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Catégorie : Bourses
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Kering est un groupe du luxe basé en France et spécialisé dans l’habillement et les accessoires. Anciennement Pinault-Printemps-Redoute, dit PPR, il a été fondé en 1962 par François Pinault. Il est dirigé par François-Henri Pinault depuis 2005 et fait partie du CAC 40. Ses principales marques sont Gucci, Yves Saint Laurent, Boucheron, Bottega Veneta et Alexander McQueen. Il est la deuxième entreprise mondiale dans le secteur du luxe après LVMH et devant le groupe suisse Richemont avec un chiffre d'affaires de 15,5 milliards d'euros en 20172.

Histoire

Il est dirigé par son fils François-Henri Pinault depuis 2005 qui l’a renommé Kering en 2013.

1962-1994 : Du bois à la grande distribution

En 1962, François Pinault lance les Établissements Pinault, une entreprise de scierie et de négoce de bois avec un budget de 100.000 francs prêtés par la famille et le Crédit lyonnais. À partir de cette activité première, François Pinault opère toute une série de placements à forte valeur ajoutée pour la progression de son entreprise3,4.

En 1989, Pinault SA rachète en bourse 20 % de la CFAO, géant de la distribution en Afrique, avec qui il fusionne l’année suivante pour totaliser un chiffre d’affaires de 10 milliards de francs. En avril 1991, Pinault SA rachète Conforama, puis le groupe Printemps SA en 1992 qui détient 54 % La Redoute. En juillet 1994, le groupe prend également le contrôle de la Fnac3,4.

1994-2013 : De la grande distribution vers le luxe

En 1994, le groupe est renommé Pinault-Printemps-Redoute (PPR) et développe ses activités dans les domaines de la grande distribution et de la vente à distance. À travers Redcats - le pôle de vente à distance de PPR construit autour de La Redoute - PPR rachète Ellos en 1997, puis Brylane et Guilbert en 1998. En 2000, PPR lance le magasin de sport Citadium5 et rachète l’enseigne Surcouf6.

En 1999, PPR rachète 42 % du leader du luxe Gucci, un tournant majeur pour le groupe qui initie alors un désengagement progressif de la grande distribution pour se concentrer sur le secteur du luxe. Les activités financières (Facet, Finaref) sont revendues en 2002, les activités de vente à distance et de fournitures de bureaux aussi (Guilbert, Brylane), Pinault Bois et Matériaux est cédée en 2003, Rexel en 2004.

Le 18 mai 2005, Pinault-Printemps-Redoute devient PPR. Serge Weinberg quitte la direction du groupe et François-Henri Pinault est nommé PDG7. Le désengagement de la grande distribution se poursuit avec la vente de Printemps SA en 20068, de Kadeos en 20079, de Conforama en 201110, de la CFAO et de la Fnac en 201211,12, de la Redoute en 201313.

Parallèlement, l’activité luxe se développe via le groupe Gucci qui rachète des marques de prestige : Yves Saint Laurent et YSL Beauté, le chausseur Sergio Rossi, le joaillier Boucheron en 200014, Bottega Veneta et Balenciaga en 2001, ainsi que des accords de partenariat avec Stella McCartney et Alexander McQueen15. En 2004, PPR monte dans le capital du groupe Gucci à hauteur de 99,4 %16. Début 2011, PPR et le groupe Gucci sont fusionnées. Les activités sont réorganisées en 2 pôles17,18: Luxe et Sport & Lifestyle, ce dernier regroupant les marques sportives Puma et Volcom, acquises respectivement en 2007 et 2011.

Le pôle luxe poursuit son développement avec le rachat de Sowind Group (horloger suisse Girard-Perregaux et JeanRichard) et du tailleur italien Brioni en 2011, du joaillier chinois Qeelin en 201219, du britannique Christopher Kane20 et du joaillier italien Pomellato en 2013

2013 : PPR devient Kering

Le 22 mars 2013, pour parachever le recentrage du groupe entamé en 2005 autour des marques de luxe et de sport, PPR est renommé Kering21. "ker" signifie "foyer" en breton (origines de la famille Pinault) et le suffixe anglais -ing suggère l'action et reflète la dimension internationale du groupe. Le nom se prononce comme le mot anglais "caring" qui signifie "prendre soin de". Le logo représente une chouette (l’animal favori de François Pinault), un animal dont la tête peut pivoter à 270 degrés, symbole du caractère visionnaire du groupe22. Le nom de Kering remplace définitivement l'ancienne dénomination PPR le 18 juin 2013.

Kering poursuit sa politique de développement en rachetant le label du designer allemand Tomas Maier en novembre 201323, de l’horloger suisse Ulysse Nardin en juillet 201424.

Kering se défait également de quelques marques considérées moins stratégiques : YSL Beauté, la branche parfums et cosmétiques d'Yves Saint Laurent, est cédée en 2008 à L’Oréal, le chausseur italien Sergio Rossi en 2015 à Investindustrial et Andrea Bonomi25, la marque de sport Electric à son PDG en mai 201626.

Sur l’année 2016, Gucci enregistre un résultat de 4,4 milliards d’euros (+12,7 %), et Yves Saint-Laurent 1,2 milliard (+25,5 %), sa sixième année de progression27,28. Ces bons résultats provoquent une envolée du cours de l’action du groupe dont la valeur augmente de 65 % entre juin 2016 et janvier 201729,30.
En janvier 2017, Kering annonce son désengagement dans Puma, avec la vente de 70 % de Puma à ses actionnaires, ne gardant que 16 % de Puma31. Sur l'année 2017, Kering enregistre un chiffre d'affaires de 15,5 milliards d'euros, une hausse de 27% expliquée par la poussée des marques Gucci (+46% à 6,2 milliards de chiffre d'affaires) et Yves Saint Laurent (+25%)2.
En 2018 après s'être séparé de Puma, Kering cède Volcom et se recentre sur le secteur du luxe32.

Activités

Les activités de Kering sont regroupées dans 2 pôles : Luxe et Sport & Lifestyle.

Le pôle Luxe, qui représente 68 % de l’activité du groupe (2016)33, regroupe des marques qui conçoivent, fabriquent et commercialisent des produits de luxe, notamment dans les secteurs de la maroquinerie, des chaussures, du prêt-à-porter, des montres et de la joaillerie :

Le pôle Sport & Lifestyle est constitué de marques emblématiques inspirées des mondes du sport, de l’outdoor ou de l’action sports :

Évasion fiscale

En 2018, le groupe Kering est au centre de la plus grosse affaire d’évasion fiscale concernant une entreprise française. Selon Mediapart et le réseau European Investigative Collaborations, le groupe a évadé depuis 2002 environ 2,5 milliards d’euros d’impôts34, pour l’essentiel au préjudice de l’Italie, mais aussi de la France et du Royaume-Uni, en localisant artificiellement ses profits en Suisse, via un montage financier passant par le Luxembourg et les Pays-Bas.

Sa filiale italienne Gucci est suspectée depuis fin 2017 par le parquet de Milan d'avoir soustrait à l'impôt italien 1,3 milliard d'euros : une filiale suisse établie en 1997 dans le canton du Tessin, Luxury Goods International (LGI), chargée de la distribution des produits Gucci, bénéficie d'un accord fiscal avec les autorités (un ruling) établissant à 7 % son taux d'imposition (contre 31 % en Italie), détaillent Mediapart, L'Espresso et NRC Handelsblad. Or le produit des ventes en gros effectuées par Gucci en Italie revient à la filiale suisse LGI, et n'est donc pas imposé en Italie, alors que l'activité de Gucci prend bien place en Italie35.

À compter du rachat de Gucci par Kering en 1999, le groupe applique le même système à ses autres filiales du luxe, faisant transiter leurs biens par les entrepôts de LGI, en Suisse, et lui confiant leur vente : l'italienne Bottega Veneta, les britanniques Stella McCartney et Alexander McQueen et les françaises Balenciaga et Yves Saint Laurent. Cette dernière a notamment envoyé 550 millions d'euros dans une filiale suisse, provoquant un manque à gagner pour l'administration fiscale française estimé à 180 millions d'euros par Mediapart36.

Au total, écrit Mediapart, « LGI a réalisé un résultat net cumulé de 7 milliards d’euros rien qu’entre 2009 et 2017, soit près de 70 % de l’ensemble des profits du groupe ! Alors même que Kering n’emploie que 600 personnes en Suisse, moins de 3 % des salariés de sa division luxe »35.

Cette situation a été dénoncée par l'ONG suisse Public Eye, qui rapporte des pratiques similaires chez d'autres groupes dans le même canton du Tessin35,37.

Le groupe Kering, de son côté, se défend de toute fraude fiscale, affirmant que « ce modèle d’exploitation est connu des autorités fiscales françaises et des autres autorités fiscales compétentes »38. Néanmoins, selon Mediapart, les dirigeants du groupe « auraient eu vent à l'automne 2017 de rumeurs selon lesquelles la justice s'intéresserait au sujet, ce qui aurait accéléré le lancement opérationnel de l’opération Prometheus », opération visant à redéfinir l'ingénierie du montage financier autour de la société LGI39.

Engagements

Développement durable

En avril 2012, Kering publie des objectifs environnementaux et sociaux que le groupe s’engage à atteindre pour 201640,41.

Le groupe cherche à atteindre “les niveaux d'exigence les plus élevés en matière environnementale et sociale”42 et annonce une réduction de 50 % des émissions de CO2 liées à ses activités dans le monde à l’horizon 202543. Pour y aboutir, Kering développe des initiatives telles que la recherche de nouvelles matières écologiques pouvant remplacer le cuir pour la confection de ses produits d’ici 10 à 15 ans44. Pour se parer contre la vente illégale mais déguisée de pythons, Kering a procédé début 2017 à l’achat de sa propre ferme d’élevage45. Le groupe revend les chutes de cuir issues de la production de ses produits à d’autres acteurs industriels pour limiter les déchets, et met à disposition de ses designers une application mobile pour mesurer l’impact écologique de leurs idées de création46.

En janvier 2017, le Science Based Target (réunissant le Carbon Disclosure Project, le Pacte mondial de l’Onu, le World Resources Institute et le WWF) reconnaît le bien-fondé scientifique des outils développés par Kering pour gérer ses engagements sur le développement durable, une première dans le secteur du luxe et pour une entreprise française47.

En 2015, Kering co-produit le documentaire de Luc Jacquet, La Glace et le Ciel qui retrace l’aventure du climatologue et glaciologue Claude Lorius48.

Fondation d'entreprise Kering

La Fondation d’Entreprise Kering lutte contre les violences faites aux femmes. Depuis sa création en 2009, la Fondation a noué 47 partenariats avec des ONG et accompagné des entrepreneurs sociaux au bénéfice de plus de 140 000 femmes.

Women in Motion

Women in Motion est un programme lancé en 2015 par le biais d’un partenariat entre Kering et le Festival de Cannes. Il repose sur des entretiens ouverts autour d’un ou plusieurs invités, durant toute la durée du Festival, afin de créer un espace de réflexion sur la question des femmes dans l’industrie du cinéma ; deux prix Women in Motion, quant à eux, récompensent chaque année une personnalité emblématique et un ou plusieurs jeunes talents pendant le Festival de Cannes49.

Gouvernance et résultats

Direction

Comité exécutif
Conseil d’administration

Résultats annuels

Données financières en millions d'euros
Années 200650 2007 200851 200951 201052 201153 201254 201355 201456 201557 201658 20172
Chiffre d'affaires 17 931 19 761 17 207 13 584 11 008 12 227 9 736 9 748 10 037 11 584 12 385 15 478
Résultat d'exploitation 1 540 1 789 1 441 1 240 1 370 1 602 2 067 1 750
1 647 1 886 2 948
Résultat net part du groupe 680 904 921 951 965 986 1 048 50 528.9 696 814 1 786
Dettes financières 3 461 2 980 5 510 4 367 4 000 3 396 2 491 3 443
4 679 4 371 3 049

Données boursières

Données boursières au 31 décembre
Années 2007 2008 2009 2010 2011 2012
2016 2017
Nombre d'actions cotées en millions 128 128.4 126.5 126.8 127 126.2
126.2 126.3
Capitalisation boursière en millions d'euros 14 089 5 897 10 661 15 093 14 034 17 764
26 935 49 628
Nombre de transactions quotidiennes 692 022 1 116 420 701 105 453 415 385 265 317 960


Notes et références

  1. Dans l'ancien hôpital Laennec de Paris.
  2. a, b, c et d Dominique Chapuis, « Tiré par Gucci, Kering devient le numéro deux mondial du luxe » [archive], sur Lesechos.fr, 13 février 2018
  3. a et b « Parcours d'un chasseur » [archive], sur Lexpress.fr, 10 décembre 1998
  4. a et b « Carnet des décideurs: François Pinault » [archive], sur Lsaconso.fr
  5. « PPR se lance à fond dans le sport avec Citadium » [archive], sur Lesechos.fr, 21 novembre 2000
  6. « Micro-informatique : PPR rachète Surcouf » [archive], sur Lesechos.fr, 14 mars 2000
  7. « Weinberg quitte PPR avec plusieurs millions » [archive], sur Nouvelobs.com, 25 mai 2005
  8. « De PPR à Kering : le récit d’une transformation » [archive], sur lesechos.fr, 26 mars 2013 (consulté le 13 septembre 2016)
  9. « Accor rachète Kadeos à PPR » [archive], sur Nouvelobs.com, 6 mars 2007
  10. « PPR cède Conforama à Steinhoff » [archive], sur Lefigaro>fr, 9 décembre 2010
  11. « PPR se sépare de la Fnac par une introduction en Bourse » [archive], sur Bfmtv.com, 25 avril 2013
  12. Ivan Letessier, « PPR sort de CFAO grâce à un groupe japonais » [archive], sur Lefigaro.fr, 27 juillet 2012
  13. « Kering accepte de céder La Redoute à ses dirigeants » [archive], sur Challenges.fr, 4 décembre 2014
  14. Xavier Lecoeur, « Gucci s'installe place Vendôme en reprenant Boucheron » [archive], sur Lesechos.fr, 24 mai 2005
  15. François Roche, François Pinault : l'empire menacé, Édition du Carquois, 2003 (ISBN 2-9519927-0-X), chapitres 3 et 4
  16. « PPR lance une OPA sur sa filiale Gucci » [archive], sur Nouvelobs.com, 6 avril 2004
  17. Sophie Lécluse, « François-Henri Pinault imprime sa marque à PPR » [archive], sur Latribune.fr, 18 février 2011
  18. « Challenges.fr » [archive], 18 octobre 2010
  19. Dominique Chapuis, « PPR veut pousser ses pions en Chine avec le joaillier Qeelin » [archive], sur Lesechos.fr, 11 décembre 2012
  20. « Le groupe PPR rachète la maison de mode Christopher Kane » [archive], sur Lemonde.fr, 15 janvier 2013
  21. « PPR devient Kering, annonce son PDG François-Henri Pinault » [archive], sur Lesechos.fr
  22. Thiébault Dromard, « Pourquoi PPR s'appelle désormais Kering » [archive], sur Challenges.fr, 22 mars 2013
  23. « Kering investit dans la marque américaine Tomas Maier » [archive], sur Lexpress.fr, 19 novembre 2013
  24. « Kering rachète Ulysse Nardin, l'un des derniers grands horlogers indépendants » [archive], sur Lepoint.fr, 31 juillet 2014
  25. Dominique Chapuis, « Kering cède la marque de chaussures de luxe Sergio Rossi » [archive], sur Lesechos.fr, 9 décembre 2015
  26. « Kering: Volcom cède la marque Electric » [archive], sur Capital.fr, 16 mars 2016
  27. René Perez, « Kering, le groupe de luxe à l’accent breton » [archive], sur Bretagne-bretons.fr, 15 février 2017
  28. Ivan Letessier, « L'impressionnant rebond de Gucci tire les ventes de Kering » [archive], sur Lefigaro.fr, 10 février 2017
  29. « Kering: explose ses records, bondit au-delà des 231E » [archive], sur Acbbourse.com, 10 février 2017
  30. Gilles Leclerc, « Kering : Trop vite, trop haut. Une pose s’impose » [archive], sur Labourseauquotidien.fr, 23 janvier 2017
  31. Dominique Chapuis, « Kering se recentre sur le luxe en cédant la majorité de Puma » [archive], sur Les Echos, 11 janvier 2017
  32. Kering poursuit son recentrage dans le luxe en cédant Volcom [archive]
  33. Frédéric Garcia, « KERING, vers une croissance pérenne » [archive], sur Boursedirect.fr, 3 février 2017
  34. « De Gucci à Kering : un montage fiscal d’une ampleur industrielle », Mediapart,‎ 16 mars 2018 (lire en ligne [archive])
  35. a, b et c Yann Philippin, Vittorio Malagutti (L'Espresso) et Esther Rosenberg (NRC Handelsblad), « Le système Pinault : une évasion à 2,5 milliards d'euros », Mediapart,‎ 16 mars 2018 (lire en ligne [archive])
  36. Yann Philippin, « Yves Saint Laurent déshabille le fisc », Mediapart,‎ 16 mars 2018 (lire en ligne [archive])
  37. « Étude de cas: la «Fashion Valley» tessinoise » [archive], Public Eye (consulté le 20 mars 2018)
  38. « Le groupe français de luxe Kering aurait échappé à 2,5 milliards d’euros d’impôts depuis 2002 », Le Monde,‎ 16 mars 2018 (lire en ligne [archive])
  39. Yann Philippin, « Evasion fiscale: comment Kering a fait marche arrière », Mediapart,‎ 8 mai 2018 (lire en ligne [archive])
  40. « Kering publie le rapport final sur ses objectifs de développement durable 2012-2016 » [archive], sur Kering.com, 3 mai 2016
  41. « Kering publie son premier compte de résultat environnemental » [archive], sur Environnement-magazine.fr, 20 mai 2015
  42. « KERING : En lançant sa nouvelle stratégie développement durable à dix ans, Kering définit le luxe durable de demain » [archive], sur Zonebourse.com, 25 janvier 2017
  43. « Kering ambitionne de réduire ses émissions de CO2 » [archive], sur Lefigaro.fr, 25 janvier 2017
  44. Justine Leblanc, « Kering : Le groupe annonce son projet de créer des sacs écologiques » [archive], sur Luxe.net, 22 janvier 2017
  45. Séverine Bascot, « Les grands noms du luxe s’offrent une ferme à pythons » [archive], sur Consoglobe.com, 26 janvier 2017
  46. (en) Elizabeth Paton, « François-Henri Pinault, Kering Chief, on Why Green Is the New Black » [archive], sur Nytimes.com, 25 janvier 2017
  47. (en) « Kering as a leader in carbon footprint reduction » [archive], sur Internationalleathermaker.com, 23 janvier 2017
  48. « Kering: co-producteur du nouveau film 'La Glace et le Ciel' » [archive], sur Lexpress.fr, 8 octobre 2015
  49. « Festival de Cannes : le groupe Kering lance le prix des femmes » [archive], 31 mars 2015
  50. http://www.opesc.org/fiche-societe/fiche-societe.php?entreprise=PPR05 [archive]
  51. a et b Source 2008 et 2009 : Document Financier PPR 2009 [archive]
  52. http://www.ppr.com/fr [archive]
  53. http://www.ppr.com/fr/presse/communiques-de-presse/resultats-annuels-2011 [archive]
  54. http://www.kering.com/fr/communiques-de-presse/resultats_annuels_2012 [archive]
  55. http://www.kering.com/fr/node/8401 [archive]
  56. « Kering multiplie son bénéfice par dix en 2014 » [archive], sur https://fashionunited.fr [archive], 17 février 2015 (consulté le 1er juillet 2015)
  57. « Chiffres clés du Groupe | Kering » [archive], sur www.kering.com (consulté le 12 septembre 2016)
  58. « Résultats annuels 2016 » [archive], sur Kering.com, 10 février 2017

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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