'opinion publique. En observant leurs réactions, il a été décidé que l'opinion n'était pas mûre pour une publication des événements. Des études ultérieures ont conclu que la décision était justifiée.

Une lettre pleine d'émotion de Gerald Light, décrit précisément ce qui s'est passé : "Cher ami, je reviens à l'instant de Muroc. Le rapport est authentifié! J'ai fait le voyage accompagné de Franklin Allen du Hearst Newspaper, d'Edwin Nourse et de L'évêque de Los Angeles. Quand nous avons pu entrer dans la zone interdite, j'ai eu le pressentiment étrange que le monde était arrivé à une conclusion de réalisme fantastique. D'un côté, je n'avais jamais vu autant de personnes réunies qui étaient dans un tel état chaotique d'effondrement nerveux, parce qu'ils avaient réalisé que leur petit monde s'était écroulé. La réalité de la présence de vaisseaux d'une autre dimension a éloigné à tout jamais les spéculations et a laissé une expérience douloureuse dans la conscience des politiques et des scientifiques qui étaient présents. Je suis resté 2 jours sur la base et j'ai pu voir 5 vaisseaux différents, qui faisaient l'objet d'études de la part du personnel de l'Air Force, avec le soutien bienveillant des extranéens (Etherians)!

Les mots me manquent pour expliquer mes réactions. C'est donc bien arrivé. Maintenant, c'est un fait historique! Le président Eisenhower est venu ici à Muroc, pour une nuit. Je suis persuadé qu'il va éluder le conflit extrême qui existe entre les différentes autorités et qu'il va sMadresser à la nation, par la radio et la télévision, si on ne sort pas rapidement de cette impasse. D'après ce que je sais, on est en train de préparer une déclaration officielle qui doit être diffusée à la mi-mai."

Nous savons qu'il n'y aura jamais de publication officielle. Les " contrôleurs " ont encore bien fait leur travail. Nous savons aussi qu'il y a eu en tout 5 vaisseaux qui ont atterri sur la base militaire. Gerald Light a mis l'accent sur le fait que les vaisseaux étaient au nombre de 5. Il a donné à ces êtres le nom d'Etherians, ce qui est une indication qu'il voyait en eux des " dieux ", comme d'autres l'avaient fait avant lui.


Il faut également préciser que l'on a vu le drapeau de ces aliénigènes : des enseignes trilatérales. On pouvait le voir sur les vaisseaux et sur les uniformes. Les 2 atterrissages et la rencontre ont été filmés. Ces images existent encore quelque part. L'accord prévoyait que les extranéens ne devaient pas s'immiscer dans nos affaires intérieures, et inversement. Nous nous engagions à respecter le secret de leur présence. Ils nous aideraient dans notre développement technologique et scientifique. Ils avaient pris aussi l'engagement de ne traiter avec aucune autre nation de la Terre. Il leur était permis d'enlever des hommes, en quantité et en temps limités, pour les observer, à la seule condition que ces hommes ne subissent aucun dommage et qu'ils soient ramenés à l'endroit où ils avaient été enlevés. Les personnes ne devaient également se rappeler de rien. Les aliénigènes devaient fournir à MJ12 les listes de leurs contacts humains. Il a été convenu d'un échange d'ambassadeur, pour la durée de l'accord., et d'un échange de 16 hommes, pour pouvoir faire connaissance.

Pendant que les  " invités " extranéens séjournaient sur terre, certains des nôtres devaient faire le voyage sur leur planète d'origine, ce qui a été montré de façon dramatique, comme nous l'avons déjà indiqué, dans le film de Spielberg "Rencontre du troisième type". Pour bien comprendre qui travaille pour qui, il faut savoir que le Dr. Allen Hynek était conseiller technique pendant le tournage du film. Il est intéressant de savoir que le rapport secret, qui contient entre autres les conclusions du projet Grudge, a été écrit par Hynek et le Lt. Col. Friend. Hynek faisait partie du projet Grudge, il était responsable du maquillage des cas d'OVNIs, tout en étant membre scientifique du projet "Bluebook".

On s'est mis d'accord pour construire 2 bases souterraines, réservées aux aliénigènes, et 2 autres qui devaient être utilisées en commun. L'échange de technologie devait se dérouler dans ces bases communes. Les 2 bases réservées aux extranéens ont été établies dans des réserves indiennes entre l'Utah, le Colorado, le Nouveau Mexique et l'Arizona. Une autre base a été construite dans le Nevada, dans la zone que l'on appelle S4, à peu près à 7 miles au sud de la frontière ouest du territoire 51, connu sous le nom de "Dreamland". "Dreamland" a été construite dans le désert Mojave, près du lieu-dit Yucca. Dans le désert Mojave, on a relevé plus de témoignages que dans d'autres parties du monde sur les OVNIs. Ces témoignages sont si nombreux que les gens du coin n'y font même plus attention. Celui qui se trouve dans cette région pourra constater une activité particulièrement intense au-dessus du désert. Tous les domaines exploités par les aliénigènes sont sous contrôle du ministère de la Marine, le personnel qui y travaille est sous sa surveillance.

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Alors que la construction des bases était terminée, les progrès atteints en 1975 étaient minimes. À partir de cette année-là, les moyens financiers ont été augmentés. Le projet Redlight a vu le jour et on a commencé à faire des essais en vol avec des vaisseaux extraterrestres. Le personnel a été soumis à des tests de sécurité et à l'approbation de la présidence. Ce qui est cocasse, c'est que le président lui-même n'avait pas le droit de pénétrer sur le terrain.

La base extranéenne où se déroulent des transferts de technologie est située dans la zone S4. On lui a donné le nom de "Face cachée de la lune". D'après le rapport, il y a en permanence 600 aliénigènes sur cette base, mélangés à un nombre inconnu de personnel de la CIA et de scientifiques.

Par mesure de prudence, il n'y a qu'un nombre restreint de personnes qui travaillent directement avec les extranéens, elles sont constamment l'objet d'une surveillance rapprochée. L'armée a été chargée d'élaborer une organisation ultrasecrète qui doit protéger les projets des aliénigènes. Cette organisation, qui porte le nom de " National Reconnaissance Organisation", est implantée à Fort Carson, dans le Colorado. Des équipes spéciales, chargées de surveiller les projets secrets, portent le nom de "Delta Teams". Le Lt. Col. James Bo Gritz a été un des commandants de ces équipes.

Un 2e projet a vu le jour, nom de code "Snowbird". Son but était de donner des explications officielles sur des témoignages d'engins de type Redlight. Les avions Snowbird utilisaient une technologie conventionnelle, la presse a pu participer à plusieurs voyages. Snowbird a servi à minimiser les témoignages irréfutables, pour détourner l'attention de l'opinion publique. Le projet a été un grand succès, les témoignages ont diminué dans les années suivantes.


Le bureau des Affaires militaires de la Maison Blanche dispose d'un fond secret de plusieurs millions $. Cet argent a servi à construire 75 dispositifs souterrains. Au président, on expliquait qu'il s'agissait de zones de sécurité, en cas de guerre. En réalité, très peu ont été construits dans ce but. Des millions $ ont transité dans ce bureau, avant d'être attribués à MJ12 et tout ce qui en découlait. Top-secret! Le président Johnson a utilisé de l'argent de ce fonds pour construire une salle de cinéma et goudronner la route de son ranch. Il ignorait tout de ce qui se passait en coulisses. Ce fonds secret de la Maison Blanche a vu le jour en 1957, sous la présidence Eisenhower. Les moyens financiers ont été versés par le Congrès, avec pour couverture la " construction et l'entretien de dispositifs secrets pour abriter la présidence en cas de guerre ".

Ces bases étaient de vrais cavités dans la terre, assez profonds pour résister à une explosion nucléaire et équipées de moyens de communication très sophistiqués. À l'heure actuelle, il existe sur le territoire américain plus de 75 bases de ce genre. La commission atomique a construit au moins 32 bases supplémentaires, du même acabit. Tout ce qui concerne ces bases est top-secret. Le bureau des Affaires militaires continue à recevoir les budgets afférents, par un réseau complexe d'attributions. Aucuns espion ou expert comtable n'a pu en déceler les traces. Jusqu'en 1980, la plupart des personnes qui travailllaient dans ces bureaux ignoraient la destination finale de l'argent. Au début, les députés George Mahon du Texas, responsable de la commission d'attribution des budgets de la Chambre des députés, et Robert Sikes, de Floride, responsable de la sous-commission d'attribution des budgets pour les constructions militaires, en étaient les responsables politiques. Aujourd'hui, c'est le porte-parole de la Chambre des représentants, Jim Wright, murmure-t-on, qui serait en charge de ces budgets. Une lutte de pouvoir l'aurait déchargé de cette responsabitité, et c'est le président lui-même, le MJ12, le directeur du bureau militaire et un commandant d'arsenal qui en assumeraient la responsabilité.

Les budgets sont accordés par la commission, ils font partie des fonds secrets du ministère de la Défense. L'armée n'a aucun droit sur cet argent et ne connaît même pas leur destination finale. L'argent transite en fait par la commission Cheasepeake, qui ne sait rien non plus. Même l'amiral ne sait pas ce qu'il advient de cet argent. Il n'y a qu'un homme qui connaît la vraie destination de ces budgets, un commandant de marine, de la commisson Cheasepeake. Il ne rend des comptes qu'au bureau de la Maison Blanche, lui seul connaît la vérité. Le secret le plus total autour de ces opérations facilite la disparition des traces. Il n'y aura jamais de trace écrite concernant l'utilisation de cet argent.

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