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Catégorie : Films
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Indiana Jones 1 - L'Arche Perdue (1981) - Bande-Annonce

Indiana Jones 2 et le Temple Maudit (1984) - Bande-Annonce

Indiana Jones 3 et  la Dernière croisade ( 1989) - Bande-Annonce

Indiana Jones 4 - Les Cranes de Cristal ( 2008) - Bande-Annonce

Les Aventuriers de l'arche perdue (Raiders of the Lost Ark) est un film d'aventures fantastique américain, réalisé par Steven Spielberg et coproduit par George Lucas, sorti en 1981. À partir de l'an 2000, il est exploité sous le nom Indiana Jones et les Aventuriers de l'arche perduea (Indiana Jones and the Raiders of the Lost Ark).

Premier volet de la saga Indiana Jones (deuxième chronologiquement), le film est nommé neuf fois aux Oscars 1982 et en remporte cinq (dont un spécial pour les effets sonores).

Succès critique et commercial (c'est le film le plus rentable de l'année 1981 et un des plus rentables de tous les temps1), il mène à la réalisation de trois suites : Indiana Jones et le Temple maudit (1984), Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989), Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (2008), à une série télévisée, Les Aventures du jeune Indiana Jones (1992-1996) et à quinze jeux vidéo depuis le début de la franchise.

En 1999, le film est sélectionné par le National Film Registry pour être conservé à la Bibliothèque du Congrès pour son « importance culturelle, historique ou esthétique ».

Résumé détaillé[modifier | modifier le code]

Reconstitution de la scène d'ouverture du film lors du spectacle Indiana Jones Epic Stunt Spectacular! aux Disney's Hollywood Studios.

Pérou, 1936. Le professeur Henry Walton Jones Jr (dit « Indiana », ou « Indy »), un éminent archéologue américain et expert en occultisme, est sur le point de mettre la main sur une idole Chachapoyan. Après avoir échappé à une série de pièges mortels dans un ancien temple, il se fait dérober la relique de façon déloyale par son principal concurrent, un archéologue français, René Belloq. Indy parvient à semer les indiens Hovito à bord d'un hydravion mais rentre bredouille aux États-Unis.

De retour de son voyage au Connecticut, Jones est mandaté par des agents des services secrets américains cherchant à décrypter un câble des partisans du IIIe Reich. Les nazis semblent être sur les traces de l'Arche d'alliance, contenant les Tables de la Loi, sur le site de Tanis en Égypte. L'Arche étant censée conférer le pouvoir de mener n'importe quelle armée à la victoire, elle ne doit en aucun cas tomber entre les mains d'Adolf Hitler. Dans leur quête de pouvoir occulte, les nazis recherchent Abner Ravenwood, ancien mentor de Jones et expert sur la question. Ravenwood possède le médaillon de , un artefact permettant selon la légende de localiser précisément la relique sainte dans le « Puits des âmes ».

Indiana Jones s'envole pour le Népal pour retrouver Ravenwood, auquel il n'a plus parlé depuis des années. Il apprend de Marion, la fille de son mentor et ancien amour au caractère bien trempé, que le vieil homme est décédé. Marion possède le médaillon tant convoité qu'Indy propose d'acheter 3 000 dollars, plus 2 000 pour lui permettre de rentrer aux États-Unis. Marion accepte la vente mais la taverne est prise d'assaut par des brigands menés par l'officier de la Gestapo Arnold Toht. Au cours de l'altercation, l’établissement prend feu et Toht se brûle la main en voulant s'emparer du médaillon. Indy et Marion s'échappent avec l'artefact et partent pour l'Égypte.

Arrivés au Caire, le couple retrouve Sallah, figure emblématique de la ville et vieil ami de Jones. Ce dernier informe Indy que Belloq s'est allié aux nazis, sous les ordres du colonel Dietrich, pour fouiller le site de Tanis grâce aux inscriptions du médaillon incrustées dans la paume brûlée de la main de Toht. Dans le souk de la ville, Marion est kidnappée et emmenée de force dans un camion que Jones fait accidentellement exploser. L'aventurier est bouleversé par la mort de son ancien amour, mais décide avec l'aide de Sallah de continuer les recherches. Ils se rendent compte que les nazis ne creusent pas au bon endroit car l'autre face du médaillon fournit une précision cruciale que Toht n'a pas. Indiana s'infiltre sur le site des fouilles et découvre que Marion n'est pas morte mais retenue captive par Belloq. L'Arche d'alliance est bientôt découverte au cœur du « Puits des âmes » grouillant de serpents. Les nazis s'emparent de l'artefact sacré et scellent le puits en y laissant Indy et Marion.

Le couple s'échappe et découvre que l'Arche est sur le point d'être transportée à Berlin à bord d'une aile volante, un avion expérimental. Indy tente de saboter l'opération en détruisant l'appareil, après un duel aux poings avec l'un des mécaniciens qui se solde par la mort de celui-ci, déchiqueté par une hélice. Dietrich, Toht et Belloq embarquent avec l'Arche et leur troupe à bord d'un convoi de camions. Après une course-poursuite haletante dans le désert, Jones réussit à s'emparer du camion contenant l'Arche, mais au prix de multiples blessures et contusions. Marion le soigne, et ils reprennent leur relation amoureuse.

Indiana et Marion quittent l'Égypte à bord d'un cargo commandé par le capitaine Katanga. Mais alors qu'ils se croient en sécurité hors des eaux territoriales, ils sont rattrapés par un sous-marin allemand. Dietrich reprend une nouvelle fois possession de l'Arche et Belloq kidnappe Marion. Jones parvient à s'enfuir et les suit jusqu'à une île de la mer Égée où Belloq prévoit d'ouvrir le coffre doré. L'archéologue stoppe la marche des nazis en les menaçant de tout détruire avec un bazooka. Mais il est raisonné par Belloq qui le pense incapable de détruire un tel témoignage de l'Histoire. En effet, Jones n'en a pas le courage. Il est désarmé, capturé et ficelé à un poteau avec Marion. Belloq procède à une antique cérémonie pour ouvrir l'Arche et il s’avère qu'elle ne contient que du sable... Mais soudain, des esprits ressemblant à des séraphins de l'Ancien Testament émergent du coffre. Indiana, connaissant le danger pour avoir étudié la relique avec son mentor, ordonne à Marion de fermer les yeux et de ne pas regarder cela. Les esprits prennent l'apparence terrifiante d'anges de la mort et des rayons aveuglants se mettent à frapper les nazis. Belloq, Dietrich et Toht connaissent une terrible mort à cause du regard des esprits.

Lors de l'épilogue, situé à Washington, des agents du gouvernement certifient à Indy que l'Arche est étudiée en lieu sûr par des experts et qu'elle ne sera pas accessible aux chercheurs. L'archéologue est furieux. L'Arche est en réalité étiquetée « Top Secret » et vulgairement entreposée dans un gigantesque hangar poussiéreux rempli de centaines de caisses au contenu incertain.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

John Williams dirigeant l'orchestre lors d'un concert comprenant la musique des Aventuriers de l'arche perdue.

Distribution[modifier | modifier le code]

Source et légende : version française (VF) sur Voxofilm4

Production[modifier | modifier le code]

Genèse[modifier | modifier le code]

La création d'Indiana Jones a lieu sur une plage d'Hawaï. George Lucas avait alors pour habitude, lorsqu'un de ses films s'apprêtait à sortir, de passer quelques jours au soleil de Hawaï. Il est rejoint cette année-là par Steven Spielberg. Certains du succès de leurs prochains films (Star Wars et Rencontres du troisième type), ils envisagent d'autres projets. Spielberg révèle à Lucas qu'il avait contacté le producteur des James BondAlbert R. Broccoli, afin de pouvoir réaliser un épisode de la saga, mais que ce dernier avait refusé, sous prétexte qu'il fallait être obligatoirement, tout comme l'acteur incarnant l'espion, originaire d'un pays du Commonwealth. Lucas indique alors qu'il a une bien meilleure idée et il raconte les grandes lignes de ce que sera Les Aventuriers de l'arche perdue. Ils se promettent également que si le film devenait un succès, une trilogie naîtrait. Après leurs vacances, Lucas et Spielberg appellent Lawrence Kasdan, afin qu'il développe le scénario avec Lucas et, plus tard, Philip Kaufman. Le nom du héros, « Indiana », vient du chien de George Lucas5

Choix des acteurs[modifier | modifier le code]

Dès le début, Steven Spielberg et le scénariste Lawrence Kasdan pensèrent à Harrison Ford pour le rôle d'Indiana Jones. Mais George Lucas s'y opposa, craignant que sa collaboration reste infiniment associée à l'acteur, à l'instar de Martin Scorsese et Robert De Niro, inséparables depuis Taxi Driver.

Tom Selleck fut contacté par la production pour incarner Indiana Jones mais le contrat le liant à la série Magnum le contraint à renoncer au rôlebNick Nolte fut également contacté mais il refusa, tout comme Jeff Bridges.

Steven Spielberg relança alors George Lucas pour donner le rôle à Harrison Ford, impressionné par sa performance dans le rôle de Han Solo, dans L'Empire contre-attaque6.

Les actrices Amy Irving (future femme de Spielberg) et Debra Winger ont été pressenties pour jouer le rôle de Marion. C'est finalement Karen Allen remarquée dans American College qui a été choisie.

Originellement, Spielberg voulait Danny DeVito dans le rôle de Sallah mais celui-ci refusa, car il devait honorer son contrat pour la série Taxi6. Quant au rôle de Belloq, l'italien Giancarlo Giannini, l’acteur et chanteur français Jacques Dutronc et l'acteur Jean-Pierre Cassel furent les premiers choix de Steven Spielberg mais comme aucun des trois ne parlait anglais, le réalisateur jeta finalement son dévolu sur le Britannique Paul Freeman, qui ressemblait à Jean-Pierre Cassel.

Tournage[modifier | modifier le code]

Le chapeau Fedora et le fouet d'Indy.

Le tournage débute le 23 juin 1980 en France à la Rochelle (Charente-Maritime), dans la base sous-marine de La Rochelle pour les scènes dans les cavernes souterraines impliquant le sous-marin nazi7. Le sous-marin est une réplique de type VIIC de la Seconde Guerre mondiale prêtée par la production du film allemand Das Boot8 de Wolfgang Petersen, sorti la même année.

L'équipe de tournage s'installa ensuite en Angleterre, aux studios d'Elstree à Borehamwood7 pour les scènes impliquant le « Puits des âmes », l'intérieur du temple de la séquence d'ouverture et le bar de Marion Ravenwood au Népal9.

La scène de dialogue des escaliers intérieurs de Washington D.C. a été en réalité tournée à l'hôtel de ville de San Francisco10. L'université du Pacifique à Stockton (Californie) a servi de décor pour les extérieurs de l'université où Jones travaille10, tandis que sa classe et le hall où il reçoit les services secrets américains ont été filmés à la Royal Masonic School à Rickmansworth dans le Hertfordshire (Angleterre). Les extérieurs de sa maison ont été filmés à San Rafael en Californie. Les extérieurs de la scène d'ouverture du film ont été filmés à Kauai le long de la rivière Huleia à Hawaï10 en septembre, finissant ainsi le tournage sous la barre des 73 jours initialement prévus, à l'inverse de son film précédent, 1941.

Une boule en fibre de verre de 7 mètres de diamètre a été créée pour la scène où Indiana s'échappe du temple. Spielberg fut tellement impressionné par la création du décorateur Norman Reynolds, qu'il décida d'augmenter la longueur de la course du rocher de 15 mètres pour mieux en profiterc.

Le tournage des scènes du Douglas DC-3 dans laquelle Jones vole vers le Népal furent empruntées au film de Frank Capra Horizons perdus (1937), tandis qu'une scène de rue fut reprise de L'Odyssée du Hindenburg (1975) de Robert Wise11. Le tournage de la scène où Indy embarque à bord d'un hydravion Glenn Martin China Clipper fut compliqué parce que plus aucun exemplaire n'existait. La production dut se contenter d'un hydravion Short Solent anglais d'après guerre ayant appartenu auparavant à Howard Hughes et qui se trouvait en Californie.

Toutes les scènes censées se situer en Égypte ont été filmées à Kairouan et Tataouine, en Tunisie. Le canyon où Indiana menace de faire sauter l'Arche d'alliance est situé à Sidi Bouhlel, juste en dehors de Tozeur. C'est au même endroit que furent tournées en 1977 les scènes de la planète Tatooine où R2-D2 est attaqué par les Jawas dans La Guerre des étoiles (l'équipe de tournage était du reste quasiment la même). Les scènes de Tanis ont été filmées dans la ville voisine de Sedala. Ce fut une expérience difficile pour l'équipe de tournage à cause de la chaleur et des maladies. Spielberg décida d'écourter les prises de vues en ramenant le temps de tournage sur place de six semaines à quatre et demi6.

La scène culte, tournée à Kairouan, où le sabreur arabe se fait abattre d'une balle par Indiana Jones n'était pas dans le scénario original, qui prévoyait un combat au fouet et au sabre. Mais Harrison Ford, atteint de dysenterie comme la plupart des autres membres de l'équipe, se sentait incapable de tourner une scène entière de combat à l'épée. Il demanda donc à Spielberg que la scène soit raccourcie. Le réalisateur suggéra alors qu'Indy dégaine son arme et tue son adversaire. Dans le livre The Harrison Ford Story, Ford affirme être à l'origine de la modification et avoir suggéré Et si je descendais juste ce crétin ? à Spielberg, qui lui aurait alors répondu avoir eu la même idée12.

Le gag du cintre semblable à un nunchaku fût à l'origine écrit pour Christopher Lee dans le film 1941 mais ne fût pas utilisé. Spielberg l'a finalement repris pour Toht lorsque celui-ci débarque dans la tente de Belloq, empêchant ainsi Marion de prendre la fuite.

La scène de poursuite du camion a été entièrement tournée par la seconde équipe d'après le storyboard de Spielberg, bien qu'ils décident d'y ajouter la séquence où Indiana est trainé par le camion, une Mercedes type 320 noire de 1936, prêtée par un collectionneur en hommage au célèbre cascadeur Yakima Canutt. En revanche, le camion utilisé par Indiana lors de cette même poursuite est un GMC auquel le logo Mercedes a été ajouté sur la calandre. Spielberg tourne tous les plans rapprochés de Ford par la suite 8.

La scène du « Puits des âmes » a requis plus de 7000 serpents, dont certains très venimeux comme des cobras. Un membre de l'équipe de tournage fut mordu par un python8. Certains ne bougent pas beaucoup : en effet, même après avoir dévalisé les animaleries des alentours, il n'y en avait pas assez ; ils ont donc été remplacés par des bouts de tuyaux d'arrosage. Pour la scène où Indiana se retrouve nez à nez avec un cobra, on peut apercevoir sur l'écran son reflet et celui d'un projecteur car une vitre avait été posée entre l'acteur et le reptile pour éviter que Harrison Ford ne se fasse mordre8. Cette erreur a été gommée lors de la restauration numérique du film pour l'édition DVD.

Beaucoup de scènes furent improvisées comme la scène où Marion met sa robe et tente de s'échapper de la tente de Belloq, ainsi que la scène du combat autour de l'avion. Durant le tournage de cette scène, Ford se lésa un ligament croisé de la jambe gauche à cause de la roue de l'avion qui lui passa sur le genou8.

Accueil[modifier | modifier le code]

Critiques[modifier | modifier le code]

Il a reçu un accueil critique très favorable, recueillant 94 % de critiques positives, avec un score moyen de 8,910 et sur la base de 50 critiques collectées, sur le site Rotten Tomatoes13. Sur le site Metacritic, il obtient un score de 90100, sur la base de 11 critiques collectées14.

En 1999, le film a été sélectionné par le National Film Preservation Board pour être ajouté au National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès en raison de son apport « culturel, historique ou esthétique » à la culture américaine15.

L'American Film Institute l'a classé en 2011 à la 66e place dans sa liste des « 100 meilleurs films américains »16.

En 2008, le magazine Empire l'a classé à la 2e place dans sa liste des « 500 meilleurs films de tous les temps »17.

Le film figure à la 23e place du Top 250 du classement des films de l'Internet Movie Database, basé sur les votes du public, avec une note moyenne de 8,71018.

Box-office[modifier | modifier le code]

Le film a réalisé les plus grosses recettes en 1981 aux États-Unis19.

Pays ou régionBox-officeDate d'arrêt du box-officeNombre de semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Canada Canada
248 159 971 $2 18 mars 1982 12
Drapeau de la France France 6 397 117 entrées20 - -
Monde Total mondial389 925 971 $2--

Distinctions[modifier | modifier le code]

Sauf mention contraire, cette liste provient d'informations de l'Internet Movie Database21.

Le film a été sélectionné par le National Film Preservation Board pour figurer dans le National Film Registry en 1999. Il fait aussi partie de la liste des 50 films à voir avant d'avoir 14 ans établie en 2005 par le British Film Institute.

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Produits dérivés[modifier | modifier le code]

Cassette vidéo[modifier | modifier le code]

Le film est sorti en VHSBetamax et Videodisc en version recadrée seulement et pour la version en Laserdisc, le film est sorti en version recadrée et en écran large. Pour la ressortie de la version VHS de 1999, le film est remastérisé en THX et disponible en version écran large. La packaging extérieur est nommé, pour l'occasion, Indiana Jones et les aventuriers de l'Arche perdue par souci d'harmonisation avec le reste de la saga.

DVD[modifier | modifier le code]

La sortie suivante du DVD en 2003 garde toujours ce titre sur la jaquette extérieure mais le titre dans le film reste Les Aventuriers de l'arche perdue même dans la version restaurée en DVD.

Dans le DVD, deux modifications numériques ont été effectuées. La première, un câble qui reliait la boule géante à un poste de commande invisible à l'écran dans la scène d'ouverture a été enlevé lors de la fuite de Harrison Ford. La deuxième, la glace de verre qui séparait Ford du cobra dans la scène du puits des âmes, et qui se remarquait à l'écran, a été aussi enlevé22.

Blu-ray[modifier | modifier le code]

La trilogie est resortie en DVD le 13 mai 2008 avec des bonus (entretiens, analyses...) qui n'étaient pas présents dans les versions précédentes, puis en septembre 2012 en Blu-Ray.

Adaptation en bande dessinée[modifier | modifier le code]

Le film a été adapté par Marvel Comics sous forme de trois numéros de septembre à novembre 198123. Les couvertures sont signées par Gene Day et Walt Simonson, les scénarios de Walt Simonson, le graphisme est assuré par John Buscema, le tout encré par Klaus Janson24.

En France, l'adaptation est sortie sous forme de bande dessinée en grand format (21 x 28 cm) d'un total de 68 pages couleurs chez l'éditeur DPE avec une couverture semi rigide plastifiée25.

Adaptation en jeu vidéo[modifier | modifier le code]

Raiders of the Lost Ark est sorti en 1982 sur Atari 2600.

Dans la culture populaire[modifier | modifier le code]

Séries télévisées[modifier | modifier le code]

Jeux vidéo[modifier | modifier le code]

Analyse[modifier | modifier le code]

Inspirations[modifier | modifier le code]

Le cinéma de sérial[modifier | modifier le code]

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La bande-dessinée[modifier | modifier le code]

Lors de la mise en chantier du scénario, Spielberg se rappelle L'Homme de Rio avec Jean-Paul Belmondo qui avait eu un certain retentissement aux États-Unis en 1964 et le revoit plusieurs fois. Ce film français de Philippe de Broca devient une source d'inspiration pour le réalisateur27,28 à tel point que Spielberg écrit une lettre à de Broca pour lui exprimer sa passion et sa reconnaissance. L'ironie veut que ce film soit lui-même inspiré des Aventures de Tintin29 que Spielberg découvrira au cours d'interviews à l’occasion de la promotion européenne de son film en 198130,31.

La scène du bloc de pierre au début du film s'inspirerait de la scène similaire apparaissant dans Les Sept Cités de Cibola (1954), épisode en bande dessinée par Carl Barks mettant en scène Balthazar Picsou. George Lucas confie d'ailleurs avoir été particulièrement marqué dans son enfance par ce personnaged et a donc puisé dans ses aventures pour nourrir ce film32

Faux raccords[modifier | modifier le code]

Le film contient quelques faux raccords33 :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Titre de la ressortie en vidéo en 2000, par une volonté d'homogénéisation avec le reste de la saga.
  2. Selleck a d'ailleurs parodié dans l'épisode « Les Aventuriers… » le célèbre archéologue, avec tout son attirail.
  3. « Steven said : “Why don't we make it another 50ft longer?” Which of course we did ». Témoignage de Norman Reynolds (Production Designer) dans Making the Trilogy, bonus du DVD.
  4. George Lucas explique : "J'ai grandi à une époque où la télévision commençait à peine à être présente dans les foyers américains. Auparavant, à la maison, c'était la bande dessinée qui constituait la principale source de divertissement. Quelques-uns des tout premier comics que je me suis procurés étaient de Carl Barks. J'étais abonné à Walt Disney's Comics and Stories et le personnage de Picsou m'a tellement plu que je suis tout de suite allé dans les kiosques acheter tous les comic books d'Uncle Scrooge que j'ai réussi à trouver."

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Raiders of the Lost Ark » [archive], sur Box Office Mojo (consulté le 17 avril 2020)
  2. ↑ Revenir plus haut en :a b et c (en) « Raiders of the Lost Ark » [archive], sur Box Office Mojo (consulté le18 septembre 2011).
  3. (en) « Dates de sortie [archive] » sur l'Internet Movie Database.
  4. « Fiche du doublage français du film » [archive] sur Voxofilm, consulté le 30 novembre 2014.
  5. Magazine Première no 54, septembre 1981, page 48, interview de Steven Spielberg par Henry Béhar : Indiana Jones est le nom du chien de George Lucas. Un monstre gris en blanc qu'on appelle aussi Indy. George a d'ailleurs donné à tous les personnages principaux les noms des chiens et chats de ses meilleurs amis.
  6. ↑ Revenir plus haut en :a b et c « Secrets de tournage [archive] », AlloCiné.
  7. ↑ Revenir plus haut en :a et b Hearn, op. cit.pp. 127-134.
  8. ↑ Revenir plus haut en :a b c d et e Indiana Jones: Making the Trilogy, bonus DVD, Paramount Pictures, 2003.
  9. Marco Fromter, Around the World with Indiana Jones, Lucasfilm, 7 février 2007.[réf. nécessaire].
  10. ↑ Revenir plus haut en :a b et c Site officiel [archive].
  11. (en) Richard Schickel, « Cinema: Slam! Bang! A Movie Movie [archive] », 15 juin 1981.
  12. (en) « The Urban Legends of Indiana Jones » [archive], sur indianajones.com, 13 janvier 2004.
  13. (en) « Raiders of the Lost Ark » [archive], sur Rotten Tomatoes (consulté le18 septembre 2011).
  14. (en) « Raiders of the Lost Ark » [archive], sur Metacritic (consulté le 18 septembre 2011).
  15. (en) « Complete National Film Registry Listing » [archive] sur le site de la Bibliothèque du Congrès (consulté le 5 mai 2016).
  16. (en) « AFI's 100 Years… 100 Movies » [archive], sur American Film Institute (consulté le18 septembre 2011).
  17. (en) « The 500 Greatest Movies of All Time » [archive]Empire (consulté le18 septembre 2011).
  18. « Les Aventuriers de l'arche perdue » [archive], Internet Movie Database (consulté le18 septembre 2011).
  19. (en) « 1981 Domestic Grosses » [archive], sur Box Office Mojo (consulté le18 septembre 2011).
  20. « Les Aventuriers de l'arche perdue » [archive], sur JP's Box-Office (consulté le18 septembre 2011).
  21. « Awards » [archive]Internet Movie Database.
  22. (en) « 10 Awesome Indiana Jones Facts [archive] », http://mentalfloss.com [archive], 21 mai 2008.
  23. [1] [archive].
  24. [2] [archive].
  25. [3] [archive].
  26. Fiche de la carte Harrison Jones [archive] sur Hearthstone-decks.com (consulté le 5 mai 2016).
  27. Zug, L'Homme de Rio [archive]louvreuse.net, 26 octobre 2011.
  28. Philippe Lombard, « Tintin, Hergé et le Cinéma [archive] », revueversus.com, 12 octobre 2011.
  29. « Les Aventures de Tintin, Le Secret de la Licorne : Tintin le reporter, « égérie » de Spielberg [archive] », revueversus.com, 25 octobre 2011.
  30. Gemini, « Les Mystères de Tintin (4) : Steven Spielberg et Tintin [archive] », 6 octobre 2011.
  31. Daniel Couvreur, « L'innocence perdue des premiers Tintin [archive] », lesoir.be, 21 octobre 2011.
  32. Carl Barks, La dynastie Donald Duck - Intégrale, Tome 4 - 1953-1954 : Les mystères de l'Atlantide et autres histoires
  33. « Les (Consternantes ?) ERREURS d'INDIANA JONES 1 et 2 - Faux raccord » [archive]sur YouTube.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Indiana Jones et le Temple maudit (Indiana Jones and the Temple of Doom) est un film d'aventures américain réalisé par Steven Spielberg et sorti en 1984.

C'est le deuxième volet de la série de quatre films centrés sur le personnage d'Indiana Jones. Son action se déroule en 1935, soit un an avant celle du premier volet, Les Aventuriers de l'arche perdue ; il s'agit donc d'une préquelle.

Synopsis[modifier | modifier le code]

À Shanghai, en 1935, Indiana Jones arrive dans un bar appartenant à un gangster chinois, Lao Che. Il doit récupérer un diamant et l'échanger contre les cendres de Nurhachi, un empereur chinois. Mais l'échange tourne à la fusillade et Indiana, emportant avec lui Willie Scott, une meneuse de revue qui s'intéressait à la pierre, parvient à quitter la Chine avec l'aide de Demi-Lune, un petit garçon chinois de 11 ans débrouillard, à bord d'un avion. Mais l'avion appartient à Lao Che et les pilotes, après avoir vidé les réservoirs, sautent en parachute. Utilisant un canot de sauvetage pneumatique pour amortir leur chute, Indiana, Willie et Demi-Lune sautent de l'avion et parviennent à fuir.

Ils apprennent qu'ils sont en Inde et arrivent dans un village dont tous les enfants ont été enlevés en même temps que la pierre sacrée que détenaient les indigènes. Indiana accepte d'aider les villageois et part pour le palais de Pankot, qui est d'après les villageois la source du mal. Indiana pense que la pierre sacrée pourrait être l'une des cinq pierres de Sankara, dont la possession garantit fortune et gloire. Le trio est bien accueilli par l'enfant maharadjah et Chattar Lal, son premier ministre, mais, au cours du banquet, les questions d'Indiana sur le sort des enfants et le fait que la secte des Thugs pourrait y être mêlée sont éludées. Durant la nuit, Indiana échappe à une tentative d'assassinat et, accompagné de Willie et de Demi-lune, s'engage dans des passages secrets sous le palais.

Le trio arrive jusqu'à un temple souterrain où des Thugs, dirigés par leur grand prêtre Mola Ram, procèdent à un sacrifice humain en l'honneur de la déesse Kâlî. Mola Ram possède déjà trois des pierres de Sankara et a réduit des dizaines de milliers d'enfants en esclavage afin qu'ils creusent dans les mines pour trouver les deux restantes. Indiana et ses amis sont découverts et capturés. Indiana est forcé de boire une potion qui le fait obéir aveuglément à Mola Ram, tandis que Demi-lune est emmené à la mine et que Willie doit être sacrifiée. Mais Demi-lune s'échappe rapidement et arrive à sortir Indiana de son état hypnotique en le brûlant. Il fait ensuite de même avec le jeune maharadjah qui était lui aussi hypnotisé. Indiana et Demi-lune sauvent ensuite Willie, récupèrent les trois pierres et libèrent les enfants.

Poursuivis par Mola Ram et ses hommes, ils s'échappent à bord d'un wagonnet de mine et débouchent enfin à l'air libre. Alors qu'ils traversent un pont de singe, ils sont encerclés par les Thugs. Alors que Mola Ram et ses hommes approchent d'eux, Indiana dit alors à ses amis de s'accrocher solidement et coupe les cordes, projetant plusieurs Thugs dans le fleuve infesté de crocodiles. À l'issue d'un combat entre Indiana et Mola Ram, ce dernier tombe également dans le fleuve et est dévoré. Les Thugs restants sont mis en déroute par l'arrivée des troupes du capitaine Blumburtt envoyées par le maharadjah. Indiana, Willie et Demi-Lune retournent au village avec la pierre sacrée et les enfants.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Source et légendeVersion française (V. F.) sur Voxofilm3

Production[modifier | modifier le code]

Casting[modifier | modifier le code]

Harrison Ford sur le tournage du film au Sri Lanka.

Sharon Stone avait été approchée pour le rôle finalement interprété par Kate Capshaw4.

Tournage[modifier | modifier le code]

Le script ayant déplu aux autorités indiennes, elles refusèrent de donner l'autorisation de tournage sur leur territoire. Le tournage commença donc à Kandy au Sri Lanka, le 18 avril 1983, à proximité d'un endroit où une société d'ingénierie britannique était en train de construire un barrage. L'équipe a fait appel à elle pour la construction du pont suspendu au-dessus de la gorge. Le tournage se poursuivit aux studios d'Elstree à partir du 5 mai. Durant le tournage, Harrison Ford souffre de problèmes de disques vertébraux, au point même de se faire une hernie discale en jouant la scène du corps à corps entre Indy et un thug dans la chambre du palais. L'acteur est rapatrié d'urgence aux États-Unis pour une hospitalisation de six semaines. Spielberg continue malgré tout le tournage avec le cascadeur Vic Armstrong. Il filme notamment la scène de la bagarre opposant Indy et le thug colossal qui finit écrabouillé par le gros rouleau, le héros n'étant filmé que de dos et de loin (pour ne pas révéler le visage d'Armstrong à l'image). Lorsque Ford revient sur le plateau, Spielberg filme quelques gros plans de son visage pour rendre la scène plus crédible5. L'acteur indien D.R. Nanayakkara, ne parlant pas anglais, se contente de répéter les répliques que Spielberg lui souffle. Ce détail est marqué par le fait que le personnage effectue une pause entre chaque phrase.

Accueil[modifier | modifier le code]

Accueil critique[modifier | modifier le code]

Indiana Jones et le Temple maudit
Score cumulé
SiteNote
Metacritic 57/1006
Rotten Tomatoes 85 %7
Compilation des critiques
PériodiqueNote

Le film recueille 85 % de critiques favorables, avec un score moyen de 7,210 et sur la base de 66 critiques collectées, sur le site Rotten Tomatoes7. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de 57100 pour 14 critiques6.

En 2008, le magazine Empire le classe à la 233e place dans sa liste des 500 meilleurs films de tous les temps8.

Box-office[modifier | modifier le code]

Le film a rapporté 333 107 271 $ au box-office mondial dont 179 870 271 $ aux États-Unis1. C'est le troisième film à avoir réalisé le plus de recettes en 1984 aux États-Unis derrière Le Flic de Beverly Hills et SOS Fantômes9. En France, il a réalisé 5 683 254 entrées10.

Pays ou régionBox-officeDate d'arrêt du box-officeNombre de semaines
Drapeau des États-Unis États-Unis
Drapeau du Canada Canada
179 870 271 $ 8 octobre 1984 19
Drapeau de la France France 5 683 254 entrées - -
Monde Total mondial333 107 271 $--

Distinctions[modifier | modifier le code]

Sauf mention contraire, cette liste provient d'informations de l'Internet Movie Database11.

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Analyse[modifier | modifier le code]

Référence à d'autres œuvres[modifier | modifier le code]

Erreurs et incohérences[modifier | modifier le code]

Autour du film[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Short Round en version originale

Références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ a et b (en) « Indiana Jones and the Temple of Doom », sur Box Office Mojo (consulté le18 septembre 2011)
  2. Dates de sortieInternet Movie Database
  3. « Fiche du doublage français du film » sur Voxofilm, consulté le 30 novembre 2014
  4. « The People Who Were Almost Cast »Empire (consulté le 18 septembre 2011)
  5. Documentaire Indiana Jones : Créer la trilogie, 2003.
  6. ↑ a et b (en) « Indiana Jones et le Temple maudit Reviews », sur Metacritic, CBS Interactive (consulté le 4 mai 2020).
  7. ↑ a et b (en) « Indiana Jones and the Temple of Doom », sur Rotten Tomatoes (consulté le4 mai 2020)
  8. (en) « The 500 Greatest Movies of All Time »Empire (consulté le 18 septembre 2011)
  9. (en) « 1984 Domestic Grosses », sur Box Office Mojo (consulté le 18 septembre 2011)
  10. « Indiana Jones et le Temple maudit », sur JP's Box-Office (consulté le18 septembre 2011)
  11. (en) « Awards for Indiana Jones et le Temple maudit », sur Internet Movie Database
  12. revueversus.com Tintin, Hergé et le cinéma par Philippe Lombard - 12 octobre 2011
  13. gemini.neetwork.net Les Mystères de Tintin (4) : Steven Spielberg et Tintin par Gemini - 6 octobre 2011
  14. lesoir.be L'innocence perdue des premiers Tintin par Daniel Couvreur - 21 octobre 2011
  15. louvreuse.net L'homme de Rio par ZUG - 26 octobre 2011
  16. revueversus.com « Les Aventures de Tintin, Le Secret de la Licorne » : Tintin le reporter, « égérie » de Spielberg - 25 octobre 2011
  17. rafik.blog.toutlecine.com Tintin et Spielberg, 1983 - 11 avril 2008
  18. (en) Anthony Breznican, « PG-13 remade Hollywood ratings system »Seattle Post-Intelligencer (consulté le 18 septembre 2011)
  19. (en) The Imagineers, Disneyland: An Imagineer's-Eye Tour , p. 38
  20. [1]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

v · m
Films
Série
Jeux vidéo
Attractions
Personnages
v · m
Longs métrages Duel (1971) · Sugarland Express (1974) · Les Dents de la mer (1975) · Rencontres du troisième type (1977) · 1941 (1979) · Les Aventuriers de l'arche perdue (1981) · E.T., l'extra-terrestre (1982) · Indiana Jones et le Temple maudit (1984) · La Quatrième Dimension (œuvre collective, 1983) · La Couleur pourpre (1985) · Empire du soleil (1987) · Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989) · Always (1989) · Hook ou la Revanche du capitaine Crochet (1991) · Jurassic Park (1993) · La Liste de Schindler (1993) · Le Monde perdu : Jurassic Park (1997) · Amistad (1997) · Il faut sauver le soldat Ryan (1998) · A.I. Intelligence artificielle (2001) · Minority Report (2002) · Arrête-moi si tu peux (2002) · Le Terminal (2004) · La Guerre des mondes (2005) · Munich (2005) · Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (2008) · Les Aventures de Tintin : Le Secret de La Licorne (2011) · Cheval de guerre (2011) · Lincoln (2012) · Le Pont des espions (2015) · Le Bon Gros Géant (2016) · Pentagon Papers (2017) · Ready Player One (2018) · West Side Story (2020)
Courts métrages The Last Gun (1959) · Fighter Squad (1961) · Escape to Nowhere (1961) · Firelight (1964) · Slipstream (1967) · Amblin' (1968) · The Unfinished Journey (1999)
Télévision Columbo (épisode Le Livre témoin, 1971) · Duel (1971) · La Chose (1972) · Chantage à Washington (1973) · Histoires fantastiques (saison 1, deux épisodes, 1985) · Extant (producteur, 2014)
Jeux vidéo Steven Spielberg's Director's Chair (1996) · Medal of Honor (scénariste, 1999) · Boom Blox (2008) · Boom Blox Smash Party (2009)
Articles connexes Amblin Entertainment · DreamWorks SKG · Amblin Partners
v · m
Réalisateur
(Longs métrages)
THX 1138 (1971) · American Graffiti (1973) · Bon article Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir (1977) · Bon article Star Wars, épisode I : La Menace fantôme (1999) · Bon article Star Wars, épisode II : L'Attaque des clones (2002) · Bon article Star Wars, épisode III : La Revanche des Sith (2005)
Producteur et scénariste
(Sans réalisation)
Bon article Star Wars, épisode V : L'Empire contre-attaque (1980) · Indiana Jones et les Aventuriers de l'arche perdue (1981) · Bon article Star Wars, épisode VI : Le Retour du Jedi (1983) · Indiana Jones et le Temple maudit (1984) · L'Aventure des Ewoks (1984) · La Bataille d'Endor (1985) · Willow (1988) · Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989) · Les Aventures du jeune Indiana Jones (série télévisée, 1992-1996) · Radioland Murders (1994) · Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal (2008) · Strange Magic (2015)
Producteur
(Sans réalisation et scénario)
American Graffiti, la suite (1979) · Kagemusha, l'Ombre du guerrier (1980) · La Fièvre au corps (1981) · Twice Upon a Time (1983) · Latino (1985) · Mishima (1985) · Droïdes : Les Aventures de R2-D2 et C-3PO (sérié télévisée, 1985-1986) · Labyrinthe (1986) · Howard... une nouvelle race de héros (1986) · Ewoks (série télévisée, 1985-1986) · Powaqqatsi (1988) · Tucker (1988) · Le Petit Dinosaure et la Vallée des merveilles (1988) · Clone Wars (série télévisée, 2003-2005) · Star Wars: The Clone Wars (2008) · Bon article Star Wars: The Clone Wars (série télévisée, 2008-2014) · L'Escadron Red Tails (2012)
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